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| Sujet: riley ⊱ finding you was hard, loving you was easy. Mer 19 Fév - 23:33 | |
| hi ! my name is Kyle Riley Wagner-Brooks You made my skin a little thicker. I'm a fighter.
Riley
surnoms + J'ai pas de surnom, mon prénom est déjà assez court comme ça non ? Puis est-ce que j'ai une tête à avoir des surnoms débiles ? En tout cas, les gens m'appellent seulement Riley Wagner, si ça peut t'intéresser. née le + 24 Aout à + melbourne origines + melbourne se situe en australie, donc je suis australienne. Je sais, c’est un truc de dingue. études/métier + étudiante en littérature française et anglaise, option athlétisme. qualités + Compétitrice, Sportive, Leader, Élégante, Droite, Fidèle, Réfléchie, Stratège, Attentive, Cultivée, Courageuse, Audacieuse, Terre à terre, Drôle. défauts+ Autoritaire, Mauvaise Perdante, Pudique, N'est pas très famille, Trop Directe, Froide (en apparence seulement), Intransigeante, Obstinée, Anxieuse, Sarcastique, Exigeante, Râleuse. sexualité + hétéro. statut civil + je… suis en couple… oh mon dieu. particularité + réponse ici. anecdotes + réponse ici. groupe + poséidon. avatar + adelaide fuckinghot kane. |
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who ons my heart, is it love or is it art. RILEY ⊱ « Félicitations, c'est une adorable petite fille ! », s'exclamait la sage femme en prenant le nouveau né dans ses bras pour l'enrouler dans un linge et le porter à la jeune mère. Les époux Brooks se regardaient, étonnés de découvrir que le sexe du bébé n'était pas du tout ce qu'ils avaient espéré. Millicent & Peter Brooks n'avaient pas souhaité connaître le sexe du bébé jusqu'à ce que la grossesse arrive à terme, mais avec le temps, ils s'étaient dit que le fruit de leurs entrailles serait un petit garçon. Ils avaient déjà un prénom tout trouvé pour cet enfant: Kyle Riley Wagner-Brooks. La chambre était décorée de manière neutre cependant, détestant ces clichés de "rose pour les filles" et "bleu pour les garçons". N'ayant aucunement cherché de prénom féminin... C'est ainsi qu'ils nommèrent leur fille Riley.
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Vous l'aurez compris, le jour de ma naissance, la déception avait primé sur la joie. C'est sûr que c'était un drame universel, de ne pas avoir eu un petit garçon, n'est-ce-pas. Personne ne pourrait s'en remettre. et peu importe si cet enfant est en parfaite santé, et qu'il est le fruit d'un mariage presque parfait. Enfin je dis ça, j'en sais rien, j'ai jamais fais attention moi. C'est les voisins qui disaient ça...
J'ai grandi aux côtés de mes parents durant six ans. Franchement, nous étions une famille banale, et notre vie était ennuyeuse. La seule petite différence avec d'autres foyers du voisinage, c'était que quoi que je fasse, tout était mal. Quoi qu'il arrive, tout était de ma faute, rien de ce que je faisais n'avait d'importance pour eux. J'ai été élevé avec ce besoin de prouver que j'existe, que je peux être bonne en quelque chose... Ce besoin, que dis-je, ce devoir de ne pas décevoir mes géniteurs. Seulement, il est clair que je n'ai fait que ça. De toute manière, ils n'avaient d'yeux que pour le fils des voisins, un petit du même âge que moi, qui semblait tellement plus fascinant. Je lisais dans leurs yeux de l'envie, lorsqu'ils regardaient ce petit, et cette famille. Puis la déception masquée derrière un petit sourire hypocrite lorsque les regards se reposaient sur moi. On n'est pas forcément un abruti quand on est un enfant, juste pour information. Mais je ne les haïssais pas, oh que non. Ils étaient mes parents après tout, et j'avais le droit à de l'amour et la tendresse. Car oui, même si je n'étais en aucun cas l'enfant qu'ils avaient désiré, ils m'aimaient un peu... Oui, surement.
Peu avant mon septième anniversaire, je me suis retrouvée orpheline. Je peux pas vraiment vous en dire plus, car pour faire très, très court: mes parents ont disparu de la surface de la terre. On n'a jamais pu lever le voile sur cette affaire. Et en reparler aujourd'hui ne sert absolument à rien. Je sais pas si ils m'ont abandonnée, si ils sont morts ou quoi.. Mais si ils sont vivants, j'espère au moins qu'ils culpabilisent tous les jours et que s'ils ont un autre enfant: qu'ils se sont sentis mal en s'occupant de ce petit garçon. Qu'ils regrettent leur comportement... Et qu'ils comprennent qu'il est trop tard pour réparer tout ça.
N'ayant plus qu'une grand-mère inconnue totalement sénile, je me suis retrouvée en orphelinat. Et là, ça a été le début du cauchemar. Les enfants sont loin d'être des anges, je peux vous le dire. Quand j'ai été présentée aux orphelins durant une journée de cours, la raison de ma venue ici à été expliquée très brièvement, peut-être pour que je trouve un peu de compassion chez certains enfants, et que je trouverais quelqu'un dans mon cas. Au final, je me suis fait jeter des boulettes de papier puis tout le monde s'est moqué de moi. A sept ans, j'étais incroyablement sensible, du coup je suis sortie en pleurant ce qui a tout empiré. Croyez le ou non, malgré le fait qu'on soit tous dans le même bateau, sans parents et tout le bordel, c'est pas pour autant que les gens sont sympas. J'en ai bavé, je me faisais insulter, et comme mes parents n'étaient pas officiellement morts, pas de pitié pour moi ! Si je me retrouvais orpheline, c'était de ma faute, parce que j'étais une grosse naze, moche et débile. Ca parait stupide mais ça m'avait atteint, surtout le naze, parce que j'étais loin de l'être…
Du coup, j’ai passé ma vie à vouloir prouver aux autres que je méritais moi aussi le respect, que j’étais capable de réussir dans une multitude de domaines, et surtout : capable de me démarquer dans UN domaine en particulier. Et ce fut le sport. Le basket, le football, le baseball, le rugby, la musculation, l’athlétisme, le tennis et la boxe. Voici tout ce que j’ai essayé. C’est particulièrement le basket et l’athlétisme qui ont retenu mon attention. J’ai pu gagner le respect des gens grâce aux matches que je remportais, et aux compétitions que je gagnais haut la main à force de m’entrainer jusqu’à épuisement, n’ayant pour seul hobby que le sport. J’avais des amis, ceux qui faisaient partie de mon équipe, mais je ne sortais pas avec eux, je ne tentais pas de faire le mur, je ne faisais rien. Autant vous dire qu’il n’y a le sport qui me permet de m’ouvrir aux autres. J’ai l’esprit d’équipe dès qu’il s’agit de soutenir quelqu’un, de faire du sport, sinon je suis plutôt du genre solitaire. Alors tout cela a été mal interprété par les abrutis de l’orphelinat : pour eux, tout cela n’était que du snobisme. Pour eux je préférais rester seule parce que personne n’était aussi bon que moi dans ce refuge pour gosses paumés. Quels cons, je vous jure… Et j’avoue qu’ils avaient au moins raison sur un point : je n’avais rien à faire avec tout ces orphelins. Je ne m’estimais pas « orpheline », mes parents n’avaient été que de simples nourrices pour moi, et j’avais tout de même un proche vivant donc techniquement, je n’étais pas la seule Wagner de cette sale famille en vie.
C’est après une compétition d’athlétisme organisé pour récolter des fonds pour l’orphelinat que le temps abimait usait de plus en plus (ayant été ouvert par des bonnes sœurs plusieurs siècles auparavant) que la directrice de l’orphelinat vint me voir. « Riley, je t’attends dans une heure dans mon bureau, ne sois pas en retard », je m’essuyais, transpirant après une course que je venais de remporter, en faisant de grands yeux. Son petit sourire ému me rassurait un court instant : elle n’avait pas l’intention de me sermonner sur quoi que ce soit… De toute manière, j’étais irréprochable… Quoi qu’un peu agressive avec mes professeurs et camarades mais bon, ça ne valait pas une convocation chez elle. Je pris une douche rapidement, pour m’attacher les cheveux en une queue de cheval bien haute et bien serrée, enfilant les premières fringues que je trouvais pour aller frapper chez la directrice. Je n’imaginais absolument pas que ma vie allait changer en franchissant la porte de son bureau. « Riley. Je te présente Monsieur et Madame Brooks. Ils aimeraient faire ta connaissance… » et à ce moment là, j’ai compris que j’allais peut-être quitter ce maudit orphelinat. J’étais partagée entre une certaine hostilité, une immense joie et une grande méfiance face à ces deux inconnus.
Finalement à l’âge de quinze ans, j’ai été adoptée par ces deux inconnus. Curtis et Marleen Brooks sont donc devenus mes parents adoptifs. Mais n’ayant jamais été très famille, bien que je leur sois reconnaissante de m’avoir retiré de cet orphelinat, je ne suis pas proche d’eux. J’ai toujours fait mon possible pour les satisfaire, m’ouvrir à eux, parler, répondre à leurs questions parfois agaçantes… Mais aussi étonnant que cela puisse paraitre, à part de la reconnaissance, je ne ressens rien pour eux. Même aujourd’hui, à 22 ans. Bah disons, encore moins maintenant, vu que je vais bientôt prendre mon indépendance. Ils ont été cools, tout le long de mon adolescence, ils m’ont aidé pour mes devoirs, ont été à toutes mes compétitions mais j’ai toujours creusé un immense fossé au niveau des sentiments entre eux et moi… Un truc infranchissable. La peur de l’abandon, de la trahison, que sais-je… Les psychiatres vous diront ce que vous voudrez, je m’en tamponne. Mais attendez, ne vous avisez pas à les toucher, sinon je vous éclate. Ah non, quand même, je ne suis pas ingrate, et je ne supporterais pas qu’on leur fasse du mal. Mais ce ne sont pas mes parents, ce sont des amis plutôt. Des amis à qui je dois beaucoup…
J’ai eu une scolarité tout à fait normale. Bonne élève, entourée uniquement par mon équipe d’athlète, avec pas mal d’amis masculins surtout, ayant toujours trouvé les filles mauvaises et hypocrites. De toute manière, pour trouver grâce à mes yeux, il faut faire fort. Non pas parce que je suis quelqu’un de formidable et que je ne veux que des personnes d’exceptions à mes côtés, mais simplement, les gens sont cons et je ne veux pas perdre de temps. J’avais une réputation de sportive rebelle au lycée, j’avais peu d’ennemis pour être honnête… Même si j’ai eu plus d’une querelle avec les cheerleaders débiles et autres. Personne n’est pas parfait. A 21 ans, Curtis fut muté sur l’île de Jersey, île dont j’avais déjà entendu parler par sa proximité avec l’île de Guernesey (grâce à Victor Hugo). J’ai dû m’adapter à cette île et ça n’a pas été très évident car pour comprendre les accents… entre l’anglais et le français, j’étais totalement paumée. Je me suis rapidement mise à prendre des cours de français, tout en me lançant dans des études de littérature française et anglaise, car oui je suis une athlète mais j’en ai dans le crâne. Quelques jours après mon installation, j’ai rencontré pas mal de gens, dont Isaac, un type qui pleurait seul sur un banc et il se trouve qu’il a changé ma vie d’une façon très particulière. Je me suis fais des amis, chose incroyable et bien que de terribles événements se soient produits au sein de mon université (une terrible prise d’otage meurtrière), je survis et me remets doucement au sport après avoir été blessée.
Jersey change Riley, c’est indéniable. - Spoiler:
PSEUDO : HIMR . PRÉNOM : Béa. ÂGE : 18 ans . OÙ AS-TU CONNU LE FORUM ? It's mine bitch . TON AVIS : . FRÉQUENCE DE CONNEXION : ça dépend, on verra. DOUBLE COMPTE? riley (badass) wagner et camille (sweet) kebler. PERSO INVENTÉ OU SCÉNARIO? inventé of course. CODE DU RÈGLEMENT : LOL . AUTRES : I LOVE YOU GUYYYYS .
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