« Comment s'appelle t'elle ? » « Vitaly-Jack. » avait prononcée Savanah Woodstock tout affichant un doux sourire en bordant son enfant qui était présente dans l'étreinte de ses bras. « Il y a un père à prévenir ? » demanda la sage-femme qui s'occupait de Savanah. La jeune maman fit un non de la tête d'un air nostalgique. En effet Savanah était toute seule, il n'y avait qu'elle pour être heureuse de la venue de ses petites filles. En même temps après avoir prit le choix de garder les enfants Savanah savait d'hors et déjà que sa fille aurait seulement une mère et non un père. Savanah se pensait tout à fait capable d'élever un enfant seule, après tout elle aimait sa fille elle n'était en aucun cas capable de l'abandonner. Elle avait peu d'argent mais elle était certaine de pouvoir se débrouiller. Elle avait déjà prévu de prendre un nouveau boulot vu qu'en se moment elle n'était qu'une simple serveuse qui gagnait le minimum par mois. Elle était encore jeune elle pouvait même reprendre ses études, elle était prête à tout pour sa fille. Le père de l'entant était un homme vraiment beau, le genre d'homme que toutes les femmes désirent. Et c'était Savanah qui avait réussi à l'avoir, bizarrement. Jason disait qu'il l'aimait et qu'elle était bien mieux que toutes les filles qui les entouraient. Mais son apparence disait tout sur Jason, il avait couché avec Savanah puis il s'était envolé. Sur le moment la jeune femme s'était simplement dit que ce n'était rien ce n'était qu'un coup d'un soir mais non ce n'était en fait pas vraiment le cas. « Je suis enceinte.. » « Oublie-moi Savanah. » avait dit Jason en partant sans se retourner une seule fois. Savanah n’était pas vraiment le genre de femme qui s'imposait, elle l'avait alors laissé partir comme elle était entrain de laisser partir à se moment là les larmes qu'elle retenait depuis le moment où elle avait vu qu'elle était enceinte. Pourquoi une chose pareil devait-elle lui arriver ? Savanah devait être bien trop naïve et gentille. Et son choix concernant son enfant approuvait bien sa gentillesse ; elle était incapable d'avorter.

Savanah l'avait prévu s'occuper d'un enfant était vraiment difficile. Mais elle en avait le courage donc elle faisait de son meilleur pour être une bonne mère. Surtout que Aryana était une enfant assez compliqué elle mit un certain temps à faire ses nuits, elle était assez difficile. Mais Savanah restait forte grâce à l'amour qu'elle avait pour son enfant. « Pourquoi moi j'ai pas de papa comme mes copines ? » « Parce que elles, elles ont pas une super maman comme toi tu as. » avait répondu Savanah en riant à sa fille. Bien-sur elle n'avait que ça à dire, elle n'allait pas dire que son père était un connard finit qui était partit dès qu'il avait su qu'elle était enceinte. Plus les années passaient plus le caractère de Vitaly ressortit et la brunette était bien tout le contraire de sa mère. Elle était plutôt difficile ayant un assez mauvais caractère. A l'école s'était souvent elle qui tirait les cheveux aux autres par exemple. Et puis elle avait un côté assez garçon manqué vu qu'elle détestait les Barbie ou autre son truc étaient les trucs de mec. Mais la vie de Vitaly changea complètement quand sa mère Savanah rencontra un nouvel homme. Depuis son père elle n'avait jamais voulu s'engager une nouvelle fois, sûrement par peur. Mais le nouvel homme de sa mère était loin d'être un homme parfait d'après son avis, il était du genre millionnaire ne stoppant pas son boulot une seule seconde. Voilà ce que Vitaly en pensait. Et c'est à l'age de ses quinze ans qu'elle emménagea chez son beau père, sa mère lui disait qu'il était vraiment l'homme parfait pour elle mais pour la brune ce n'était pas le cas il y avait sûrement un problème quelque pars. Depuis qu'elle vit chez son père la brune s'est complètement refermée sur elle-même, elle ne parle pratiquement plus a sa mère alors qu'elle avait toujours été proche d'elle. Le seul bon côté ? Depuis la rencontre de son beau-père et sa mère, sa mère était beaucoup plus heureuse vu qu'elle était moins seule et qu'à présent elle ne devait plus travailler comme une folle pour subvenir aux besoins de Vitaly, mais la brune pensait bien que son beau-père et son argent pouvait aller se faire foutre. Son beau-père à d'ailleurs très bien comprit que la fille de sa femme ne l'aimait pas du tout, il avait d'ailleurs peur qu'un jour elle se mette entre sa mère et lui.

∞ So what we get drunk, so what we smoke weed. We’re just having fun. Living young and wild and free.

« Tu vas vite dégager d'ici ma petite et vite. On veut plus de toi moi et ta mère. Alors vas voir tes dealeurs que t'aimes tant et vas t'en. Je te donne 24h et si t'es pas partie tu peux dire au revoir à ta mère chérie. » Vitaly n'avait plus le choix. Elle devait partir après cette annonce venant de son beau-père, elle avait pourtant essayée de parler avec sa mère, mais rien ne pouvait y faire. Elle avait l'air de ne plus vouloir d'elle mais Vitaly voyait bien que les paroles de sa mère avaient été écrite comme si elle ne venait pas d'elle même. Vitaly ne savait vraiment pas où allait, elle n'avait personne sur qui vraiment comptait. Elle décida finalement de se rentre chez son dealeur vu qu'elle prenait de la drogue depuis un certain moment maintenant. Cela lui permettait de s'évader et d'oublier son connard de beau père. Le dealeur chez qui elle allait se rendre était l'une des personnes qui comptait le plus pour elle, bizarrement il était vraiment gentil avec elle et puis elle le trouvait vraiment canon. Jusqu'à ses vingt ans la jeune femme vivait dans les soirées rencontrant un homme tous les soirées, ayant plusieurs problèmes avec la police enfin rien d'une vie calme. Mais elle profitait quand même de la vie au maximum c'est ce qu'il comptait après tout. « Vitaly tu vas bien !? Merde réveilles toi ! » C'était les mots de Azriel son dealeur chez l'homme avec qui elle vivait depuis maintenant des mois. Vitaly était tranquillement dans la cuisine entre de se rouler une cigarette qu'elle tomba contre le sol partant directement dans les vapes. Cela faisait des semaines déjà que la jeune femme se sentait assez faible, elle n'avait pas son énergie habituelle. Azriel voyant qu'elle ne se réveilla pas appela une ambulance s'inquiétant alors pour la brune. Avec toute la drogue et l'alcool qu'elle prenait chaque jours il savait qu'elle n'avait rien de simplet. « Mademoiselle Woodstock je suis désolé de devoir vous annoncez ça mais vous êtes atteinte d'un cancer, vous l'avez depuis vos 17 ans mais il ne c'était pas encore démontrer. » La brune sur son lit d’hôpital tomba sous le choc. Elle ne pouvait pas être malade c'était impossible. Elle avait une vie plutôt compliqué mais malgré tout elle aimait la vie et elle ne voulait pas mourir et elle ne voulait pas être faible comme elle avait pu l'être aujourd'hui. Après cette annonce la jeune Woodstock décida de garder cette annonce pour elle seule ne voulant pas obtenir de la pitié de ses amis. Et elle ne voulait pas non plus prévenir sa mère dont elle n'avait eu aucune nouvelles depuis son départ même si elle continuait de recevoir chaque mois de l'argent de sa pars.

Vitaly vivait assez mal sa maladie. Cela était aussi assez dur de le cacher à Azriel vu qu'il vivait avec elle et elle ne savait pas pourquoi mais elle était certaine qu'il n'allait pas tarder à lui dire de partir. Cela faisait maintenant 5 ans qu'elle était chez lui gratuitement et elle n'était pas certaine qu'il soit si compréhensif. Depuis qu'elle était au courant de sa maladie Vitany se montrait encore plus rebelle qu'elle était avant vu qu'elle voulait profiter de la vie au maximum. De caractère à présent elle se montrait toujours assez rebelle, manipulatrice et vulgaire. Gardant toujours son côté garçon manqué qu'elle avait depuis enfant. Mais elle garde toujours un sourire aux lèvres, c'est sûrement une carapace qu'elle se forme pour cacher le malheur qu'elle ressent. Faisant la fête chaque soir elle n'a vraiment aucune limite. Par contre la jeune Woodstock n'est encore jamais tombée amoureuse, elle n'en a pas envie. Elle pense que l'amour est inutile et surfait. Et surtout avec son cancer elle ne ne veut pas s'engager dans une relation alors qu'elle peut mourir à tout moment. Azriel s'inquiétait vraiment de l'état de Vitany il voyait bien qu'elle n'était pas comme avant et qu'elle cachait son mal être par l'alcool et la drogue chose qui n’arrangeait d'ailleurs en rien sa maladie. Mais en même temps la brune ne faisait rien pour arranger son cas vu qu'elle n'avait en aucun cas envie de faire de la chimio. Mais Azriel décida tout de même de prendre Vitany en main, lui disant alors de faire des études parce que malgré tout elle était une femme intelligente. Bien-sur elle lui ria au nez lui disant que les études n'étaient pas pour elle. « Si tu te prends pas en main ou si tu ne fais pas d'étude tu vas devoir partir d'ici. » avait prononcé Azriel. Il n'en pouvait plus de l'a voir comme ça, après tout il ne voulait que son bien. La brune ne voulait pas se retrouvée à la rue une nouvelle fois. Malgré tout elle décida de partir de chez Azriel ne voulant pas abuser de son logement et puis d'un côté elle lui en voulait de lui avoir fait du chantage. Chaque soir elle dormait chez un ami mais elle savait pertinemment que cela ne pouvait plus durer. « T'as une tête à chercher du travail, je me trompe ? » avait dit un homme alors qu'elle marchait dans les allées ternes de la ville. Elle le trouvait assez étrange mais pourquoi ne pas en savoir plus ? Il lui proposa alors de l'argent contre le meurtre de quelqu'un. Il disait qu'elle était belle et séductrice et qu'elle aurait aucunement du mal à avoir la confiance d'un homme qui méritait la mort. Elle accepta alors n'ayant plus le choix elle avait besoin d'argent et vu la somme qu'on lui proposait il était presque impossible de refuser. Cela fait maintenant quelques mois qu'elle exerce le métier de tueuse à gage mais sa mère finit par l'a re contacter l'inscrivant dans une université sachant qu'elle n'avait pas le choix vu que sa mère c'était mise à lui donner de l'argent elle fait maintenant partit des hadès n'étant pas vraiment une très bonne élève mais étudiant dans la mode chose qu'elle aimait tout de même.