ce soir on vous fait, ce soir on vous fait... des pâtes + william 4118676959 Un petit VOTE toutes les deux heures, les amours ce soir on vous fait, ce soir on vous fait... des pâtes + william 4118676959
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 ce soir on vous fait, ce soir on vous fait... des pâtes + william

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MessageSujet: ce soir on vous fait, ce soir on vous fait... des pâtes + william   ce soir on vous fait, ce soir on vous fait... des pâtes + william EmptySam 4 Mai - 13:54

william, gaspard lecomte
j'ai choisi une formule "fish and Chips" tu dois remplir une fiche et on te donne des chips
SURNOM(S) + will. NÉ(E) LE + 12 mars. A +Paris. ORIGINES + française et américaine. ÉTUDES/MÉTIER + criminologue mais aussi rugbymen. QUALITÉS + attentif aux autres, stable, généreux et honnête. DÉFAUTS + jaloux, impulsif, protecteur et possessif. SEXUALITÉ + hétéro. STATUT CIVIL + marié à lily. ♥️ PARTICULARITÉ + a un tatouage sur le poignet et derrière l'oreille, est un peu bipolaire sur les bords, assez distrait. ANECDOTES + se passe toujours la main dans les cheveux lorsqu'il est gêné, déteste les légumes rouges. GROUPE + poséidon. AVATAR + adam gallagher.
PLUTÔT BRANCHÉ :

FÊTE
SOIRÉE DVD
SOIRÉE ENTRE AMIS

DU GENRE :

CIGARETTE
ALCOOL
NOTHING

TA CONFRÉRIE EST:

PRIMORDIALE
IMPORTANTE
INUTILE

TES POTES :

C'EST TA VIE
CA S'EN VA ET CA REVIENT
SANS PLUS

ET TON FUTUR, TU LE VOIS :

AVEC UNE FAMILLE
FAISANT CE QUE TU AIMES
TU VIS AU JOUR LE JOUR

L'AMOUR POUR TOI :

CA SERT A RIEN
C'EST LE PLUS IMPORTANT
SANS AVIS

JERSEY :

TU T'EN FOUS
C'ÉTAIT PLUS UNE OBLIGATION
TU ADORE CETTE ÎLE

L'UNIVERSITÉ :

C'EST PAS POUR TOI
TU N'EN PENSES RIEN
C'EST UN PASSAGE OBLIGÉ

T'ES PLUS:

SENSATIONS FORTES
POSÉ AU CALME
UN PEU DES DEUX

LA FAMILLE :

C'EST TRÈS IMPORTANT
T'EN A PAS
M'EN PARLE PAS

behind the computer
PSEUDO : unbreakable. PRÉNOM : justyyyne. ÂGE : très très vielle ce soir on vous fait, ce soir on vous fait... des pâtes + william 2332319059 OÙ AS-TU CONNU LE FORUM ? de mes ce soir on vous fait, ce soir on vous fait... des pâtes + william 3669007150 TON AVIS : ce soir on vous fait, ce soir on vous fait... des pâtes + william 577704309. FRÉQUENCE DE CONNEXION : all days. DOUBLE COMPTE? moi, noooon (a). PERSO INVENTÉ OU SCÉNARIO? PI. CODE DU RÈGLEMENT : not here. AUTRES : c'est juste un changement d'avatar rassurez-vous. ce soir on vous fait, ce soir on vous fait... des pâtes + william 1562625649


Dernière édition par William-G. Lecomte le Sam 4 Mai - 14:06, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: ce soir on vous fait, ce soir on vous fait... des pâtes + william   ce soir on vous fait, ce soir on vous fait... des pâtes + william EmptySam 4 Mai - 13:55

raconte nous ton histoire
une courte citation. une courte citation.
la nuit m'appelle + chapter one
Pas un mot. Pas une expression. Pas une émotion. Non il n'y a rien que je me souvienne de ma mère. Rien. Et je pense que c'est la pire chose qu'il puisse arriver à quelqu'un. Ne pas se souvenir de sa propre mère. Se souvenir simplement que c'est à cause de mon père qu'elle n'est plus là. Tuée au beau milieu d'une rue, seule, abandonnée. Mariée à un connard. Non, il n'y a rien de pire. Né d'un père américain et d'une mère française, mes parents ne voulaient pas vivre en France et encore moins en Amérique ; finalement, nous sommes partis en Norvège. Allé savoir pourquoi.

Vous ne savez pas ce que c'est d'être né dans une famille où l'amour n'existe pas. Vous ne savez pas ce que ça fait d'apprendre que votre mère est morte alors que vous n'aviez que quelques mois. Mon père a toujours évité la discussion, disant qu'elle était partie à ma naissance. Se faisant passé pour un héros. Mais ce n'est pas du tout ce qu'il était, au contraire. Il a passé dix ans à me mentir quotidiennement. Elle est partie, tu as tout gâché, elle ne t'aimait pas. Me répétait-il à longueur de journées. Non, vous ne savez pas ce que ça fait de se sentir responsable de la perte de votre propre mère alors que tout ça n'est qu'un tissu de mensonges. Pendant dix ans, chaque soir, je m'endormais en pleurant et en m'excusant, priant pour qu'elle revienne. Chaque soir je me rendais responsable. Je pensais même à mettre fin à mes jours. Et puis un beau jour, mon père en avait marre, il s'est levé, m'a regardé et m'a dit des paroles que je ne risque pas d'oublier. Elles sont gravées en moi et me rappelle chaque jour à quel point mon père était un connard. T'as toujours pas compris? Elle est morte, butée dans une ruelle et c'est ce qu'elle a mérité. Alors ferme ta gueule maintenant et fous moi la paix. Après dix ans seulement, j'apprenais la réalité. Et je n'ai rien répondu à mon père. Je n'ai même pas défendu ma mère comme il le fallait. Ça à sans doute été la pire erreur de ma vie. Mais croyez-moi, j'allais pas en rester là.
le poison me dévore + chapter two
Jamais je n'ai réussi à pardonner à mon père. Même après ce qui était arrivé à ma mère, il continuait son trafic de prostituées sans remords, sans regrets. Je n'ai jamais compris comment un homme, peut-il prendre autant de plaisir en vendant des filles. Parce que oui, il se servait d'elle comme gagne-pain et j'ai toujours été gêné d'avoir un tel nom de famille. Taylor. Car oui, mon père était américain à la base et non français. C'est pour ça que j'ai décidé de prendre le nom de ma mère plus tard. Trop gêné pour garder le nom de famille d'un mac. Mon père ne s'est jamais retourné si il y avait un problème, jamais. Et mon seul but, était qu'il tombe. Qu'il se fasse embarquer par la police et que toutes ces filles si malheureuses, soient libérées. Alors à l'âge de quinze ans, déjà très mature pour mon âge, je questionnai mon père comme si de rien n'était sur la journée qu'il allait passer, les filles qui allaient faire la tournée, etc. Pas très intelligent, il n'y fit même pas attention. Je téléphonai à la police, dénonçai un trafic de prostituées à tel endroit et comme prédis, mon père fut placé directement en prison.

Non, vous ne savez pas ce que ça fait de mettre votre propre père en prison. Mais c'est tout ce qu'il méritait, rien de plus, rien de moins. Comme lui, je n'ai jamais regretté. Non, jamais.

Le procès de mon père se déroulait normalement et j'étais appelé à témoigner. Je voyais toute la haine qu'il avait dans les yeux, toute cette haine qu'il ressentait à mon égard. Mais peu importe, j'étais persuadé d'avoir fait ce qui était le mieux. Évidemment, pour moi, ça serait la famille d'accueil de suite, mais ça ne pouvait pas être pire, n'est-ce pas? En effet, j'ai tout de suite été placé en famille d'accueil mais chez des gens bien qui m'ont apporté énormément de choses. Et ils m'ont notamment apporté Mathilda. Une jeune allemande qui venait dans la famille chaque année. Au premier regard, je suis tombé amoureux de ses yeux bleus. Ce regard si tendre, si affectueux. Et par chance, c'était réciproque du moins c'est ce que je croyais. Mais une fois de plus, je me trompais. Trop naïf, trop amoureux. Nous avons passé l'été ensembles, nous sommes tombés amoureux et comme prévu, à mon plus grand regret, Mathilda dû reprendre la route pour l'Allemagne. Je n'ai jamais pu me faire à l'idée. L'attendre un an, ça n'était pas possible pour moi. Elle me manquait trop, beaucoup trop. Alors voilà, j'ai fait l'erreur d'aller la rejoindre à Berlin. En Norvège, j'avais un petit boulot dans une boulangerie. Je n'ai pas suivi d'étude et à vingt et un an, ce n'est pas difficile de trouver un boulot là-bas. Alors j'ai travaillé dur pour payer mon billet et rejoindre Berlin. Une fois l'argent rassemblé, je décollai pour Berlin, tout excité à l'idée de rejoindre mon allemande. Mais une fois sur place, je n'étais pas préparé à ce qui m'attendait. Mariée, Mathilda était mariée et enceinte. Pas de moi, heureusement, mais enceinte. Elle s'était foutue de moi, une fois de plus, je m'étais fait avoir. Bêtement. Après Camille, Mathilda. Camille est une jeune brune, magnifique, que j'ai rencontré avant mon allemande, mais alors que je tombais amoureux, elle s'envola pour toujours. Je ne l'ai jamais revu mais je n'ai jamais été autant amoureux qu'avec elle. Du moins c'est que je croyais.
ça ira mon amour + chapter three
Je croyais être au plus bas, je croyais que quelqu'un s'acharnait sur moi. Après Camille, je me fais avoir par Mathilda. C'est qui la suivante? Oui en amour, j'ai toujours été un cas désespéré. Mais ça, c'était avant. Avant que je ne croise cette chevelure blonde, ce teint si parfait, ce corps si désirable même avec ses vêtements trop vulgaires pour elle et surtout pour son âge. Madison. Besoin de compagnie pour cette nuit, mon beau. Et là, je percutai. Elle se prostituait, elle, alors qu'elle n'était sans doute même pas majeure. Sa voix était encore plus belle que je ne l'imaginais. Et même si ça sonnait faux, ça sentait bizarrement le texte appris par cœur, elle était divinement belle. Je l'imaginais, sans toutes ces couches de maquillage, sans ces vêtements qui ne l'a mettait pas du tout en valeur. J'ai tout de suite vu le bon en elle. J'ai tout de suite compris que je devais l'aider. Hors de question que je profite d'elle ou de son travail forcé mais je devais la ramener chez moi, du moins à l'hôtel que j'avais trouvé un peu avant. Alors j'ai accepté sa proposition et l'emmena chez moi. Maddie ne demanda rien, aucune question, aucune peur, rien. Elle ne montrait rien. J'aurais pu l'emmener n'importe où mais ça lui était égal. Une fois à l'hôtel, par habitude, elle commença à m'embrasser. Je secouai la tête, l'a repoussa légèrement. Je ne voulais pas en profiter. Elle était trop jeune et trop désespérée. Alors j'ai voulu comprendre pourquoi elle se prostituait alors qu'elle n'avait sans doute que quinze ou seize ans. J'en avais vu énormément dans mon passé des jeunes filles dans son genre et trop souvent, ça venait des parents. Et je ne me trompais pas. Nous avons passé la nuit, blottis l'un contre l'autre. Il ne s'est rien passé, je me le suis interdit. Elle était trop jeune pour ça même si elle a dû perdre sa virginité avant moi. Je l'ai gardé dans mes bras toute la nuit, comme si j'avais besoin de la protéger. Comme si je ne voulais pas qu'elle s'en aille.

Au petit matin, elle n'était plus là. Partie, sans rien dire. J'aurais voulu faire le connard et repartir en Norvège sans rien dire, ça m'aurait évité de souffrir par la suite, mais je ne pouvais pas faire ça à Madison. Jamais je ne pourrai l'a laisser tomber. Jamais. Je décidai donc de partir à sa recherche, voulant à tout prix l'a retrouver et être là pour elle. L'avoir dans mes bras à nouveau, sentir sa présence. Je m'en voulais énormément de ressentir ça pour une gamine même si sa maturité était drôlement plus élevée que n'importe quelle fille de quinze ans.

Je veillerai sur toi, je te le promets. lâchais-je un soir alors qu'elle dormait. Les nuits qu'on passait ensembles étaient différentes des autres. Oui, nous avions déjà cédé et couché ensembles quelques fois mais ça n'était pas pareil. Ensembles, nous étions plus forts, plus doux, plus.. amoureux. Avec moi, Maddie se laissait aller et était sincère, je pouvais le sentir. Avec moi, ça n'était pas une histoire d'argent. C'était bien plus. Je tombais littéralement amoureux d'elle et l'envie de l'a sortir de là devenait de plus en plus forte. Alors un beau jour, j'ai décidé de lui épargner d'autres souffrances. J'ai décidé de lui donner sa liberté car seule, elle ne pourrait sans doute pas y arriver. Je me souviens encore de notre conversation, si déchirante, si affreuse pour moi comme pour Maddie. Allez vas-t'en ! Prends cet argent, file vers l'aéroport, et pars pour une nouvelle vie ! Paroles déchirantes qui risquaient de la faire souffrir et après ça, elle me détesterait sans doute. Mais ce n'est rien, maintenant elle était libre. Libre d'aller où elle veut et libre d'avoir la vie dont elle a toujours rêvé. Je ne t'ai jamais aimé, tout ça n'était rien. Mes paroles étaient dures, je n'aurais jamais pensé dire ça un jour mais il le fallait. Je voulais qu'elle s'en sorte, sans moi même si c'est la pire chose que j'ai fait dans ma vie. Elle m'a giflé, les yeux remplis de larmes, m'a adressé un dernier regard - regard que je n'oublierai jamais - et s'en est allée. C'est la dernière fois que je l'ai vue, j'avais perdu la personne la plus importante à mes yeux mais je ne regrettais pas.

Je n'ai jamais su ce qu'est devenue Madison ni où elle est allée. Mais après son départ, je suis retourné en Norvège pendant un an. Cette année-là, j'ai rencontré Lily-Rose. Une jeune blonde qui me faisait étrangement pensé à Madison. Pour elle, ça a été le coup de foudre, pour moi peut-être pas, mais c'était le meilleur moyen pour faire ma vie de mon côté aussi. Et je dois avouer qu'elle me plaisait beaucoup tout de même. Alors, j'ai décidé de laisser une chance à notre couple et construire quelque chose avec elle.

Oui je le veux. Je fis ma demande quelques mois plus tard. Nous sommes partis en voyage de noces et là, tout s'est enchaîné. Lily trouva un boulot à Jersey, une petite ville étudiante. Là-bas, je pourrais reprendre mes études, construire une nouvelle fille, avec une femme qui m'aime. Mais encore une fois, trop naïf, je me faisais avoir. Lily était seulement là par facilité, mais dès que j'ai le dos tourné, je sais qu'elle en profite pour passer ses journées au lit avec des tas d'inconnus. Mais être avec Lily me fait penser à autre chose qu'à Madison. Car oui, après tant d'années, elle est toujours encrée en moi, comme si elle ne m'avait jamais quitté. Alors oui, même si je passe pour la risée du campus en étant cocu avec pas mal de gars, peu importe. Au moins, j'ai la tête occupée et le cœur ailleurs pendant quelques instants. Au moins, je peux construire une nouvelle vie. Sans me préoccuper du passé..
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