Je ne savais pas à quoi il pensait, j'avais peur qu'il me découpe en morceau par la suite, après tout s'était tout à fait possible. Souvent ce genre de scène se finissent comme ça non? Je le sentis détacher son pentalong et venir frotter son membre. Il avait de lui même forcé l'ouverture de mes jambes. Je fermais les yeux en le sentant glisser en moi.. «non, arrête! » mais je gémissait déjà ouvertement. Je tentais de bouger mes lèvres, mais elles étaient caresser par les siennes!

Je ne sais pas comment ça se passe généralement. Je suis a peu près certaine par contre que les autres victimes en général ne sont surment pas super exciter par la pratique... je suis pas normal je ne sais pas... pourtant e sais que je le veux pas .. enfin peut être pas autant uqe je le pense... en même temps c'est plutôt évident. Il remonte ma jambes, je le sent entré et ressortir en moi, je le sent énorme, j'ai presque l'impression qu'il va me déchiré tellement il est énorme... je me mord la lèvres, j'essaie de retenir les gémissements de plaisir du mieux que je peux.. pas très bien.

Si il avait fait cela avant ? bonne question, je ne sais pas il n'y à pas a remarquer si il semble en contrôle ou un peu in expérimenter.. enfin pas niveau sexe.. je crois que j'ai jamais rien ressentis de telle.. déjà qu'il a un membre beaucoup trop gros pour appartenir à un homme normal, en plus il savait s'en servir... je fesait tout ce qui était en mon possible pour résister, ne pas gémir, ne pas hurler alors que je le sent défoncer mon entre cuisse.

en tout cas pour la perfection, je sais pas pour le corps mais pour la bite c'Est un vrai dieu... si il y avait des olympique pour cela il les remporterait haut la mains. j'ai jamais rien vvécu de tel. Je retiens mes gémissement, mais c'est vraiment dure... Je me met à le détester pendant que la pointes des mes seins se dresses un peu plus, poitrine durcie d'excitation... En plus il joue avec sa langue, ces lèvres dans mon coup, sur mon lobe.. je frissone.. je me jure que ces des frissons de dégout et de haine, c'est plus facile de penser cela...même si c'est pas trop ca

Il prend ce qu'il veux, c'est tout, cE'st peut-être ce qu'il y a de si excitant dans la manoeuvre.... je sais pas... je gémis et pourtant je pense encore à lutter, ça me donne l'impression de normalité, si je ne luttait pas ma honter d'en prendre un plaisir intense serait d'autant plus horrible. Je frémis. pendant un istant je crois pouvoir m'échaper quand il se retire et me retourne, mais il me retiens comme si il avait lue dans mes penser et me pénètre a nouveau.. cete fois je lâche un cris.. tant de douleur du coup tellement il était énorme et que je sentait mon intimité être défoncer sous ces coups, mais autant parce que j'en resentait beaucoup trop de plaisir .. beaucoup beaucoup trop...

je ne sais pas trop comment réagir face à cela... Si je devrait faire mon possible pour oublier qu'en fait il avait pris l'assaut de force et tenter de jouir et de ne pas en être trop tromatiser en même temps... ça serait surment la solituion la plus simple, pour me regarder en face après, pour ne par rougir de honte si jamais je jouie sous ces coups de bassins... Ou Si je dois rester forte, le haire pour cela... pour ces frissons sur ma peau... cette douleur dans ma gorge pour retenir les cris de plaisir. cette chaleur pour retenir le feu bouillant entre mes cuisses. Puis je me sentis exploser... mes joues rougis, mon cris avait percer l'écho. je me mis a pleuré, honteuse d'avoir jouie comme jamais.

comment il pouvait être aussi sans coeur!? je crois qu'a partir d'aujourd'hui je déteste les hommes! je restais par terre, immobile, ne tentant pas - du moins pas encore- de recouvrir ce qu'il avait déshabiller. Silencieuse, évitant son regard, espérant qu'il parte désormais au plus vite maintenant qu'il avait eu ce qu'il voulait. Je n'allais pas avouer que j'avais pris mon pied, même si il le savait autant que je le savais aussi. Je ne savais pas trop quoi penser mais je savait ce que je devais me dire... je devais penser que s'était un monstre.. je dois le haire.. et ne pas le trouver incroyablement sexy alors qu'il remonte son pentalon.

je ne voulais évidement pas monter avec lui... pas du tout ... il me fait peur... après ca il restait la scène ou il me découpait en millions de petit morceau et me jetais dans le caniveau... je sais pas... en même temps la seule chose qui me venait en tête c'est comment je ne voulait pas qu'il sache ou est-ce que j'habite.. comme si il allait entré par infraction les nuits suivante pour remettre ça... je mouillais a nouveau à cette idée.. j'eus honte de moi... quoi qu'il en soit, je n'avais pas le choix, et remontais dans la voiture.

je l'avais en quelque sorte prédis même avant que je n'ai entrepris ce chemin. Je remontais les jambes contre mon torse, me mordillant la lèvre en regardant dehors la route défillé. Les larmes avaient séchés sur mes joues, mais ma gorge ne s'était pas dénouer. Je ne crois pas que ce sera le cas avant d'être sorti de cette voiture. Je ne répondit pas à ces dires, me contentant d'un léger signe de tête négatif... que j'ai froid ou non, ça n'avais pas d'importance non?

Bon en même temps il avait pas tord, je fesait tromat' alors qu'en fait je ne ressentais pas exactement ce que je m'éforçais de démontré. Mais ce n'est pas normal non? je ne devrais pas avoir des frissios, des désirs... J'ai quelque chose qui cloche, et ce depuis longtemps certes mais j'ai l'impression que cet homme serait un accentuateur... il me rendrait folle. « sur le campus » pas question de lui donner l'adresse exacte, ou le nom de la fraternité.

Je ne savais pas qu'il enseignait sur le campus. Enfin oui en quelque sorte, il me l'avais dit un peu plus tôt sur la route. Mais ce souvenir ne me vint pas à l'esprit tout de suite, alors je nme dis que ce serais la dernière fois que je le verrais alors... c'est idiot. Je posais ma main sur la poigner de la portière, mais il n'avait pas totalement finis, la portière ne s'ouvris pas. « oui.. » il ne semblait pas convaincu.. « c'est claire.. »