Un petit VOTE toutes les deux heures, les amours |
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| Jay Davis - ou l'art de ne pas être qui nous sommes [terminée] | |
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× MESSAGES : 58 × INSCRIPTION LE : 22/05/2014
| Sujet: Jay Davis - ou l'art de ne pas être qui nous sommes [terminée] Jeu 22 Mai - 10:12 | |
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Pseudo
surnoms + Jay né(e) le + 1 avril 1992. à + Palermo. origines + Italiennes. études/métier + sciences/coach en boxe. qualités + rusé, observateur, persévérant, indépendant. défauts+ impulsif, remet toujours tout en question, méfiant, lunatique. sexualité + bi. statut civil + célibataire. particularité + Jay est somnambule depuis sa plus tendre enfance. anecdotes + un jour par exemple, Jay s'est réveillé sur le toit entouré de pot de glace au chocolat. Il en a fait une indigestion et depuis, il en est écœuré. groupe + Hadès. avatar + Jon Korlajarena. |
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who ons my heart, is it love or is it art. Jay DAVIS ⊱ Tout le monde a ses secrets. Chaque personne a le désir de protéger ceux qui lui tiennent à cœur, c'est naturel, et ça peut pousser au vice... Il est comme ça Jay. Il a grandi, c’est presque un homme et pourtant il est constamment sur ses gardes. On lui a rabâché durant de nombreuses années que le monde était dangereux, qu’il fallait se méfier des autres. C’est lui l’homme de la famille, il l’est depuis ses 13ans. Il a une jeune sœur, Maya, qu’il aime tendrement. Oui, Jay a une chouette baraque surplombant le port de Plymouth, en Angleterre. Mais il l’a lâchement quitté pour Jersey. Il est l’homme de la maison depuis sept ans, mais il n’arrive plus à assumer ses responsabilités. Alors il a laissé sa mère mourante et sa jeune sœur qui s’en occupe fidèlement. Cela faisait sept ans qu’il s’occupait d’elle, qu’il voyait son état se dégrader de jour en jour. Elle lui a proposé d’arrêter, de prendre sa vie en main, et de vivre sa vie comme un jeune homme de son âge. Jay en a honte, mais il a ressenti du soulagement et ne s’est pas fait prier. C’est qu’il n’a rien à voir avec les jeunes de son âge, son regard est souvent ailleurs, comme si son esprit était à des kilomètres. Il parle peu, mais lorsqu’il parle il ne fait pas son âge. Même physiquement il ne fait pas ses vingt-deux ans. C’est peut-être ce qui lui a permis de négocier avec la banque, son charisme et sa maturité. Jay a grandi trop vite, plongé dans les comptes et factures depuis plusieurs années, c’est lui qui a géré sa petite famille. Aujourd’hui il ne sait plus quoi faire pour aider sa mère, pour régler le gouffre financier qui les guette, alors il fuit. Ça fait longtemps qu’il a signé pour des crédits, de nombreux crédits qui lui permettent de sourire à sa mère et à sa sœur en leur disant que tout va bien. Il ressemble à son père, d’après sa mère c’est son portrait craché. Alors pourquoi le déteste-t-il autant ? Parce qu’il est égoïste, son père est mort et l’a laissé seul, avec sa famille sur les bras alors qu’il n’était qu’un môme. Il l’aime, ô oui il l’aime plus que tout. Mais il n’arrive plus à gérer tout ça. Il prit pour que sa mère guérisse par miracle d’une maladie qu’il sait incurable, ou alors pour que la Mort vienne la prendre. Bien sûr il en serait infiniment triste, mais ils pourraient tout reprendre à zéro, sa sœur et lui. Il n’en parle à personne mais il est hanté par un cauchemar qui le ronge. Son âme est brisée, il en est persuadé, mais il aime trop la vie pour l’abandonner. Pour comprendre Jay il faut remonter sept ans en arrière. Un bond en dans le temps qui nous fait traverser plusieurs kilomètres de terre et d’océan. Jay est né en Italie, comme toute sa famille. Il est né Alessandro Giacobbe Da Silva. Il a grandi paisiblement, dans l’abondance et l’amour. Il ne savait pas vraiment d’où venait tout cet argent, à vrai dire il s’en fichait, il faisait partie des frimeurs un peu trop gâté qui pensait que tout lui était dû. Il n’y a rien d’intéressant à raconter de cette époque. Alessandro prenait des cours de piano, car telle était la volonté de sa mère, et des cours de self défense comme le désirait son père pour une quelque obscure raison. À vrai dire il y allait peu, il préférait de loin aller chez le voisin dont le fils avait un arc, un vrai. Les deux amis passaient beaucoup de temps à tirer, comme les garçons de son âge il aimait jouer aux guerriers. Qu’auraient dit les parents s’ils savaient que leurs enfants pourtant issus des quartiers chics aimaient se perdre dans les forêts pour des parties de paintball ? Alessandro adorait ces moments, c’était une sorte de jeu, à qui aurait le plus gros hématome. C’était une façon comme une autre de quitter la monotonie de sa vie. C’est ce qui lui sauva la vie. Il était deux heure du matin, la nuit était lumineuse, pas un nuage ne venait obscurcir la lune ou les étoiles. Une ombre pourtant passa dans le ciel, sans que quiconque ne la remarque, sans que quiconque ne la sente. C’était le cas depuis la nuit des temps. Personne ne voyait la Mort, personne ne pouvait la voir venir. Et pourtant elle pesait au-dessus de la maison des Da Silva. Un fourgon noir s’arrêta devant l’allée, un homme entra comme s’il y avait été invité, surprenant le couple en pleine dispute. Le père demanda fermement à sa femme de monter à l’étage, elle était inquiète, mais loin de se douter qu’elle revoyait son mari pour la dernière fois. Ô bien sûr elle le renverrait, mais seulement son enveloppe charnelle, son âme étant déjà entre les mains de la Mort qui l’avait cueilli aussi délicatement que possible. Elle trouvait les humains fascinant, capable de grandes choses mais pourtant si fragiles.
Bien sûr il était question d’argent, de la mafia, de dettes et de trahison. C’était monnaie courante dans le sud de l’Italie, et le gouvernement avait bien du mal à lutter. La loi du silence effrayait trop la population pour qu’elle livre la moindre information. Ce fut le coup de feu qui tira les deux enfants de leur sommeil. Prudemment Alessandro sortit de sa chambre, la tête décoiffée et ensommeillée de Cara apparue au coin de la porte.
- Qu’est ce qui se passe maman ? Demanda-t-elle, la voix encore endormie.
- Alessandro, Cara, dans le bureau, dépêches vous !
- Mais maman…
- Pour l’amour du ciel Alessandro, pour une fois ne discute pas !
Les deux enfants, terrorisés, obéirent et se précipitèrent dans le bureau de leur père alors que des pas lourds montaient les escaliers.
- Ce n’est pas contre vous Moira, mais je ne peux pas me permettre de laisser un témoin en vie. Ça n’a rien de personnel bien sûr.
Alessandro devinait sans peine le sourire sadique qui étirait les lèvres de l’homme. Il ordonna à sa sœur de se cacher sous le bureau et s’accroupi à son tour. Sa main tâtonna les différents tiroirs, il finit par en ouvrir un, enleva le double fond à l’aide d’une règle et se saisit du revolver qui s’y trouvait. Ses mains tremblaient et il s’y prit à deux fois avant d’enlever le cran de sécurisé. Le cœur battant, les deux enfants tendirent l’oreille, des pas lourds s’avançaient dans leur directions. Au bout de trois interminables minutes, la porte du bureau s’ouvrir dans un grincement familier qui lui paraissait aujourd’hui sinistre. Il retint sa respirations, les larmes aux yeux. Un liquide chaud coula le long de ses cuisses, collant son bas de pyjama à ses jambes nues tandis qu’il serrait l’arme contre sa poitrine. C’est alors que Cara lâcha un sanglots étouffé.
- D’accord les mioches, sortez d’ici.
- Je vous en prie, ne nous faites pas de mal, nous ne dirons rien, supplia Alessandro, en se redressant, tremblant de tous ses membres et les mains en l’air.
Les larmes lui brouillaient la vue, la chagrin, la peur, l’incompréhension : ou était donc son père ? Mais aussi la honte d’avoir mouillé son pantalon. Plus tard viendrait la colère, qu’avait-IL donc fait pour mettre sa famille dans un tel danger ? Pourquoi ne pouvait-il pas être aussi fort que dans les films ? L’homme pointa alors son arme vers la petite fille qui pleurait bruyamment. Par reflexe Alessandro mit l’homme en joute en poussant sa jeune sœur derrière lui. Ses mains tremblaient, menaçant de lui faire lâcher la lourde arme blanche. L’assassin ricana et avança nonchalamment vers eux, pas le moins du monde impressionné, persuadé qu’il n’oserait jamais tirer. Peut-être aurait-il été plus prudent s’il avait pu sentir l’ombre de la Mort, toujours présente. Non, elle n’avait encore fini ce soir-là, il lui restait encore une main libre, à l’exacte opposé de celle qui détenait l’âme du père de famille qui venait d’être abattu de sang froid pour quelque millier d’euro.
- N’avancez pas, je vous en prie restez où vous êtes, partez !
Alessandro ne savait plus quoi faire, ni où était sa mère. Le sang battait à ses tempes, les hurlements de sa sœur semblaient se répéter à l’infinie. Tais-toi, avait il envie de lui crier, ferme la par pitié ! Un nouveau pas, le parquet grinça, faisant sursauter l’adolescent. Il ferma les yeux et tira. Son doigt pressa la détente comme il l’avait fait tant de fois lors des parties de paintball. Ce n’était pourtant pas un geste compliqué… la détente retentit longtemps, une odeur de poudre assaillit ses narines. La puissance du tir avait fait reculer l’arme qui c’était écrasée sur son arcade sourcilière dans un craquement d’os. Un bruit sourd ramena le gosse à la réalité, le bruit d’un corps qui s’effondre. Alessandro ouvrit les yeux. Oui, c’était comme au paintball, il y avait même les taches de peintures cramoisies qui s’étendaient sur la chemise blanche. Dans le cadre de la porte ouverte, Moira pointait une arme dans le vide, elle considérait son fils, choquée. Pendant quelques secondes, Alessandro fut soulagé, persuadé que c’était elle qui l’avait tué, qu’elle était arrivée à temps. Mais la vérité le frappa avec la force d’une gifle. Non, c’était bien lui, il l’avait fait. Il n’avait pas eu le choix. La proximité de l’homme avait fait que l’adolescent n’avait pas pu le manquer.Le reste était flou, Jay se souvenait vaguement qu’ils avaient dû faire leurs valises et partir dans la nuit. Ils avaient roulé sans interruption durant deux jours, hantés par des images morbides. Les démarches banquaires avaient été faites, un ami leur avait fourni de nouveaux passeports et la famille avait pris le premier avion pour l’Angleterre, où Moira avait de la famille. Jay aurait pu s‘enfermer dans un mutisme profond, mais il avait fait preuve d’une force mentale exceptionnelle, même effrayante pour une telle situation. Jay n’avait rien demandé de tout ça, il aimait son nouveau prénom, mais l’ancien encore plus. La chaleur de l’Italie lui manquait quelque fois, mais il avait tout laissé là-bas, ses amis, son écoles, son père, sa vie, son innocence. Depuis sept ans il voyait dans le miroir l’étranger qu’il était. C’était pourtant ses yeux bruns foncés, ses cheveux châtains et ses mâchoires carrées. Ses mains étaient propres, pourtant quand ils les regardait, il avait parfois l’impression qu’elles étaient tâchée de sang. Cette maison avait été une sorte de prison, il avait hâte de la quitter. Debout devant la baie vitré, il observait peut être pour la dernière fois les vagues qui s’agitaient, signe d’une tempête qui approchait. Une silhouette s’approcha de lui, posa la tête sur son épaule. Jay passa un bras autour de sa taille. C’était une scène banale pour tout étudiant qui s’apprêtait à partir à l’université : une sœur qui disait au revoir à son frère, en lui assurant qu’il allait lui manquer. Mais elle ne pleurerait pas, car elle était forte Maya, ses nerfs étaient tressés d’acier et d’or et son mental avait été forgé par la morale et non l’éthique. Jay a toujours été solitaire, sa devise étant qu’on ne peut compter que sur soit même. Au fond il n’est pas méchant, simplement terriblement distant. Il vit dans le mensonge d’une nouvelle identité, la vie qu’il raconte est montée de toute pièce. Un scénario peaufiné au fils des années. Le théâtre est son quotidien, il s’est tellement enfoncé dans ses mensonges qu’il ne distingue parfois plus le vrai du faux. Il parle peu, le monde extérieur l’attire, mais il le redoute. Tout ce qu’il veut c’est faire des études, peindre, écrire. On le trouve bizarre Jay, il dégage indéniablement un mystère. Pour se protéger il a appris à se montrer peu aimable, voir agressif au début. Il est têtu, Maya le dit souvent. Egoïste aussi, méfiant et paranoïaque. Dans sa solitude, il s’est enfermé avec les livres, se forgeant ainsi une bonne culture générale et une intelligence propre à tout étudiant à l’université. Il se situe dans la moyenne, doit travailler pour parvenir à ses fins. Mais avant tout il est rusé. Ô oui rusé et calculateur. Il a cet accent Italien qui lui colle à la peau, qu’il déteste par-dessus tout. Ça attire les questions et les questions le mettent en rogne. Il aime tenter de nouvelles expériences, surtout à sensation forte. Tête brulée, Jay n’a pas bien conscience du danger, il y a longtemps que la mort de l’effraye plus, un constat triste pour quelqu’un d’aussi jeune. Parfois il se demande s’il pourrait recommencer, comme ça de sang-froid. Il sait que la réponse est oui, il n’a plus peur. Oter la vie de quelqu’un change la personne à jamais. Il est effrayé de voir que se fut si simple. Pourtant il n’a pas l’esprit tordus, et ne pense pas à éliminer chaque personne qui l’ennuierait. Il est juste lucide sur ce point. Jay est finalement normal sur bien des aspects, il aime aller au cinéma, se goinfrer de chocolat, et faire du sport. Mais il n’a pas l’esprit d’équipe, pas pour l’instant. Son sens de l’humour est limité, il peut se montrer susceptible et rancunier. Il va rarement vers les autres, peut-être de peur d’être jugé, de faire des gaffes ou tout simplement de ne pas être apprécié. Mais il s’est promis de faire des efforts, de sortir, de faire la fête, de se trouver une petite amie, ou un petit ami, de respirer, de vivre. Jay tient à son indépendance il n’est pas rare de le voir seul, c’est pour ça qu’il a choisi de rejoindre la confrérie Hadès, ici il n’a besoin de personne, et encore mieux personne ne le sollicite. Les Apollon l’ont tenté quelque temps, mais leur présence l’aurait sans doute étouffé. C’est qu’il peut s’emporter vite Jay. Il est redoutable au combat, bien qu’il paraisse calme. En effet pour rapporter un peu d’argent, il s’est fait engager comme coach sportif, en boxe. Il cherche un travail similaire non loin de l’université, plus par envie que par besoin. Il n’y a pas à dire, Jason Davis est un jeune étudiant tout à fait comme les autres, qui fume, qui boit, qui cherche un job étudiant et qui travaille pour avoir la moyenne. Il entame directement la seconde année, ayant fait la première par correspondance. Il était pourtant prédestiné à des études de lettres, mais la littérature ne sauve pas les vies, les sciences si. - Spoiler:
PSEUDO : Uli'. PRÉNOM : Aha ÂGE : 19 ans. OÙ AS-TU CONNU LE FORUM ? je ne sais plus exactement, en tournant, car c'est ma spécialité TON AVIS : je viens d'arriver, mais ça m'a l'air fort sympathique! FRÉQUENCE DE CONNEXION : le plus souvent possible, j'essaierai de passer au moins une fois par jour. DOUBLE COMPTE? non, chaque chose en son temps. PERSO INVENTÉ OU SCÉNARIO? perso, je n'ai malheureusement pas trouvé monbonheur mais je vous jure que j'ai jeté un coup d'œil à tous les scénarios . CODE DU RÈGLEMENT : Ok Kendra ? '-'. AUTRES : euh... j'aime les licornes et les pandas roux, voila voila o/.
Dernière édition par Jason J. Davis le Jeu 22 Mai - 22:09, édité 14 fois |
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× MESSAGES : 475 × INSCRIPTION LE : 28/03/2013
| Sujet: Re: Jay Davis - ou l'art de ne pas être qui nous sommes [terminée] Jeu 22 Mai - 10:29 | |
| Bienvenue à toi |
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Nathanaël-Yoann. D. Torez
× MESSAGES : 275 × INSCRIPTION LE : 10/03/2014
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× MESSAGES : 2149 × INSCRIPTION LE : 21/04/2013
| Sujet: Re: Jay Davis - ou l'art de ne pas être qui nous sommes [terminée] Jeu 22 Mai - 11:18 | |
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× MESSAGES : 58 × INSCRIPTION LE : 22/05/2014
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× MESSAGES : 213 × INSCRIPTION LE : 26/04/2014
| Sujet: Re: Jay Davis - ou l'art de ne pas être qui nous sommes [terminée] Jeu 22 Mai - 14:54 | |
| Bienvenue iciii |
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× MESSAGES : 1601 × INSCRIPTION LE : 04/03/2013
| Sujet: Re: Jay Davis - ou l'art de ne pas être qui nous sommes [terminée] Jeu 22 Mai - 18:36 | |
| Je crois que Julian est pris non ? sinon bienvenue parmi nous !! |
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× MESSAGES : 58 × INSCRIPTION LE : 22/05/2014
| Sujet: Re: Jay Davis - ou l'art de ne pas être qui nous sommes [terminée] Jeu 22 Mai - 18:43 | |
| Oh non tuez moi, j'ai mis tellement de temps à trouver cet avatar x.x Effectivement, je m'excuse je viens juste de trouver le bottin qui pourtant n'était pas bien difficile à trouver Je ne sais pas si ce n'est que chez moi mais le lien menant au Bottin dans le règlement ne fonctionne pas, d'où mon erreur. Bref je suis désolée je vais changer. Merci Lexie |
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× MESSAGES : 1601 × INSCRIPTION LE : 04/03/2013
| Sujet: Re: Jay Davis - ou l'art de ne pas être qui nous sommes [terminée] Jeu 22 Mai - 18:44 | |
| je suis pas admin mais quand elles passeront là, je pense qu'elles régleront le problème du lien dans le règlement. tu as besoin d'aide pour trouver un autre beau gosse ? j'ai plein d'idées si tu veux. |
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× MESSAGES : 58 × INSCRIPTION LE : 22/05/2014
| Sujet: Re: Jay Davis - ou l'art de ne pas être qui nous sommes [terminée] Jeu 22 Mai - 18:48 | |
| J'écoute tes idées avec plaisir, car j'avoue que je sèche là, sans compte que je suis difficile |
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× MESSAGES : 1601 × INSCRIPTION LE : 04/03/2013
| Sujet: Re: Jay Davis - ou l'art de ne pas être qui nous sommes [terminée] Jeu 22 Mai - 18:53 | |
| alors je te dis tous ceux qui me passent par la tête : Aaron Johnson, Channing Tatum, Julian Morris, Joseph Morgan, Ryan Gosling , James Franco, Theo James, Chris et Liam Hemsworth, Tyler Hoechlin, Sam Claflin, Marlon Texeira, Kit Harington , Ian Somerhalder, Gaspard Ulliel, Ed Westwick, Colton Haynes, Adam Gallagher , Adam Brody, Hunter Parrish.. voilà. |
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× MESSAGES : 58 × INSCRIPTION LE : 22/05/2014
| Sujet: Re: Jay Davis - ou l'art de ne pas être qui nous sommes [terminée] Jeu 22 Mai - 19:11 | |
| Déjà je constate que nous avons les mêmes gouts, malheureusement j'avais déjà pensé à beaucoup de ceux là, j'aurai adoré jouer Colton ou encore Gaspard, mais ils ne correspondent vraiment pas à Jay et pourtant je les ai tourné dans tous les sens T.T Adam Gallagher c'est mon Dieu aha, mais je le joue déjà sur un forum depuis presque deux ans donc ça me ferait trop bizarre Je te remercie de ton aide, mais je crois que je suis partie pour une soirée découverte o/ |
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× MESSAGES : 1601 × INSCRIPTION LE : 04/03/2013
| Sujet: Re: Jay Davis - ou l'art de ne pas être qui nous sommes [terminée] Jeu 22 Mai - 19:13 | |
| oh non c'est trop dommage. et tu n'as pas une autre idée de personnage qui correspondrait mieux à un des avatars ? dommage pour Adam, ou même Kit, je t'aurai épousé sur le champ. hésite pas si tu as encore besoin de moi pour d'autres idées on sait jamais. |
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× MESSAGES : 58 × INSCRIPTION LE : 22/05/2014
| Sujet: Re: Jay Davis - ou l'art de ne pas être qui nous sommes [terminée] Jeu 22 Mai - 19:22 | |
| Ouais, Kit est juste... Je te remercie, je pense avoir trouvé |
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× MESSAGES : 1601 × INSCRIPTION LE : 04/03/2013
| Sujet: Re: Jay Davis - ou l'art de ne pas être qui nous sommes [terminée] Jeu 22 Mai - 19:24 | |
| han tu prends qui du coup ? en tout cas je veux un lien qui que ce soit !! |
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× MESSAGES : 58 × INSCRIPTION LE : 22/05/2014
| Sujet: Re: Jay Davis - ou l'art de ne pas être qui nous sommes [terminée] Jeu 22 Mai - 20:36 | |
| Jon Kortajarena, en espérant que ça ira |
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× MESSAGES : 1718 × INSCRIPTION LE : 10/03/2013
| Sujet: Re: Jay Davis - ou l'art de ne pas être qui nous sommes [terminée] Jeu 22 Mai - 20:40 | |
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× MESSAGES : 58 × INSCRIPTION LE : 22/05/2014
| Sujet: Re: Jay Davis - ou l'art de ne pas être qui nous sommes [terminée] Jeu 22 Mai - 20:56 | |
| Ouf, je suis rassurée que mon choix plaise et que l'anecdote t'ait faite rire Je pense avoir fini ma fiche, je m'en remets à votre savoir et votre toute puissance |
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× MESSAGES : 1601 × INSCRIPTION LE : 04/03/2013
| Sujet: Re: Jay Davis - ou l'art de ne pas être qui nous sommes [terminée] Jeu 22 Mai - 20:59 | |
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× MESSAGES : 1718 × INSCRIPTION LE : 10/03/2013
| Sujet: Re: Jay Davis - ou l'art de ne pas être qui nous sommes [terminée] Jeu 22 Mai - 21:00 | |
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× MESSAGES : 58 × INSCRIPTION LE : 22/05/2014
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× MESSAGES : 1718 × INSCRIPTION LE : 10/03/2013
| Sujet: Re: Jay Davis - ou l'art de ne pas être qui nous sommes [terminée] Jeu 22 Mai - 21:20 | |
| tu peux aller t'éclater petit garnement ! mise à part l'avatar à modifier et ajouter les études avant de faire tout autre chose, je ne peux qu'accepter cette fiche tu as une très belle plume, j'étais prise dans l'histoire du début à la fin on dirait que tu racontes ta propre vie, c'est un truc de fou en tout cas je suis tombée amoureuse de ton personnage je viendrai te quémander un lien Et maintenant, te voilà validé ! En premier lieu, n'oublie pas d'aller te recenser ICI, c'est obligatoire si tu ne veux pas que quelqu'un d'autre prenne ton avatar. Ensuite, je te souhaite la bienvenue chez les hadès, et d'ailleurs, le directeur t'as placé dans le dortoir numéro 3 ! Tu peux dès à présent commencer à aller te chercher tout plein de liens géniaux, suivre les autres sur Twitter et également aller réclamer ton blason du forum. N'oublie pas que nous sommes là si tu as besoin de quoique ce soit et qu'il ne faut pas hésiter. Et pour finir... HAVE FUN ! |
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× MESSAGES : 58 × INSCRIPTION LE : 22/05/2014
| Sujet: Re: Jay Davis - ou l'art de ne pas être qui nous sommes [terminée] Jeu 22 Mai - 21:32 | |
| Ooh je suis contente que ça t'ai plus, j'avoue que je ne savais pas si ça allait passer, je suis soulagée! Je te remercie pour ta rapidité Pour ce qui est des liens, pas de problème |
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× MESSAGES : 1601 × INSCRIPTION LE : 04/03/2013
| Sujet: Re: Jay Davis - ou l'art de ne pas être qui nous sommes [terminée] Jeu 22 Mai - 21:34 | |
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× MESSAGES : 1718 × INSCRIPTION LE : 10/03/2013
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| Sujet: Re: Jay Davis - ou l'art de ne pas être qui nous sommes [terminée] | |
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| | | | Jay Davis - ou l'art de ne pas être qui nous sommes [terminée] | |
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