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MessageSujet: + j'aime quand tu me hais. [jhett]   + j'aime quand tu me hais. [jhett] EmptyJeu 4 Avr - 2:42


burn me one more time
diezel & jhett.

Avant même qu'il ne mette un pied dans la pièce, il sait que c'est une mauvaise idée. Quelque chose dans le fond de ses tripes lui dit de s'en aller, mais il fait la sourde oreille et pousse tout de même la porte. Fait qui ne le surprend pas, à cette heure tardive un vendredi après-midi, la salle est pratiquement vide, si ce n'est que pour quelques nerds qui étudient chacun dans leur coin. Fier d'avoir vaincu sa propre appréhension, il se dirige vers son coin habituel, un peu en retrait, près d'une fenêtre. Les gens viennent souvent ici pour voir d'autres visages, s'entraider ou faire les cons. Il n'est donc pas difficile pour Diezel de s'installer à sa place, qui, de toute manière, porte une belle brûlure sur le siège du divan. À défaut de mettre carrément son nom, c'est facile de deviner, pour ceux qui le connaissent ou le détestent, qu'il vient se perdre ici. Il a déjà eu quelques problèmes, naturellement. Des gens qui profitent de leur break pour le faire chier en un petit groupe. Ils trouvent ça bien amusant, jusqu'à ce que Sven leur fasse mordre la poussière. Le blond est peut-être petit, d'apparence frêle, mais sa ruse et son cerveau (sur)développé compense très bien pour le reste. Se laissant tomber avec une grâce naturelle sur son mini trône, il sort tranquillement son ordinateur portable et installe ses écouteurs sur ses oreilles. Il aurait pu se rendre à la bibliothèque pour avancer ses travaux, mais à cette heure-là, il est certain qu'elle ne doit pas être remplit. Ce qui signifie que la bibliothécaire aurait rapidement été sur son sac concernant sa musique. Et il a envie d'écouter de la musique. Montant sans se privé le son, il se perd rapidement dans sa bulle confortable, laissant ses doigts courir sur le clavier silencieux. Diezel ne peut dire combien de temps s'est écouler lorsque finalement, son drôle de sentiment revient. Levant les yeux de son portable, il les frotte avec ses doigts fins histoire de se dégourdir les neurones. C'est à ce moment-là qu'il remarque une tête brune bien familière, et il ne peut s'empêcher de lever les yeux au ciel. Il est prêt à parier sa chemise que l'autre va venir le voir, probablement pour insister qu'il n'est pas attiré par les hommes, surtout pas par lui, et blablabla. Prévoyant à moitié le coup, il libère une de ses oreilles et continue de travailler sans pouvoir s'empêcher de regarder Jhett du coin de l’œil.

© Mzlle Alice.
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MessageSujet: Re: + j'aime quand tu me hais. [jhett]   + j'aime quand tu me hais. [jhett] EmptyJeu 4 Avr - 19:58



stay out on my way...
04 Avril 2013, ” Le soleil virant et passant à travers les carreaux ne m'aidant pas, je peste intérieurement. Et je fixe cette chaleur invisible qui s’abat sur moi plus comme une ennemi qu'une douce camarade amicale. Traitresse, on la souhaite lorsque l'hiver nous mord de son froid mortel, on la haït lorsqu'elle s’abat sur nous rapidement nous dérangeant de nos activités. Et pour le moment mon activité vise à la fois être impassible aux charmes de cette catin de haut quartier et continuer ma maquette en cours. Qu'il soit bien aisé de comprendre que cette charmante compagnie ne se fait pas payer, mais que je n'ai aucun doute sur la véracité de mes propos quand j'imagine bien tout Jersey Island lui passer dessus. Je me languis en faite de ces filles qui n'apportent rien. Rien ou si peu. Où alors... soupire. J'inspire, lentement, brièvement, pour faire retourner au fond de mon esprit cette pensée qui venait d'y entrer. A croire qu'en ce moment il n'y a rien pour arrêter d'y penser, et la présence de cet... de ce... pyromane n'améliore en rien le fait que je puisse tranquillement oublier. Oublier ? Ais-je vraiment envie de ne plus y songer ? Est-se vraiment l'envie ou plus par nécessité ? Je ne sais plus, entre l'extérieur et se que les autres en ont pensé, et se que moi j'ai aimé, il n'y a plus vraiment de correspondance à se lier. Perdu. Paumé. Noyé. Je peux en trouver des adjectifs. Par millier même. Jhett, tu viens ? Le cours est terminé... Son accent d'Europe m'énerve encore plus, je ne sais pas pourquoi mais je trouve ça vulgaire, tout en elle. Tout en elles. Au pluriel, j'ai l'impression de devenir un fou qui rejetterait tout le plaisir proposé; mais quel plaisir au juste ? Je m'embrouille de ce fait. Grognant légèrement, je délaisse alors ma maquette de cours technique pour ranger mes quelques affaires, attrapant mes plans infinie sur le bureau de la salle déjà presque vide je ne tarde pas à rejoindre cette fille glissant un bras autour d'elle. Norah, de son nom. Sans importance, comme si tu ne savais pas toi même de quel degré allait mon ignorance. Et on rejoint le forum,à plusieurs, parce que c'est tellement mieux de se montrer en nombre et supérieur, futile.

Salle pas forcément vide, assez pour notre confort cependant. J'y délaisse mes affaires attrapant avec indifférence une queue de billard on remet le jeu tranquillement en place s'organisant en équipe alors que les filles et les autres se mettent plus à discuter et observer. Et on commence. Malgré sa présence que je sens depuis le début. Parce ce que sois ce mec pu le feu à des kilomètre à la ronde, soit y'a un je ne sais qu... non, j'en sais rien ! Je veux pas. Je ne sais pas et je m'en fiche. Brisant le triangle de boules colorées, le jeu est lancé. Et le temps se laisse doucement glissé, on déconne et le temps passe, entre apparence si bien arrangé on est évidement ceux qui se font le plus désiré. [...] Me penchant sur le billard visant pour taper, je le haïs alors pour ses yeux croisés, pour son regard bleuté et sa manière de me regarder. Parfois, j'me demande même pourquoi l'avoir sauvé. Bam, le bruit sec de la boule frappant une autre me fait redescendre sur terre, je regarde la suite de mon jeu avant de laisser les autres passer leur tour. Évidement il le sait. Il le savait j'en suis sur avant même que je fasse quoi que ce soit, son arrogante assurance me faisant grincer des dents... Et je m'éloigne des gens de la confrérie un instant m'approchant de se qu'il pourrait aisément appeler son divan, arrivant face à lui alors que je baisse les yeux sur lui. Arrêtes ça.

© charney

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