ta vie en couleur c'est le secret du bonheur
+ QUE PENSES-TU DE JERSEY ? c'est un très bel endroit. Je trouve cette île délicieuse bien qu'un peu pluvieuse. Mais ce n'est pas ce qui compte, tant que je m'y sens bien je resterais ici. Ma mère avait eu un coup de cœur pour cet endroit mais mon père avait décidé de vivre à Londres. J'avoue qu'entre les deux la douceur de Jersey me plait plus. Et à Londres il n'y a pas d'université aussi cool! Et à Jersey je n'ai pas mon débile de père sur le dos et ma terrible sœur derrière moi à longueur de journée, bref Jersey c'est la liberté!
+ DEPUIS COMBIEN DE TEMPS VIS-TU ICI? je suis ici depuis 5 ans. Depuis le début de mes études supérieures en fait. Ma mère avait fait ses études ici c'est donc tout naturellement que j'ai suivi le même chemin que ma mère et je ne suis pas déçue du voyage. Cet endroit est parfait en tout point! Ma mère avait quitté le Canada et sa famille pour venir étudier ici, elle aussi avait fait partie des Zeus, je donnerai beaucoup de ma personne pour savoir comment elle se comportait elle qui se la joue sainte-nitouche maintenant qu'elle est mariée et mère. Qu'est-ce que les gens peuvent changer!
+ SI TU DEVAIS RÉSUMER TA VIE EN TROIS MOTS: bonheur, c'est pour quoi chaque jour doit être parfait, sans bonheur la vie n'a pas de sens. Plaisir, à quoi ça servirais de vivre sans un peu de plaisir. Luxe, c'est ce à quoi j'aspire et c'est le milieu dans lequel j'ai grandi. Et oui je suis née dans une famille où l'argent ne manquait pas. Mon père avait hérité de son père beaucoup d'argent et son métier lui rapportait beaucoup. Toute petite déjà j'étais habillée en Burberry et j'avais une poussette Maclaren. Avoues : t'es jaloux!
+ TU AIMES/TU N'AIMES PAS j'aime le shopping, la mode, la tv, le cinéma, les pizzas, les smoothies, la musique, la danse, la vodka, mes amis, sortir en boîte, faire la fête, les beaux gosses, ma popularité, les films romantiques, les films de super-héros, voyager, dépenser, le soleil, les chats, les dessins animés Disney, l'orage mais je n'aime pas les serpents, les araignées, les rats, les épinards, les films d'horreur, les hypocrites, la cigarette, la bière, les cornichons, le vide, le noir (je suis faite pour la lumière #sbaff#).
+ TES PLUS GRANDES PEURS? je pense que ma plus grande peur c'est de mourir en ayant raté ma vie. De mourir en n'ayant pas accompli la moitié des objectifs que je me suis fixée. Pour moi ce serait un échec et dans ce cas là, mieux vaut mourir jeune. A quoi bon vivre si c'est pour ne pas avoir ce que l'on souhaite? Pour moi ce serais une honte, je préfèrerais mourir que de savoir que jamais je n'aurais la vie que je souhaite avoir. Je veux prouver à ma famille, et même au monde entier ce dont je suis capable moi Mary-Quinn Charlotte Fitzgerald! Je porte pas le même nom qu'un président si c'est pour vivre dans l'ombre!
+ QUE REPRÉSENTE LES CONFRÉRIES POUR TOI? Ma confrérie c'est un peu comme une seconde famille, ceux que j'aime, ceux que je déteste. Peut importe. On se bat tous pour l'honneur de notre "famille" et je sais que dans l'adversité nous serons soudés et qu'on réussira pour toujours à faire de la confrérie la plus parfaite et que tout le monde voudra nous rejoindre! Mais je ne veut pas de violence. Il faut qu'on montre qu'on est assez intelligents et distingués pour défendre notre confrérie sans violence et sans en venir aux mains.
+ ET QUE SERAIS-TU PRÊT(E) À FAIRE POUR TA CONFRÉRIE? Je serais prête à tout. Je donnerai n'importe quoi pour la confrérie. Il y a seulement un point sur lequel je ne suivrais pas le mouvement c'est si on commence à menacer de mort ou autre les autres confréries. On a pas besoin de ça pour être parfait non? Je suis prête à donner beaucoup car cette confrérie me permet d'exister à l'université et de ne pas être une simple anonyme qui doit faire des choses débiles pour se faire un nom. Pas besoin d'artifice, si on est dans cette confrérie c'est qu'on le vaut bien.
+ POURQUOI CETTE CONFRÉRIE ET PAS UNE AUTRE? Si j'ai choisi cette confrérie c'est que c'est celle qui me correspond le plus. Je n'étais pas une artiste, ni une rebelle, moi je voulais une place au soleil, la popularité, les soirées, la possibilité de ne pas faire partie de la masse des élèves et d'être à part dans le bon sens, qu'on me reconnaisse dans l'université. Je ne pouvais tout simplement pas être dans une autre confrérie que celle que ma mère avait intégrer et celle qui lui avait permit de passer les années les plus glorieuses de sa vie.