entre nos crimes et puis nos cris et c’est fini les infinis entre la cuillère et puis la drogue sur les boulevards vont nos pirogues ✝ blazzim 4118676959 Un petit VOTE toutes les deux heures, les amours entre nos crimes et puis nos cris et c’est fini les infinis entre la cuillère et puis la drogue sur les boulevards vont nos pirogues ✝ blazzim 4118676959
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 entre nos crimes et puis nos cris et c’est fini les infinis entre la cuillère et puis la drogue sur les boulevards vont nos pirogues ✝ blazzim

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E.-"June" S. Morin


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entre les chats blancs les chats noirs. entre les verres et les comptoirs...

Galère. Non, pire que galère, comment dire ce n'était pas pénible, c'était purement et simplement affreux. Depuis peu, Tiphaine avait enfin pu quitter l’hôpital, à sa plus grande joie évidemment, mais son plâtre était un véritable calvaire. Elle ne pouvait plus rien faire ! Marcher avec une béquille, cela allait encore malgré sa légendaire impatience, mais ne plus pouvoir courir, utiliser ses rollers, jouer avec son chat,... Nul. Sa vie se résumait désormais aux cous, à manger, à s’ennuyer devant la télévision et à dormir. Lorsqu'elle ne supportait plus cette situation, elle sortait avec un ami, mais devait s'arrêter toutes les cinq minutes, souffrant de sa blessure par balle à la rotule. Elle ne l'avait pas loupée, mais alors là pas du tout. Cette fille était une malade, ils étaient tous malades à venir prendre en otage des étudiants pour leur stupide histoire de vengeance. Bien sûr, elle devait faire son deuil, mais cette pauvre folle n'avait rien trouvé de mieux que de venir tuer et blesser de gens qui n'avaient rien à voir, ou de très loin, avec la mort de son frère. Elle ne connaissait pas toutes les motivations de ces gens et, pour tout dire, elle n'en avait rien à faire. Aucune n'était suffisamment bonne pour agir ainsi. Enfin, peu importait, le mal était fait désormais, et plusieurs des preneurs d'otages étaient décédés, les autres en prison -à moins qu'elle ne soit pas au courant et que l'un ou l'autre se soit évanoui dans la nature, mais elle s'en fichait pas mal. Pour un mal, cela faisait vraiment mal, de moins en moins c'est vrai, et heureusement, mais sur le coup elle avait cru mourir de douleur. Adossée au mur dans le couloir près de son dortoir, la jeune Hadès observait sans vraiment les voir les étudiants de sa confrérie passer en attendant une illumination soudaine sur ce qu’elle pourrait bien faire de la fin de sa journée, ne voulant pas s'ennuyer à mourir comme tous les précédents jours de la semaine. Alors qu’elle s'emparait de son portable pour demander à l'un de ses amis, sans doute Joshua, si elle pouvait passer le voir, quelqu'un attira son attention. Un Hadès qui arrivait à sa hauteur, sans doute histoire de rentrer dans son dortoir puisque la fin des cours venait de sonner. Quelqu'un qu'elle connaissait, ou tout du moins elle se souvenait de lui. Et de son chat qu'Harper aimait beaucoup, je vous passe les détails du pourquoi. Ils se connaissaient comme cela, mais sans plus. Et un jour, alors qu'elle n'avait pas encore sa béquille donc plus de facilités à s'emporter et à menacer en étant prise au sérieux, il avait pris sa défense face à un type dont elle n'avait plus vraiment de souvenirs, sachant seulement qu'il avait pris ce jour là... Et que Blazzim, si elle se souvenait bien c'était son prénom, était allé chez le directeur. Un peu comme un gamin ayant fiat une bêtise dans la cour de récréation... Pas forcément très heureuse qu'on ait pris sa défense alors qu'elle n'en avait pas besoin, elle lui en était tout de même étrangement reconnaissant et ayant bien compromis qu'il avait des troubles bipolaires elle ne lui en voulait pas le moins du monde. Bref, elle se décolla du mur et se plaça de manière à ce qu'il s'arrête devant elle sans pour autant lui bloquer le passage pour ne pas paraître totalement déglinguée à vouloir l'empêcher de passée. Bien que déglinguée elle le soit tout de même un peu... « Salut ! Blazzim, c'est ça ? » Elle paraissait à peine folle à venir comme ça l'aborder. Tant pis, ce n’est pas comme si c'était la première fois. « Je voulais... Te remercier. Je sais pas trop si tu te souviens, ça remonte à quelques semaines, mais tu m'as... disons défendue quand je m'étais encore attirée des ennuis. Alors voilà, merci. » Deux fois des remerciements à la même personne en quelques secondes, record battu Tiphaine bravo... Se remettant sur le côté pour laisser passer les autres Hadès, elle adressa un vague sourire à son interlocuteur.

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Un joint entre les lèvres, un cœur entre les mains, Blazzim avance dans les couloirs, avec le même air ailleurs que d’habitude. En réalité, en ce moment là, il devrait être de ceux qu’on félicite pour leur bravoure, de se retenir à en faire péter ses neurones. Généralement, il avait de ces bonnes relations avec les membres de la confrérie, c’était presque incompréhensible de voir à quel point il pouvait mépriser n’importe qui à n’importe quel moment. Il était malade, littéralement. Et ça le perforais de l’intérieur, de part en part, pour ça qu’il tenait son cœur dans sa main, pour pas se faire souffrir encore. Ouf, c’est ça qui est bien avec les Hadès, tu peux en croiser que tu connais bien mais qui t’adresserons pas la parole, comme quoi, chacun ses humeurs, les goûts et les couleurs. Il soupira, enfant, c’est pas de cette vie là qu’il rêvait, il voulait juste s’instruire, il était bien chez lui, et puis il y a ce putain d’incendie. Il souffle amèrement sa fumée dans les couloirs, brise l’air, extirpe les pensées sombres, pense à dormir. Dormir, dormir, dormir. S’instruire maintenant, il y pense plus tellement, avant c’était mieux, plus amusant, on aurait dû lui dire que c’était à chier dès le début, comme ça il aurait pas emmerdé ses parents, comme ça peut-être qu’il aurait été un minimum aimé, à pas demander les choses dont il n’a pas la capacité même d’entreprendre. Il se rappelle bien de ces couloirs, il semble avoir donné un coup dans la moindre parcelle de mur ici présente, de coup de rage, de coup de rédemption, de coup de peine, de coup de cœur. Pourtant il s’était attaché à ces fantômes sur les murs, au point de les chercher du coin de l’œil, de leur lancer un de ces regards désolé qu’ils ne verront sûrement pas. Blazzim, franchement, il peut avoir l’air d’un associable, et c’est plutôt drôle à voir, ces filles qui des fois se disent capable de « le faire sortir de sa bulle » et les autres qui disent que c’est « mignon ». Elles sont… bêtes ? Non mais les meilleurs psychologues ont déjà fait leur bilan hein, faudrait qu’il apprenne à vivre avec ça, et trouve d’autres choses sur lesquels frapper, comme les arbres, tiens. Pas les filles, surtout pas les filles… Les gens disent qu’on frappe pas les filles, peuh, c’est dans le genre… légende. Il en a bien vu des filles qu’ont ruait de coups, ou des filles qui rouaient de coups, à voir… Dans ce genre de cas, fallait pas qu’il traîne par là, il a bien vu l’effet que ça avait sur lui, comme si la clope qui trainait entre ses lèvres ce jour là ne suffisait pas pour augmenter ses pulsions, ou l’inverse. Oui parce que des fois, ça le calmait de propager sa fumée, c’était une occupation, pour pas voir de ces choses qui le révoltait un peu partout. Il avance, il avance, ouf, il est presque arrivé. Non pas ouf en fait, il est peut-être pas si crevé que ça, peut-être qu’il va aller « se faire chier » dans la salle commune. « Salut ! Blazzim, c’est ça ? » Pause. Hein ? Elle sort d’où celle là ? Il la connaît ou c’est quoi ? Il a presque eu peur de voir un spécimen humanoïde plutôt pas mal surgir de nulle part comme ça. « Ou-ais… Toi c’est… En fait, j’en sais rien. » Il ouvre un léger sourire à moitié débile, à moitié endormi et à moitié ailleurs, ouais, ça fait trois moitiés… Elle a pas l’air d’être malfaisante, bien ou contraire, mais bon, il avait compris qu’avec les filles de cette confrérie, fallait savoir se méfier. Par expérience personnelle, il pouvait affirmer qu’elles savaient être sauvages, à certains moments. « Je voulais... Te remercier. Je sais pas trop si tu te souviens, ça remonte à quelques semaines, mais tu m'as... disons défendue quand je m'étais encore attirée des ennuis. Alors voilà, merci. » AAAAAAAAAAAAH. D’accord, c’est cette fille là, Tiphaine non ? Il a dû se laisser emporter, comme il sait si bien le faire, c’est ça qui l’a mené chez ce mec qu’arrête pas de gueuler pour un oui ou pour un non. Sérieusement, il n’en avait rien à foutre, il avait son excuse et bien que ça ne lui plaise pas d’ensanglanter des gens de cette manière, qu’on vienne lui rabattre des mots insignifiants n’améliorait pas la situation. « C’est rien… » FAUX. C’est beaucoup, c’est vraiment beaucoup. « En fait si… Pas que je pensais que t’avais besoin d’aide, je suis… disons… bipolaire. » Il la regarde. « Normalement, les gens s’en vont quand je dis ça. »
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