Des fois Sidney préférerait avoir son propre appartement, ou sa propre maison, seulement ce foutu règlement du campus l'interdit, faudra quand même qu'il dise un jour à Teddy de parler à son grand-père de tout sa. Car Sidney ne survivra pas bien longtemps à vivre avec 4 filles je vous assure Sa aurait été n'importe quel autre colocataires Sidney aurait râlé mais la jeune femme serait partit seulement la c'était Fleur, Fleur qui est son ex et alors déjà que c'est tendu entre eux voila que ce petit moment va en rajouter une couche. Après lui avoir crié dessus à son tour je la vit rentrer et commencer à ranger ses affaires. J'ouvris de grands yeux et repris alors « Non mais attend tu compte quand même pas rester la ! Sa se voit pas que je suis occupée » D'ailleurs ma conquête commençait à vouloir partir, rattrapant son T-shirt qu'elle enfila « Humm désolé, je vais m'en aller » Sans qu'il puisse dire quoi que ce soit elle le poussa légèrement pour passer. Il se tourna alors à nouveau vers la brunette et lui dit « Voila, t'est contentes, tu m'a gâché ma soirée »

Tu vois la fille qui cherche son t-shirt, et qui l'enfile avec hâte. Bien, elle va se casser, au moins t'auras la paix pour te reposer. Après une dispute avec Sidney, bien évidement. C'est vraiment tendu entre vous, la colocation forcée entre ex, c'est pas le must hein, clairement pas ! Surtout que, bien malgré toi, faut le préciser, tu peux pas t'empêcher de trouver ton ancien amoureux, toujours très à ton gout. C'est vrai quoi! Vous l'avez vu? Il est canon! Tu le jauges du regard. « Tu crois que je vais te faire le plaisir de me tirer? Ecoute mon coco, c'est ma chambre aussi, j'ai eu un entrainement hypra intense, j'suis crevée, et j'ai besoin de repos, alors si tu veux t'envoyer en l'air avec la charmante demoiselle que voici, va dans sa chambre à elle! » sur ce tu te retournes vers lui, et lui adresses un beau sourire, avec les dents en mode colgate La dite demoiselle s'en va de votre chambre, et tu ne peux t'empêcher d'avoir un petit air triomphant sur les traits. « Gaché la soirée? faut pas exagérer, c'est pas parce que tu couches pas avec elle que ta soirée est gachée Sidney! » Tu lèves les yeux au ciel, et t'assieds sur ton lit, non loin du sien.

Je vois ma conquête qui s'enfuit presque et je sais que je ne pourrais de toute manière pas la retenir, alors j'aurais pu la suivre c'est vrai et continuer ce qu'on avait commencer seulement tout cela venait de me couper mon envie alors je la laissa partir sans rien dire et une fois qu'elle eu refermé la porte je tourna la tête à nouveau vers Fleur et la foudroya d'un regard des plus noir « Oh oui c'est vrai Madame à TOUJOURS des entraînement hypra intense ! Tu passes ton temps à ça alors c'est bon me sort pas ton excuse bidon » Il avais soudain l'impression de faire une conversation qui avait déjà existé il y a de cela quelques mois maintenant. Oui leur rupture était du à ça. « Oh si si crois-moi elle est gâché ! Pas seulement parce que je n'ai pas pu coucher avec cette fille mais parce que c'est de ta faute ! et que maintenant je vais devoir passer la soirée à te voir ! » Embrouille du soir bonsoir, oui cela chauffait entre les deux. Nell se leva alors et enfila son T-shirt, ouais il n'allait pas lui laisser le plaisir de mater ses muscles hein

La damoiselle s'enfuit avec hâte, et franchement, tu la comprends. Tu sais que dès que la porte se refermera derrière elle, ça commencera à chauffer. Et c'est le cas. Sa voix s'élève, dure comme de la pierre. Et ses mots, te plongent des mois en arrière. Toi et tes entraînements, la cause de votre rupture. Tu détournes le regard, parce que penser à ça, à vous, ça te fais bizarre, surtout en sa présence. « Ce n'est pas une excuse bidon ! Je passe mon temps à ça comme tu dis, parce que je veux réussir, et tu le sais très bien, que c'est mon rêve d'y parvenir! » Tes yeux s'enflamment, oui il le sait. Il en a souffert, et toi aussi. Tu passes ta main dans tes cheveux, sans faire attention à ton mouvement. Et une nouvelle vague de reproches s'abat sur toi. Tu encaisses en silence. Ça promet d'être une longue, très longue nuit, finalement. Et pas dans le bon sens que cette phrase peut avoir, hélas. « Oh excuse-moi Sidney! Vraiment, désolée d'avoir gâcher ton coup d'un soir. » Tu plantes ensuite ton regard dans le sien, et poursuis. « T'as qu'à pas ouvrir les yeux, tu m'verras pas. Pourtant, et détrompes moi si je me trompe, mais, autrefois, ça te gênais de pas me voir, faudrait te décider hein. » Ce n'était pas la chose à dire, mais passons, là, tu contrôles plus trop tes paroles Le voilà qui se rhabille, zut :><: Tu te tais, attendant ce qui allait suivre.

Ce sujet n'était vraiment pas bon pour nous deux et je savais que je n'aurais pas du le lancer. Alors j'aurais pu arrêter d'en parler, la maintenant, ne pas répondre, laisser couler. Seulement c'était plus fort que moi, ce sujet me tenait toujours à coeur malgré que l'on ne soit plus ensemble car je la tenait responsable de notre rupture, et j'étais assez rancunier pour le coup ce qui n'est pourtant pas trop mon style. « Oui je le sais ! Tu me l'a répété pendant des mois ! Mais moi aussi c'est mon rêve, moi aussi j'ai envie de réussi et pourtant je ne laisse pas les autres à part, je sais avoir des amis, je sais m'occuper aussi des autres. » Oui c'est vrai leur dispute qui avait commencé avec cette simple fille était arrivé bien ailleurs d'un coup mais que voulez-vous Au fond cela revient toujours sur ce sujet car c'est surement encore un sujet trop frais ou trop douloureux peut être. En entendant sa dernière remarque je lève les yeux aux ciels exaspérés avant de répondre « Oh ben tu sais pour le peu de fois ou je te voyais hein » Reproche bonjour. Oui sa allait être une très très longue soirée surtout aucune de nos colo'c ne rentrait ce soir donc aucune ne nous calmerait. Après avoir remis son T-shirt il arrange légèrement son lit et part dans notre salle de bain et claque la porte en soufflant. Ouuuh pas contente le Kingston.

votre rupture, faut croire qu'aucun de vous deux ne l'a vraiment oublié, elle reste dans l'air, créant une tension palpable en permanence entre vous deux. et parfois, comme ce soir, ça pète. votre relation a un air d'inachevé selon toi, mais tu te gardes bien de le lui avouer. il te reste de la dignité soyons honnête! déjà que dans cette fameuse rupture, t'es entièrement fautive, voilà quoi... tu vas pas aller lui dire 'j'pense que c'est pas réellement fini, qu'y a encore un truc' « Je t'ai pas laissé à part Sidney! J'ai pas mis mes amis de coté enfin ! » ses propos te font un peu mal, tu t'en rendais pas compte, de tes actes, de comment tu traitais cet homme durant votre relation. et surtout, tu ne voulais pas croire que tes actions l'avaient vraiment blessé. « Faut pas exagérer enfin, on se voyait ! » tu te lèves, et t'avances vers lui, sauf que lui, il part vers la salle de bain, et soudain, tu te retrouves devant une porte fermée. tu soupires et poses ta tête contre cette dernière. cette nuit promettait. vous alliez être seuls, à vous crêpez le chignon toute la nuit. youpi! « je peux entrer s'il te plait? » murmures-tu, mais assez fort pour qu'il t'entende sans aucun soucis. tu poses ta main sur la poignée, et tu attends quelques secondes.

Cette tension qui reste entre nous depuis tout ces mois et palpable à chaque instant, Sidney ne sait pas si c'est qu'elle l'énerve tout simplement, ou qu'il lui en veux de leur rupture ou bien quelque chose qui serait peut être plus profond. Il recommence alors à lui faire des reproches, sans pouvoir sans empêcher. Il sait que ces paroles la blesse mais c'est plus fort que lui, il faut qu'il lui dise, il faut que sa sorte, il faut que quelqu'un l'entende. Lorsque je la vois nier je me demande alors si elle le fait exprès ou si c'est qu'elle ne se rendait vraiment pas compte de tout cela lorsque nous étions ensemble. « Bon sang mais ouvres les yeux Seven ! Tu étais et tu est toujours obsédé par cela, tu ne pense qu'à cela ! Et sa l'est tellement que tu ne t'en rend même plus compte » Le fait qu'elle n'arrive pas à ouvrir les yeux me faisait mal et je partit donc dans la salle de bain, énervé, fermant la porte. Je m'approcha de l'évier, posa mes mains de chaque côté de celui-ci et releva la tête pour faire face à mon reflet dans le miroir, lorsque je l'entendit je grogna légèrement avant de ronchonner un oui à peine audible. Je me bougea alors et me mit à mettre mes affaires de sport au sale, juste pour éviter de lui parler et pour paraître occuper.

les reproches, tu n'aimes pas, et les disputes encore moins. surtout avec lui. tu te sens coupable, et mal, dés que vous parlez de votre ancienne relation. les reproches fusent à nouveau, te blessant comme des couteaux. tu baisses la tête, et tes boucles brunes tombent en cascade devant ton visage penaud. alors il dit vrai? tu es tellement obnubilée par ton objectif que tu en oublies tout le monde? Que tu éjectes tout le monde de ta vie?... tu souffles. « je... je suis désolée si tu l'as ressenti comme ça. » tu chuchotes tellement que tu n'es pas sûre qu'il entende ta voix. c'est cependant la première fois que tu lui dis ces quelques mots. le 'je suis désolée' est assez dur pour toi à prononcer. il s'enferme dans la salle de bain, et tu demandes gentillement et timidement si tu peux le rejoindre, il n'a pas l'air ravi, mais il accepte. tu ouvres la porte, et entres dans votre petite salle de bain. il est là, occupé à ranger ses affaires, et tu l'observes un petit moment. « ce serait bien qu'on parle une bonne fois pour toute non? » proposes-tu d'une voix forte, et plus confiante, même si au fond de toi, tu es perdue comme une enfant, et tout aussi terrifiée.

J'écoute ces excuses mais pourtant je ne perd pas une minute pour aller m'enfermer dans la salle de bain, seule, pour souffler, et surtout pour essayer de me calmer. Je passa une main dans mes cheveux nerveusement les ébouriffant puis je la laissa finalement entrer et me mit à m'agiter pour essayer de ranger mes affaires. Malheureusement c'était trop rapide comme diversion, il fallait que je fasse autre choses pour éviter la conversation. Oui car mademoiselle voulait que l'on parle « Qu'on parle ? Mais que l'on parle de quoi Seven ? Tu ne crois pas que tout est déjà dit ? Et depuis longtemps maintenant, il n'y a plus rien à dire » Je la regarda un court instant, un instant de silence puis je dit « Et puis.. je suis occupé, il faut que je range, tout la salle de bain est en bordel » Tout le monde sait que je déteste ranger, mais j'essayais tant bien que mal de me trouver des excuses pour éviter cette conversation. Alors je me mit à ranger le linge qui traînait, à plier les serviettes, à aligné tous les parfums sur l'étagère. Je vous jure si mon meilleur ami avait été là il aurait eu peur de moi !!

tu entres, et proposes une conversation, c'est ce dont vous avez besoin tout les deux, de mettre les choses au clair, à plat, pour repartir sur de bonnes bases. parce que ça peut plus continuer comme ça, c'est chiant pour lui, pour toi, et pour vos coloc' ! « je crois pas non. sinon pourquoi toute cette tension, pourquoi toutes ces engueulades, pourquoi tout ça Sidney? Hein pourquoi? » tu t'approches de lui, tu devrais pas, parce que tu empiètes dans son espace, comme avant, comme quand vous étiez proche. ses yeux passent sur toi, tellement peu de temps que tu doutes qu'il t'ait vraiment regarder. puis il prétend devoir ranger la salle de bain. tu ris. « en général ça te dérange pas qu'elle soit comme ça, en bordel. » tu le suis des yeux, ranger les vêtements, les serviettes, les produits, bref, toute la pièce quoi. t'en reviens pas, il a jamais aimé ranger. tu poses ta main sur la sienne, pour le stopper dans son geste. « Sidney, tu te rends compte de ce que tu fais là? Tu ranges la salle de bain pour éviter de me parler! »

« Mais j'en sais rien moi ! Je sais pas ! » Je la regarde un instant et me recule finalement ne supportant pas cette proximité entre nous, pas que je n'aime pas sa ou quoi seulement cela quelque chose me dérange, quelque chose qui me fait peur, comme si je ne savais pas vraiment ce qui pouvait ce passer. Je suis tellement énervé, nerveux, que ma respiration devient haletante, je m'empresse de me mettre à ranger cette foutu salle de bain alors que je déteste sa. Lorsque je suis énervé normalement je cours jouer au basket, ou bien je vais courir, mais merci il y a de la neige dehors et je déteste plus le froid que le fait d'être énervé alors je me détend donc comme je peux. Je continue de ranger me disant que ma mère ferait une crise cardiaque en me voyant ranger ainsi quand soudain elle stoppe mon geste. Je regarde alors sa main sur la mienne, puis je relève mon regard vers elle. « Tous les moyens sont bons... » Oui je voulais éviter la conversation, car au fond je savais qu'elle avait raison, que toute cette tension était bien du à quelque chose, quelque chose autre que la rancœur, et j'étais quelque peu effrayé quand au fait de découvrir ce que c'était. Je pose alors la bouteille que je tenais dans mes mains sur l'évier et je repose mon regard sur elle, perdu.

« bah je pense que c'est pour ça, y'a des non-dits qui nous pourrissent l'existence, voilà. » tu soupires, et l’observes faire. c'est vraiment bizarre de le voir faire ça! de toute votre relation, jamais tu l'as vu ranger volontiers quelque chose, et chez lui c'était très souvent le bordel intégral ! alors là, ça fait vraiment étrange. il est tellement énervé qu'il range, c'est mauvais signe... et il approuve tes dires. il range bel et bien pour éviter la discussion. tu poses alors ta main sur la sienne, ce contact est étrange, agréable. il arrête son mouvement, puis pose la bouteille sur l'évier. il pose ensuite son regard sur toi, son regard qui fait fondre ton coeur, tu n'as qu'une envie, le prendre dans tes bars, et tu te fais violence pour ne pas craquer, et le faire. tu te contentes de lui faire un sourire qui se veut rassurant, sauf que tu es aussi perdue que lui. « bon... » chuchotes-tu. ça promet vu le changement qui vient de se produire en toi. il y a quelques minutes tu voulais lui mettre un pain, et maintenant... disons que c'est tout le contraire.

Je m'emporte, crie, hurle, dit des choses blessantes, je range, dérange, bouge, marche je ne sais pas ce que je fais. Tout mes mouvements s'arrête finalement lorsqu'elle pose sa main sur la mienne. Je la regarde, elle me regarde, bon on se regardent quoi mais elle ne parle pas je reprend donc en disant « Quels genre de non-dits ? Ben oui, vas-y, parle puisque apparemment tu as des choses à dire, parle je t'écoute » Je plongea mon regard dans le sien un instant attendant qu'elle parle, qu'elle dise apparemment tout ce qu'elle avait à dire. Il plonge ses yeux dans les siens tellement clairs et pure et ressent une sensation bizarre, une sensation qu'il ne saurait décrire et dire d'où elle vient. « Moi je t'ai déjà dit tout ce que tu avais besoin de savoir et je pense qu'il n'y a pas besoin de revenir la dessus » Bon sang plus borné que le jeune Kingston vous ne trouverez pas je vous assure.

tu prends ton courage à deux mains, et affrontes ce regard hypnotisant. tu pousses un soupir, et gardes sans t'en rendre compte ta main sur la sienne. « et bien, des non-dits du genre... je sais pas trop Sindey, c'est compliqué à dire...» tu parles d'une voix basse, timide. tu n'es pas souvent vue sous ce jour de fille fragile, même lui ne t'as pas souvent vue comme ça, et tu en est consciente, tu n'aimes pas ça. tu aimes pas que les autres sachent que tu n'es pas forte comme tu le fais penser au monde entier... tu secoues la tête et ton bras tombe lourdement le long de ta hanche. « tu as tout dit? tu n'as plus rien à ajouter toi?... y'a que ça? » tu ne peux t'empêcher d'insister, de tenter de savoir si il n'y a que toi qui ressent ce gout de non-fini pour votre relation. tu recules de quelques pas, et plonges ton regard d'eau dans le sien, à nouveau, cherchant un indice dans ses prunelles. c'est impossible qu'il n'ait rien d'autre à dire, qu'il n'y ait que toi qui ressent cette tension, et qui arrives à mettre un nom dessus. ce n'est pas de la haine, ou du moins, pas uniquement. y'a toujours une attirance entre vous, et tu t'en rends compte que maintenant, alors que votre proximité s'est soudain renouvelée. en partie grâce à toi, qui a posé ta main sur lui, à vos regards échangés, sans animosité pour une fois.

Lorsque je la vit hésiter à parler, et me dire que c'était compliqué je fronça les sourcils et la regarda plus intensément, voulant qu'elle parle, qu'elle me dise ce qu'elle avait à dire. « Je me fiche que ce soit compliqué tu as voulu qu'on parle alors je t'écoutes désormais » Lorsqu'elle me posa ensuite ces questions je baissa les yeux, tourna la tête et me mordit la lèvres quelques instants. Bien sur que non je n'avais pas tout dit, oui c'est vrai moi aussi j'avais l'impression qu'il y avait quelque chose derrière toute cette tension, moi aussi j'avais l'impression de quelque chose de non finis entre nous et moi aussi je voulais mettre fin à cette tension. Seulement lui dire que je ressentais encore quelque chose pour elle que ce soit sentimental ou juste physique peu importe je ne pouvais pas. Même si je l'avouais cela changerais, cela ne ferait que tout compliquer encore plus alors après quelques secondes je la regarda à nouveau et répondit en murmurant « Oui, il n'y a que ça »

tu soupires, et détournes les yeux. roooooh, dans quoi tu t'es lancée toi encore?! tu vas devoir trouver une excuse, parce que vu sa réaction, il pense pas comme toi... « ok, ok,... bon, et bien... » commences-tu doucement. puis tu lui poses des questions, enfin cela relèverait plutôt de l'harcèlement de questions... mais bon, c'est pareil et son attitude te réconforte dans l'idée que tu n'es pas la seule à penser ça. sauf que ses mots disent le contraire. tu es déçue, mais tu croyais quoi? qu'il allait t'avouer que lui aussi il ressentait tout ce que toi tu ressentais, que cette tension était basée sur des restes de sentiments, ou sur une attirance physique...? Bien sur que non, il va pas te dire ça. tu chuchotes. « oh, je vois, d'accord... » et tu prends ton courage à deux mains, et sans t'en rendre compte les mots jaillissent de ta bouche, dans un flot ininterrompu, et tu regrettes aussitôt tes paroles. « alors y'a que moi qui ressens cette tension ? qui la ressens comme plus que de la haine? qui penses qu'entre nous il reste quelque chose, que je saurais pas définir, que je veux pas définir, mais qu'il y a bel et bien? alors je suis la seule? et je devrais me taire, parce que si c'est vraiment le cas, je vais me sentir ridicule et stupide pendant le reste de ma vie, et je dois vraiment me taire. » ta voix ne devient qu'un murmure, et tu fixes tes pieds, tes joues rouges pivoines, et ton coeur un peu serré. quelle va être sa réaction. tu n'oses pas le regarder en face, tu as peur de ce qu'il va dire, ou faire.

Sidney sait qu'il ne lui dira pas qu'il ressent tout ça, non il y a bien trop de fierté, de tension, de rancœur qui sommeille en lui alors il lui fait comprendre qu'il n'a rien à dire, il pense que sa y est c'est fini, que leur conversation est fini et qu'il vont chacun partir de leur côté sans ne plus faire d'histoire. Mais il se trompe, oui il se trompe car alors qu'il pense leur dispute finit voila que Seven se met à débiter un nombre incroyable de mot. Il les écoutes et les mots appuient un peu plus sur son corps à chaque moment. Sid est réellement surpris de ce qu'elle lui dit, il pensait être le seul à ressentir ça, le seul qui avait cette impression. Mais non. Ils étaient bien deux, et si cela signifiait quelque chose, si cela voulait vraiment dire que en effet ce n'était pas finis. Le jeune homme commençait à y croire au fond de lui et pourtant il refusait cette idée. Son corps le poussait à embrasser Fleur, à lui dire qu'elle avait raison, à arrêter ce massacre de cris. Seulement c'était trop facile, il refusait de se laisser aller à ça, il refuserait quoi qu'il en soit qu'il ce passe quelque chose « Non t'est pas la seule ! D'accord, moi aussi je ressent tout ça mais et alors ? Sa change quoi hein ?? Que ce soit terminé ou pas peu importe, moi j'en est finis avec ça, un point c'est tout »

tu lui déballes tout, tu avoues que tu penses que c'est pas fini, que ça ne peut l'être. et puis tu te tais, attendant sa réaction. une réaction, qui te glace sur place. sa voix parait dure, et il a limite l'air énervé. il pense comme toi, mais ne veut plus de toi. tes yeux te piquent, et ton coeur se déchire à chacun de ses mots, à chacun de ses cris. tu relèves tes yeux, qui sont devenus froids. tu regrettes de t'être laissée aller, d'avoir montrer ta faiblesse en lui avouant tout ça. tu es vulnérable, stupide, et maintenant, triste. yeah jackpot! tu plantes tes yeux dans les siens. « ça a le mérite d'être clair au moins, tu ne veux plus rien avoir à faire avec moi, c'est bon j'ai compris. » ta voix est sèche, dure, comme elle ne l'a jamais été, et tu te félicites d'arriver à garder le contrôle, malgré les émotions qui te submergent à l'intérieur. sur ce, tu tournes les talons, et sors de votre salle de bain, serrant les poings. tu vas t'asseoir sur ton lit, dos à l'endroit où se trouve encore Sidney, et tu fais mine de chercher quelque chose, pour garder la tête haute face à lui.

HS - Quand tu changes le S et le D de Sidney, ça fait Disney

ah oui c'est vrai

Depuis le début de cette dispute le beau brun ne fait que crier, il lui hurle dessus et alors qu'il a finit, qu'il a tout dit il sent le regard froid de la brunette sur lui avant qu'elle ne lui réponde sèchement et s'en aille finalement. C'est à ce moment la qu'il se rend compte de la portée que ses paroles ont eut. Elles ont été trop loin, il s''en rend compte maintenant et il regrettes alors d'avoir été aussi violent dans ses propos. Il passe alors sa main dans ses cheveux, nerveux. Il sort de la salle de bain en éteignant la lumière et va alors s'asseoir sur son lit, en face de celui de Fleur. Et soudain Sidney décida de faire un effort presque surhumain pour lui, il décida de s'excuser, chose qu'il ne fait que très rarement tellement sa fierté est grande mais cette dispute le blessé aussi même s'il ne le montrait pas « Je m'excuse Fleur... C'est pas ce que je voulais dire.. » Et c'est ce que tu voulais dire alors imbécile hein « Ce que je veux dire c'est que on ne c'est même pas d'ou vient cette impression d'être encore relié l'un à l'autre, j'ignore d'ou cela vient et si c'est de nature sentimentale je.. je suis navré, désolé de me dire que l'on sait tous les deux que sa ne marchera pas » Tout comme la première fois, leur relation se dégradera et peut être encore plus vite même cette fois.

intérieurement, t'es un peu dévastée, mais extérieurement, t'es aussi froide qu'un iceberg. tes yeux sont froids, ta voix sèche. t'en reviens pas de ses propos, de son ton. il y a été fort, trop fort, et tu quittes la salle de bain. bien vite, il fait comme toi, et vas s'asseoir face à toi, dans son lit. tu ne lèves même pas les yeux en entendant sa voix, et tu réponds sur la défensive. « ah non? et tu voulais dire quoi alors? parce que pour moi, t'as été plutôt clair. » tu passes ta main dans tes cheveux, et t'appuies contre la tête de ton lit. tu entends la suite de ses paroles. il a les mêmes 'craintes' que toi, les mêmes ressentis. sur quoi est basée cette espèce de tension qui vous lie? tu soupires, et te lèves, sans même y penser, tu vas t'asseoir près de lui. « je sais tout ça, mais tu peux pas me dire ça, me dire que 't'en as fini avec moi, alors que tu ressens tout ça. et je sais que ça ne marchera probablement pas, parce qu'au fond, j'ai pas beaucoup changé, mais enfin, on peut pas continuer comme ça... ! »

Oui oui sa lui arrive des fois au petit Sidney d'ouvrir les yeux, de regarder la scène d'un eu plus près et de se rendre compte qu'il n'a surement pas fait ou dit les bonnes choses. Et alors il se met à regretter bien sur. Il viens donc s'excuser auprès de Fleur mais celle-ci semble toujours autant agacé. Il lui explique finalement ses "vrais" pensées et sans qu'il ne s'y attende pensant même plutôt qu'il allait se prendre une baffe qu'il aurait méritait depuis tout ce qu'il lui a dit depuis le début et bien non elle décide de s'asseoir à côté de lui et de demander ce qu'ils allaient faire alors. « Certes oui, on peut pas continuer comme ça mais on ne peut pas être ensemble non plus alors quoi, on reste là à se regarder dans le blanc des yeux jusqu'à la prochaine dispute ? » Je la regarde alors dans les yeux après avoir tourné mon visage vers elle, ne la lâchant pas du regard. Ces disputes n'étaient plus possible il fallait quelle cesse, mais comment faire ? Quand eux-même ne savent pas ou ils en sont.

il s'excuse, mais tu t'en fous, mais alors, il explique ses vraies raisons. vous savez pas, et c'est de là que vient tout le problème, vous êtes perdus avec cette tension, et avec, pour toi, cette envie d'être proche de lui. tu soupires, encore. « je sais pas ce qu'on va faire, mais en tout cas, ne plus se disputer, et s'envoyer des piques tout le temps quoi... et on vivra avec cette tension, on est grand, on sait résister à se sauter dessus je pense... j'espère » tu le regardes avec un regard qui démontre totalement le contraire, parce que t'as envie de l'embrasser, d'être dans ses bras,... mais tu gardes ton 'calme', gardant tes mains chez toi. tu lui fais un grand sourire qui se veut innocent. « hein qu'on peut y arriver ? » t'as une voix de petite fille.

Ne plus se disputer ? Fiouuuu sa allait leur faire bizarre dis-donc car depuis le temps qu'ils ne cessent de se prendre la tête, même leur colo'c ne vont pas en revenir en les voyant qui se parle gentiment Sidney était prêt à faire cet effort bien que la fin de la phrase de la jeune femme lui laisse une impression de mensonge. Je fais un faux sourire qui sonne pourtant vrai tellement je suis bon comédien et je répond « Oui... surement » Après tout nous ne sommes pas des animaux, nous pouvons bien réussir à nous entendre et à vivre dans le même dortoirs sans pour autant se sauter dessus, sa ne devait pas être si compliqué hein ? C'est bien ce qu'il fait avec toutes ses autres colocataires, sa doit être pareil avec elle... Cela doit, et pourtant le fait qu'il est un passé commun change déjà beaucoup de chose. Je la regarde alors, et soudain je suis de moins en moins sur de mes paroles, je pose alors ma main sur sa jambe et dit en tournant mon visage vers elle et en le rapprochant du sien « Et.. et si on y arrive pas, si c'est trop dur... »