Un petit VOTE toutes les deux heures, les amours |
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| (M/PRIS) SAM CLAFLIN (négociable) ◭ mad world. | |
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| Sujet: (M/PRIS) SAM CLAFLIN (négociable) ◭ mad world. Mar 19 Mar - 10:47 | |
| Prénom Prénom Nom I'm so selfish SURNOM(S) + réponse ici NÉ(E) LE + au choix (entre 22 et 25 ans) A + réponse ici J'AI DES ORIGINES + au choix ET J’ÉTUDIE MAINTENANT LA/LE + au choix, prof ou étudiant ayant repris ses études JE SUIS + attentionné, patient, altruiste, généreux, MAIS AUSSI UN PEU + têtu, enfantin, naïf, perfectionniste. J'AIME LES + hommes/femmes/les deux MAIS JE SUIS + en couple, célib, etc. (au choix, vous pouvez très bien le mettre en couple pour que ça soit plus palpitant) MON DIEU ANTIQUE FAVORI C'EST + au choix ET IL PARAIT QUE JE RESSEMBLE A + sam clafin, JE SAIS, JE SUIS SEXY. |
I'm out of control histoire très libre, il peut être né où vous le souhaitez, être de la nationalité qu'il vous plaira, l'enfance que vous souhaitez @ il a quelques histoires à son actif mais ça a toujours été catastrophique car il a tendance à ne voir que le bon de chaque personne, et se fait donc avoir par plus manipulateur que lui @ il est venu en allemagne un jour pour rejoindre une femme, plus âgée que lui, qu'il avait rencontré dans son pays natal où elle était en voyage @ arrivé chez elle, elle lui a avoué qu'elle ne pensait pas qu'il viendrait ici, et qu'elle est mariée @ frustré, il s'est alors retrouvé seul dans berlin la nuit et c'est là qu'il a rencontré madison @ après être resté donc un an et demi avec elle (de ses 15 ans et demi à ses 17ans de son départ), libre à vous de choisir ce qu'il a fait et où il est allé vivre @ il peut être là depuis un an maximum, ou moins bien sûr @ au choix, il peut très bien être devenu prof ou bien avoir décidé de reprendre ses études et donc avoir intégré une des confréries @ il ignore que maddie vit à jersey, et qu'elle a changé de nom.
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mes petits liens chéris | DELILAH-ROSE STRAUSS ⊱ La première fois que je l'ai vue, j'errai comme un de ces pauvres types à chercher une fille facile pour passer la nuit. J'étais déboussolé, j'étais seul, j'étais complètement paumé. J'étais venu là pour une femme et elle venait de me jeter dehors, donc j'errais dans les rues de Berlin à l'aveugle, dans ce pays que je ne connaissais pas beaucoup. Elle est venue m'accoster avec un « Besoin de compagnie pour cette nuit, mon beau ? » et j'ai alors posé mes yeux sur elle. Dans sa voix il y avait quelque chose de faux, de forcé, son maquillage était exagéré peut-être pour la faire paraître plus vieille qu'elle ne l'était, car la gamine devant moi ne devait pas être âgée de plus de quinze ou seize ans. Elle me regardait avec une détermination farouche, avec cette détresse dans le regard, si bien que j'ai accepté. Je l'ai amenée chez moi mais au moment où elle a tenté de m'embrasser – pour commencer son "travail" – je l'ai repoussée. « Non, j'attends pas ça de toi. » Elle m'a dévisagé, sans comprendre. Elle était sublime. Oui, réellement sublime. « Pourquoi tu fais ça ? » lui ai-je alors demandé. Elle a froncé les sourcils. « Ça quoi ? » Sa voix était méfiante. Mais j'étais certain qu'elle savait de quoi je parlais. « On t'y oblige c'est ça ? » J'ai fait un pas en avant et elle n'a pas bougé. J'avais vu juste. « Qui ? Tes.. tes parents ? » Ses lèvres se sont mises à trembler mais je n'ai vu nulles larmes couler sur ses joues. Elle était fière, elle était forte, elle n'était pas prête de céder à la douleur qu'elle éprouvait au fond pourtant. J'étais touché de voir cette gamine si frêle faire ça. Touché mais révolté aussi. Révolté car c'était injuste. Ça n'était pas une vie pour elle. J'étais maintenant tout prêt d'elle et je lui ai caressé la joue. Elle avait un oeil au beurre noir, camouflé sous une couche habile de fond de teint. À sa façon de frémir, j'ai deviné que c'était la première fois qu'on usait de douceur avec elle. Elle n'osait pas me regarder, comme si elle avait l'habitude d'être soumise. « Regarde-moi.. » Elle a levé ses yeux bleus vers les miens, mais je voyais qu'elle avait du mal à ne pas les détourner. « Comment t'appelles-tu ? » Il s'est écoulé une bonne minute avant qu'elle ne me réponde. « Madison. » J'ai caressé ses cheveux, j'ai éteins la lumière, et je lui ai demandé de venir me rejoindre dans le lit. Peut-être a-t-elle cru que j'étais comme les autres, qu'au final j'avais changé d'avis, mais cette nuit-là, il ne s'est rien passé entre nous. Je me refusais de penser à cette adolescente de la sorte. On a dormi l'un contre l'autre, j'étais plus âgé et c'était de mon devoir de la protéger. Quand j'ai ouvert les yeux, elle était déjà partie. Elle s'était envolée, comme si elle n'avait jamais existé. J'avais prévu de repartir de ce pays le lendemain, mais j'avais comme sentiment à présent de devoir rester. De la retrouver, et de l'aider à sortir de cette situation.
« Pourquoi tu fais ça ? » Je l'ai regardée fixement, l'embrassant avec tendresse. Entre nous, il y avait plus, on avait cédé quelques fois à coucher ensemble mais c'était doux, ce n'était pas dans l'obligation comme elle le connaissait avec ses autres "clients". Je ne lui imposais rien et c'était souvent elle qui venait vers moi pour s'oublier le temps d'une nuit. Après la première rencontre, je n'ai pas mis longtemps à la retrouver. Elle s'est montrée encore plus méfiante, ne comprenant pas pourquoi un homme pouvait être gentil avec elle comme je l'étais. Mais au bout de quelques mois, elle a commencé à baisser ses barrières et à me faire confiance. « Parce que tu ne mérites pas ça, Maddie, une autre vie t'attend, et je veux t'aider à l'avoir. » Elle n'y croyait pas, je le voyais dans ses yeux bleus et éteins. À ce jour, elle avait seize ans et demi et ça faisait six mois que nous entretenions cette relation. La plupart des nuits – plusieurs fois dans la semaine – elle venait se réfugier ici, toujours dans la même chambre d'hôtel, ou bien c'est moi qui réussissais à la trouver. Je lui donnais de l'argent à chaque fois même lorsqu'il ne se passait rien, et elle l'acceptait en mettant sa fierté de côté. Il fallait qu'elle rapporte quelque chose à ses géniteurs et en même temps, ça l'empêchait de devoir endurer un véritable enfer tous les soirs. « Tu es trop bon, c'est presque pas normal.. » a-t-elle murmuré. J'ai écarté une mèche de ses cheveux. « Tu le mérites. Tu mérites de vivre vraiment, d'être heureuse. » Pour la première fois, elle a souri. Souri vraiment. Elle m'a attirée contre elle et a posé sa tête sur mon torse en fermant les yeux, me serrant contre elle. « Je te promets de tout faire pour te sortir de là. » Ce soir, pour la première fois, elle a pleuré devant moi.
« Allez, va t'en ! » Elle me regarde sans comprendre, déstabilisée. C'est pour son bien mais elle l'ignore. « Prends cet argent, file vers l'aéroport, et pars pour une nouvelle vie ! » Elle reste là sans bouger, bouche bée. « Madison, allez ! » Mon ton est sec et dur. Je le sais. Mais c'est fait exprès. Je me suis attachée à elle et c'était dangereux, je ne me sentais pas prêt à lui avouer ce que je ressentais alors qu'elle n'avait que dix-sept ans, qu'elle craignait dès que quelqu'un levait le bras au-dessus d'elle, et que la peur brillait dans son regard si bleu. Et surtout, pas tant qu'elle était là, sous l'emprise de ces traîtres de parents à utiliser leur fille dans ce but-là. « Mais.. mais je ne veux pas te quitter.. » a-t-elle murmuré. Elle s'est attachée à moi aussi, et ça me fait peur. Il faut que je trouve un moyen de la forcer. De lui faire comprendre que rien ne la retient ici. Et surtout, je me refuse à penser que ce quelque chose peut être moi. Je m'en voudrais à vie. D'un geste rageur, j'attrape les liasses de billets accumulés et les fourre dans son sac. Elle n'a toujours pas bougé et des larmes bordent ses yeux. Ça me fend le coeur. J'ai envie de la serrer contre moi mais il faut que je résiste. Pour mon bien et surtout, pour le sien. « Il n'y a rien entre nous Maddie, j'ai voulu t'aider, maintenant tu es encore plus forte mais il est temps que ça cesse. Rien n'est possible là entre nous. » - « Tu ne..? » Elle n'a même pas fini sa phrase mais je savais ce qu'elle me demandait. J'ai rassemblé toutes mes forces et l'ai fixée droit dans les yeux sans ciller. J'ai posé ma main sur son poignet pour la forcer à me regarder. J'ai senti qu'elle tremblait. « Je ne t'aime pas, Madison. Tout ça... c'était rien. » Elle s'est dégagée violemment et m'a giflé. Le coup est parti tout seul, j'imagine. Je n'ai pas bronché. Je le méritais, mais c'était pour son bien. Je me devais de mentir pour la forcer à partir. Sinon, elle ne quitterait jamais cet endroit, jamais cet enfer. Et elle méritait mieux. Mieux que moi. « T'es comme les autres, finalement. » a-t-elle craché à quelques centimètres de mon visage, l'air mauvaise. Mais au moins, je savais que j'avais gagné. Elle me croyait alors que je venais de sortir le plus gros mensonge de ma vie. Elle a attrapé le sac, ne m'a plus adressé un regard et a quitté l'hôtel en claquant la porte. J'espérais juste qu'elle ait réussi. Mais je ne pouvais pas en être sûr, puisque je ne l'ai jamais revue. |
| ALEC A. GREY ⊱ La première fois que je l'ai rencontré, c'était le lendemain de ma première rencontre avec Madison. Je la cherchais, justement, quand j'ai vu ce type lui parlé. Calmement, j'ai attendu et le type est allé s'installer, seul, à une table. Il n'était pas là pour profiter d'elle; j'y ai vu tout de suite un allié. Je me suis dirigé vers lui : « Excuse-moi, la fille là-bas que tu viens de quitter, tu la connais ? » - « Ouais, et ne t'avises pas d'aller la pourrir avec tes sales pattes pour une nuit enflammée, y en a d'autres de libres. » J'ai baissé les yeux. Je devinais aisément qu'il n'était pas méchant comme type, et que sa réaction, là, ne pouvait qu'être positive. On avait le même but : protéger Madison. « Au contraire, je veux la sortir de cette situation, je l'ai rencontrée hier et.. et elle ne mérite pas de faire ça. » Il m'a regardé un long moment, puis j'ai comme sentit qu'il me donnait sa confiance. On a commencé à parler, longtemps. Puis très tard dans la soirée, il m'a enfin dit : « Je ne peux pas rester, je repars demain, j'ai une petite soeur qui a besoin de moi et je ne peux pas la laisser seule... Hum.. est-ce que je peux te demander une service ? Sauve-la. Du moyen que tu veux, mais sauve-la. Fais-moi la promesse que tu chercheras par tous les moyens de la protéger, et de l'aider à faire une autre vie. » Je lui ai promis. |
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| Sujet: Re: (M/PRIS) SAM CLAFLIN (négociable) ◭ mad world. Mar 19 Mar - 10:57 | |
| petits plus à savoir.
Déjà, merci de l'intérêt porté à mon scénario, voilà quelques détails en plus, promis je ne serais pas longue. pseudo : entièrement libre, je n'aime pas imposer un pseudo, j'aime bien tout ce qui est original sans que ça tombe dans le truc qui fait dix mètres de longs. tout dépend de la nationalité que vous voulez pour le monsieur et tout, donc à vous de voir. avatar : honnêtement j'ai craqué pour la petite bouille de Sam (en plus c'est lui qui va jouer Finnick dans Hunger Games 2. ) mais il est négociable, je ne suis pas difficile, si vous avez quelqu'un d'autre en tête tant qu'il a ce petit côté innocent/gentil/naïf et qu'il est un peu plus vieux que Taylor pour rester cohérent... au pire si Sam ne vous plait pas du tout, n'hésitez pas à m'en proposer plusieurs. lien : alors oui, X avait des sentiments pour Madison et elle aussi même si elle ne s'en rendait pas trop compte vu que ça ne lui était jamais arrivé. À vous de voir si après deux ans et une vie à côté pendant ce temps, il en a encore ou non, c'est vraiment libre ! D'une façon ou d'une autre, ça leur fera un choc à tous les deux de se recroiser quoi. Après, aucune idée de comment ça va tourner, Delilah lui en voudra sûrement beaucoup de lui avoir dit ça le jour de son départ mais en même temps c'est grâce à lui qu'elle s'est sortie de cette situation, donc... Bref, tout ça, ça sera à voir durant le rp quoi, qui promet d'ailleurs des sujets explosifs. présence : on a tous une vie, moi la première, je ne suis pas du genre à harceler les gens pour avoir ma réponse. au contraire, relax (take it eaaaasy ) et have fun avant tout quoi ! peu importe le nombre de lignes (tant que c'est pas bourré de fautes ), je m'adapte à tout et le principe du forum fait aussi parti de moi : les rp courts qui avancent plus vite me motivent plus, mais j'ai tendance à vite dérailler quand je suis inspirée. autre : si vous prenez mon scénario, OHLALA comme je vous aime quoi. là j'vous ferais un temple en chocolat/oréos, même en kinder bueno. et j'vous vénèrerai à vie. je reste bien sûr à votre entière disposition pour répondre à toutes vos questions. et puis, on s'éclatera bien j'vous le promets, et vous pourrez faire de moi tout ce dont vous rêvez.
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| | | | (M/PRIS) SAM CLAFLIN (négociable) ◭ mad world. | |
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