Vendredi soir ! Enfin le week-end deux jours pour se détendre, oublier les cours et faire la fête, toute sa bande de potes l'on tannait pour qu'il vienne avec eux ce soir, au bar sur le bord de plage, un endroit hyper branché toujours bondé de monde, l'avantage c'est que la plage est grande. Il a donc envoyé un message à Loïs, car bien entendu il veut qu'elle soit présente, qu'elle soit là avec lui pour s'amuser. Mais après deux heures toujours aucune réponse, il ne veut pas l'harcelée de textos, cela ferait ringard. Jeans déchiré et débardeur noir et casquette vissé sur la tête, ses cheveux ont poussées et il repousse le moment d'aller chez le coiffeur, puis cela ne le dérange pas d'avoir les cheveux un peu plus long ( ^^) arrivé au bar il y a une ambiance déjà affolante. Des éclats de rire, de nombreuses voix se mêle et les verres se vident très rapidement, lui comme souvent il boit peu, mais ce soir il n'est pas le sam alors il ne regarde pas vraiment. Une jolie brune l'accoste tout juste arrivé elle s'installe dans le groupe avec naturel, mais ne décolle pas Kyle. Cela ne le dérange pas plus que ça, elle est jolie, sympathique et elle parle musique. Un verre à la main il est penché vers elle pour l'écouter de loin et dans la pénombre aller savoir ce que l'on distingue__Est-ce qu'ils s'embrassent ? Ce qui est sur c'est qu'elle a son bras autour de son cou.

Cette jolie brunette du nom de Maggie lui parlait à l'oreille, sa main sur sa nuque, Kyle se rend bien compte qu'elle le drague ouvertement elle a refoulé les avance de ses potes. Kyle ne sait pas comment agir, est-ce qu'il est célibataire sans nul doute, du point de vue de Loïs et il est hors de question qu'il le lui demande leurs relations n'est basé que sur cette soirée passé ensemble où il s'est glissé dans ses draps, pour un moment de plaisir a un et sans conséquence enfin cela devait et aurait dû se passer ainsi, mais en vérité il n'en est rien bien au contraire et Kyle ne sait pas dans quoi il s'engage, ni même s'il ne s'engage pas a sens unique. Il pose la main sur l'avant-bras de la brune en se redressant et c'est là qu'il la voit arriver droit sur eux, avec un regard qu'il a du mal à déchiffrer, colère ? jalousie . Loïs repousse sans ménagement Maggie et vient se glisser entre ses jambes, ses mains se posent sur son visage et sa bouche couvre la sienne, il en ouvre les yeux plus grand avant de savourer son baiser, c'est de la jalousie, est-ce qu'il doit c'en vouloir, certainement pas il apprécie bien trop sa réaction. En propriétaire elle le force à passer ses bras autour d'elle. Tu me présentes pas ta copine ? La façon dont elle le dit lui fait froncer les sourcils, il la regarde mais cette dernière fusille la brunette. il s'éclaircit la gorge.
heu __Maggie. Elle s'appelle Maggie. "regardant ensuite la brune, d'un air gêner" Maggie voilà Loïs.

Kyle ne comprend plus rien à la situation qu'il vit, la jalousie de Loïs est évidente, flagrante même. Pourquoi ? Il sait qu'elles les voient tous deux comme des amis qui parfois couchent ensemble et encore que ce n'est arrivé qu'une seule fois. Elle ne répond pas à son texto, mais quand elle arrive elle lui fonce dessus genre " par touche c'est mon mecs" mais après ses attitudes disent presque le contraire, oh misère il est perdu complètement, les filles, c'est vraiment trop compliqué. Je pense que tu peux retourner avec tes potes là-bas

Il doute fort qu'il soit bien agi en les présentant l'une à l'autre, vue comment elle la remballe, mais merde quoi il est célibataire où il ne l'est pas ? Elle le considère comment , comme sa chose " des miettes" O.O Il soupire doucement alors qu'elle pose son regard bleu dans le sien, aie elle n'est pas contente. - Tu m'expliques maintenant pourquoi t'as une poufiasse dans les bras alors que tu me demandes de venir ?! Il retire ses bras autour d'elle et s'adosse à la poutre en bois derrière lui, il s'allume même une clope avant de lui répondre, il a besoin d'une seconde. Je te signal que tu ne m'as pas répondu, ensuite __Je suis censé être ton exclusivité ?! alors là ! c'est la question qui tue, sa passe ou ça casse comme on dit et il regrette presque de l'avoir posé, l'autre jour en forêt il a changé de sujet en voyant sa réaction, il aurait dû faire de même, il soupire et pose un index sur ses lèvres.
ne me répond pas. Elle était jolie et sympathique. Je suis désolé que cela t'ai mis en rogne. " il marque une hésitation et poursuit en la fixant" je ferais plus attention la prochaine fois. alors là s'il n'y a pas message ! il espère qu'elle a le décodeur.

Une surprise ? Il reste abasourdir, le simple fait de savoir qu'elle a voulu lui faire une surprise, donc lui faire plaisir, le met dans un état pas possible et ça met un peu plus le bazar dans ses pensées et ses sentiments, car il s'agit bien de cela, il tient à elle un peu plus chaque jour, chaque fois qu'ils se voient, se parlent. Il détourne les yeux préférant ne rien dire, il s'emporte pas Kyle et si cela arrive c'est comme une étoile filante cela ne dure qu'un instant, dans le fonds Kyle et une sorte de bisounours tout le contraire du genre de mec qu'il est persuadé Loïs fréquente normalement. De plus elle boude, il ne supporte pas ça, il n'a qu'une envie la prendre dans ses bras et lui demander pardon, mais avant qu'il le fasse elle lui répond sur la défensive. non mais la prochaine fois t'ira te faire foutre Kyle, que ce soit clair entre toi et moi.
Ça a le mérite d'être clair au moins, il la regarde tendu, il recrache une bouffée de cigarette en posant ses yeux sur elle.
Oué c'est très clair Loïs t'inquiète pas, je te ferais plus chier et j'irai me faire foutre ailleurs, c'est clair !
Il détourne le regard, le coeur lourd, il tire sur sa clope et l'envoie au loin et il s'en allume une derrière tant pis pour ses poumons ce soir il morfle, mais il a besoin de nicotine pour se calmer. Il la regarde du coin de l'oeil commander une bière et se tourner à nouveau vers lui, il s'attendait à tout sauf à ses mots, il se décolle de la poutre en la fixant d'un regard triste et colérique il jette sa clope à peine entamer et repousse les cheveux qui lui tombent sur les yeux. Tu cherches quoi Kyle . À me baiser de temps en temps pour en parler à tes potes ? Tu te fou de moi là ? Sérieux tu ne le vois pas ce que je cherche ? Tant pis crois ce que tu veux, crois que je ne veux que te baiser autant que possible, je m'en contre fou, moi je sais que ce n'était pas de la baise, pas pour moi en tout cas. Ce qui est sûr c'est que cela n'arrivera plus.
Il se détourne et fend la foule pour s'éloigner d'elle le plus possible, elle vient de le mettre dans une colère monstrueuse en imaginant qu'il ne s'intéresse cas son corps et aux possibilités de sexe entre eux. les pieds dans le sable il a le souffle lourd et le coeur agité, il balance un coup de pied dans le sable Fais chier !Voilà maintenant il regrette! Maintenant il a peut-être perdu, il soupire il perd quelque chose qui ne lui a jamais vraiment appartenu.

Et ben t’as raison, casse-toi, tu vaux pas franchement mieux que les autres. Comme ces mots lui faisaient mal sérieux ! Assis sur le sable il se tient la tête le regard dans le vague, tentant de calmer les battements de son coeur et sa respiration trop dense. " je ne vaux pas mieux que les autres ? c'est abrutis qui se sont servie d'elle, moi je ne vaux pas mieux pff elle a de la merde dans les yeux, je suis le mec qui lui faut." et lui il parle seul en s'énervant pour rien. Il se laisse tomber sur le dos en fixant le ciel plein d'étoiles il entend les voix qui proviennent de la fête et en tournant la tête il découvre la brunette embrassant son pote steeve il regarde à nouveau le ciel soupirant, il passe une main sur sa mâchoire et ses doigts sur sa bouche. " putin merde" Il se lève et part en courant bien sûr avec la précipitation on trébuche, il se relève et revient dans le bar il la cherche partout mais, il ne la voit pas, il se rue sur ses potes " Elle est où " hurle-t-il, on lui désigne la sortie, il repart en poussant pas mal de monde et en s'excusant dix fois, il pousse la porte et cherche sur le parking il ne sait même pas si elle a une voiture il sillonne les allées en courant regardant dans chacune d'elles puis il la voit le visage en larmes, ça lui fait mal, merde. Il pose sa main sur la vitre et il se penche pour la regarder, il ouvre la portière et pose un doigt sur sa bouche avant qu'elle lui dise encore de se casser et il l'attire et il prend possession de sa bouche, encadrant son visage de ses mains, sa langue passant le barrage pour aller à la rencontre de la sienne et de la caresse encore et encore dans un baiser épique. Son front contre le sien il regarde le sol. Je suis désolé Loïs.

Il l'a retrouvé et avant qu'elle ne parle il l'a embrassé, il est sûr qu'elle lui aurait dit de partir, mais il n'en a pas envie et peut-être ,elle non plu, surtout vue comment elle lui rend son baiser, il a le gout de ses larmes en bouche maintenant et ça pèse sur son coeur, car il est coupable de lui avoir fait du mal. Il caresse ses joues de ses mains, il ne compte pas la lâcher, même s'il doit rester toutes la nuit à genoux devant la portière de sa voiture.
Je suis pas une fille pour toi Kyle, arrête de tenter de faire de moi quelqu’un de bien, je ne le suis pas…
Ah bon ? Est-ce que je l'ai dit-moi ? Non et c'est à moi d'en juger Loïs, tu es quelqu'un de bien, tu m'as accompagné en forêt, tu es venu avec moi choisir un costume tu voulais me faire une surprise ce soir ! Moi je ne vois que du positif chez toi et s'il y a du négatif comme dans chacun c'est à moi de juger si cela me va ou pas.
Pourquoi elle se dénigre ainsi ! Est-ce à cause de son enfance ? De ses choix passés, a-t-elle l'impression qu'elle ne peut plus faire marche arrière et que la vie l'entraîne ? Lui il pense le contraire, il a souffert comme elle d'être dans un foyer de ne pas avoir de vraie Noël et personne qui vous sourit fier de vous. Il essaie de faire front même si c'est dur et il est sûr qu'elle peut faire de même il le sait, le voit et le ressent, elle est forte, brillante, drôle, déterminée, belle, attachante et tant de choses encore. Et par-dessus tout il tient à elle.
Je peux pas t’enfermer Kyle, t’es pas mon jouet, t’es même pas mon copain.
Non je ne suis pas ton jouet___Tu n'est pas non plu le mien Loïs, tu ne la jamais serais.
Je ne suis pas ton copain. Et pourquoi je ne le serais pas ? Je sais, j'ai l'impression que cela te fait peur, alors ne mettons pas de mot là-dessus pas encore, mais laissons-nous essayer Loïs.
Oui essayait d'être ensemble, avancer un pas devant l'autre et voir où cela les mènera, il a penché son visage de coter, sans cesser de caresser son beau visage, elle est si belle, même avec les larmes qui ont fait couler son rimmel. Il tient peut-être déjà trop à elle et il sait qu'il doit faire attention, ne pas trop en demander et ne pas trop espérer, car il risque d'en souffrir. C'est un risque qu'il prend, car elle en vaut la peine.

C'est peut-être absurde comme réaction, mais c'est ce qui la fait tenir tout au long de sa vie, imaginé un happy end, voir les choses du bon coter sourire, malgré le manque et l'angoisse qui parfois le surprend, tout le monde le voit comme un mec plein de vie et d'assurance, qui n'a pas de soucis, n'est jamais triste, c'est une sorte de rôle qu'il joue et qui est devenue naturelle. Il ne changera pas, car cela marche, il est heureux et en ce moment c'est grâce à elle, à ses petits détails qu'elle pense insignifiant. Mais je t’ai accompagné comme tout le monde l’aurait fait. Parce que je t’aime bien, parce que t’es le seul qui arrive à me faire rire de cette façon…  Il caresse sa joue d'un geste lent et tendre, les yeux dans les siens.
Je ne parle pas des autres, je parle de toi, c'est avec toi que je voulais les faire. J'arrive à te faire rire Loïs ? à te dépasser comme l'escalade ou la séance shopping . Cela me plaît et je compte bien continuer. Car tu comptes à mes yeux.
Elle compte en effet de plus en plus, après cette soirée ensemble, il n'a pas su la chasser de son esprit, de la rangée dans la case coud d'un soir, impossible. Puis cette journée en forêt c'était extraordinaire, tous ses gestes envers lui, ces sourires, ces baisers, sa main dans la sienne. Il sourit sincèrement en sa présence et ses démons se taisent, il est dans la quatrième dimension et il y est bien. Mais tu sais à quoi ressemble un copain pour moi ? Je n’ai jamais eu que des relations d’un soir, un client qui me payait ce qu’il me devait après une passe dans une ruelle glauque. J’étais pute Kyle, tu crois pas mériter un peu mieux que ça ?
Kyle eut un moment dans le vide, il ne s'attendait pas à de telles paroles, il cligne des yeux et balai tous en bloc, il ne veut pas entendre ça, une voix en lui sournoise et mesquine lui dirait de ce barré ou de l'utiliser, la raison lui dit de voir la femme qu'il a en face de lui, celle avec qui il a partagé un moment intime, ce n'était pas glauque, c'était un échange 50/50. Il prend encore une longue minute de silence en la fixant, toujours à genoux devant-elle ses doigts on reprit leur caressent.
Tu ne sais donc pas, moi non plu. Apprenons ensemble, mais pour cela il faut que tu le souhaites, je ne te force en rien Loïs, ne met pas de mot dessus s'il le faut, mais ne me tourne pas le dos.Délibérément il n'a pas abordé le sujet, mais les mots lui brûle les lèvres. il détourne légèrement le regard.
Pourquoi tu faisait ça Loïs, pourquoi donné ton corps de la sorte ?! Il revient sur son regard et il se redresse il pousse le siège à fond et se glisse sous elle, posé sur ses genoux, ainsi il prouve que cela ne changera rien. Il rit ensuite a sa demande.
J'N'en sais rien, elle m'a abordé dès que je suis arrivé et je m'en contre fou d'elle, je lui ai dit que j'avais une "copine" une amie avec qui j' ai adore couché une fois et qui est tellement plus que ça, tellement.
Dit-il avec un rire dans la voix.

Je crois que ce qu’on vit tous les deux ressemble déjà plus à un couple que ce que je n’ai jamais vécu…Il sourit en baissant un tantinet le regard, un couple elle est elle, oui ils ressemblent bien à un couple et étrangement tout depuis le début, la façon dont ils ont fait connaissance, le naturel qui s'est installés et bien sûr leurs soirées, il a été plus doux avec elle, plus prévenant, plus attentif, la couvrant de câlin de baiser et il a bien eu du mal à quitter sa chambre, peut-être qu'il avait déjà craqué pour elle à ce moment-là, oui certainement en effet. Il lit dans le regard de Loïs une certaine crainte, la peur .! C'est possible, dans une histoire d'amour il y a la part d'ombre, l'inquiétude et la peur que l'histoire ne fonctionne pas qu'on est mal. Mais c'est comme tout, il faut oser pour voir si on peut y arriver, comme avec l'escalade, elle a osé et elle a réussi. Kyle espère qu'elle donnera une chance à leur histoire et qu'elle commencera l'ascension.
Une histoire c'est toujours nouveau, incertain, troublant, effrayant peut-être, mais c'est aussi excitant, merveilleux, doux et passionnant, c'est la découvert de l'autre. Un jour ont décidera si un met un mot la dessus okey.
Il sourit largement il n'a pas besoin de mot, du moment qu'elle ne le fuit pas. Kyle est loin d'être parfait et il vient de le prouver en posant la mauvaise question, il a besoin de savoir, qu'elle lui parle, il ne lui reproche rien, c'est son passé, cela ne servirait à rien, il remonte à peine le regard sur elle quand elle s'explique. Parce que j’avais pas le choix Kyle putain ! À 18 ans ils m’ont foutu dehors, comme tous les foyers, j’avais rien, ni diplôme, ni avenir. J’avais un copain, dont j’étais raide dingue, j’ai commencé à tomber dans la came qu’il dealait, et rapidement, je n’ai plus eu le choix, il me fallait ma dose. Serveuse ça dépanne mais ça paye pas. En me vendant sur le strip j’avais au moins de quoi me trouver un appart. Il devrait lui dire qu'on a toujours le choix, mais cela serait peut-être prétentieux de ça part, il ne connaît pas ça vie, il ne sait pas par où elle est passé et les conséquences qui l'ont emmené à faire ses choix. Il est malheureux qu'elle ait vécue cela, elle doit vivre avec. Cela explique en partie pourquoi elle est ainsi, à se protéger constamment à pensé que les hommes ne veulent que son corps, tous les hommes ne sont pas comme ça, lui ne l'est pas.
Je suis désoler.
Pas d'avoir posé la question, mais de ce qu'elle a vécu, elle trime encore chaque jour et lui il ose à peine toucher à l'argent de son père, il devrait peut-être en profiter plus, comme le pousse à le faire Tony. Mais pas pour rien, pas futilement, le gala de charité. Il s'est installé dans la voiture Loïs lové contre lui, ses bras autour de son cou, bonté divine comment ce simple geste, le simple fait de la sentir contre lui, peut lui procurer autant de joie ! c'est hallucinant. Ses larmes coulent dans son cou et mouillent la base de son t-shirt et il ne cesse de la caresser, la serrer et d'embrasser ses cheveux. Tu restes avec moi ce soir ?
Il la regarde essuyant les larmes qui inonde son doux visage.
Oui, je reste avec toi Loïs.
Ce soir et les autres si elle le souhaite, mais il ne le mentionnera pas. Il embrasse ses deux yeux gonflés d'avoir pleuré puis un baiser sur sa bouche, puis une seconde et encore un plus appuyé, jusqu'à ce que ses mains glissent dans ses cheveux et qu'il l'embrasse avec urgence et un besoin important. Un besoin d'elle. Il savoure ses lèvres et le gout de sa langue mêler a ses larmes, la serrant tendrement contre lui, dans l'habitacle de la voiture c'est comme si le monde extérieur avait cesser d’exister.

Il sourit, oui un jour, il n'est pas pressé, tout ce qui lui importe c'est qu'elle soit près de lui, il y tient et davantage encore après avoir passé un moment avec elle. Lors de leurs séances shopping par exemple, avoir son avis, son regard posé sur lui et il n'est pas prêt d'oublier la façon dont elle lui a noué sa cravate et le regard qu'ils ont échangé à ce moment-là, comme si la foudre avait frappé entre eux deux. Sa main toujours dans la sienne, ses sourires et jusqu'à ce soir, sa crise de jalousie, il ne veut pas la rendre jalouse, mais dans un recoin égoïste de sa tête cela lui a fait plaisir, elle lui montre qu'elle tient à lui. Il aurait préféré qu'elle s'ouvre différemment, mais il n'y a pas de situation parfaite, idyllique comme ont dit, il n'y a que la réalité, brutal, sale, mesquine et injuste. Ce soir malgré cette dispute, les mots prononcés et les larmes il a le coeur plus léger qu'il ne l'a jamais eu. Il la regarde alors qu'elle le remercie, le remercier. Non il ne le mérite pas, il n'a rien fait, il la mise en larmes, il ne mérite pas ce merci, il fera en sorte de le mériter.Il commence par l'embrasser, savourant sa langue experte danser avec la sienne, la serrant tout contre lui, le baiser n'en finit pas, il se rend compte de combien il avait besoin d'elle. Elle se déplace et ce rassied sur lui il serre les mâchoires le regard voilé avant de récupérer ses lèvres, ses mains se glissent dans ses cheveux, l'embrassant avec plus de passion. Elle se frotte contre lui il n'est pas insensible au contraire il est très réceptif avec elle. Il la dévore du regard quand elle retire son haut. Elle revient impitoyable sur sa bouche pour leur plus grand plaisir, elle ondule sur lui, il a le souffle court et il est à l'étroit dans son bermuda. Il se cale sur l'appui tète en la fixant, glissant ses mains autour de son visage, il ne lui dira pas non, car elle penserait que c'est à cause de ce qu'elle a dit et il a trop envie d'elle, mais il espère qu'elle lira dans ses yeux et dans le doute il le lui dit dans un souffle tendre et chargé de passion.

C'est de toi que j'ai envie, pas de simplement de ton corps de toi Loïs de tout ce que tu es mon petit coeur.
Il relâche son visage et tire sur son haut pour le retirer, il repousse ses cheveux qui lui tombent sur les yeux et l'attire à lui pour l'embrasser à nouveau en se tortillant il sort une capote qu'il pose sur le tableau de bord, il fait reculer le siège, il lui sourit en la fixant, ses mains glissent dans son dos et font sauter l'attache libérant les deux monts dresser qui lui est offert il se penche et en prend un en bouche titillant la pointe du bout de ses dents, goûter à sa peau c'est comme boire de l'hydromel.

Emprisonnant sa poitrine entre ses lèvres, il la sent le pousser à continuer alors il délaissait l'un pour s'approprier l'autre pour des caressés toujours sensuelle et terriblement excitante. Rejoignant sa bouche il avait posée la capote, car c'est important de se protéger, trop de monde pense que rien ne leur arrivera, qu'ils n'attraperont rien qu'ils sont maîtres et trop se retrouvent, enceinte pour le meilleur des cas et le pire c'est de choper une maladie. Il sourit quand elle ouvre son bermuda et qu'elle le tire, il l'aide comme il le peut, mais ce n'est pas simple dans un habitacle réduit, mais ça rajoute aussi à l'excitation qui les unis tous deux. Avant qu'il aille plus loin il a tenu à lui exprimer sa pensée, qu'elle sache qu'il n'est pas comme les autres, tout pourrait le faire croire, après le moment intime qui a eu, puis l'achat de la robe, le fait qu'il lui est laissé sa carte et même le fait qu'il n'est pas mis immédiatement de la distance avec cette brune, dont il se fout royalement, donc les apparences peuvent être contre lui, mais non il ne la prend pas pour un objet. Elle compte pour lui et il veut vraiment que leur histoire marche, qui sait un jour elle mettra elle-même un mot sur leurs relations, il lui tarde ce jour. Il sourit quand elle lui dit de se taire, mais il voit l'éclat de son regard et cela fait battre plus bruyamment son coeur. Il pose sa main sur sa nuque pour intensifier le baiser qu'elle lui donne, une merveilleuse façon de lui dire de se la fermer. Il aspire sa lèvre le regard fou lové dans le sien à la caresse qu'elle lui procure, il colle son front au sien, les yeux mis clos, savourant pleinement. Il ne reste pas simplement à profiter, il a aussi besoin de la toucher, la sentir, alors il se fraye un chemin sous sa microjupe, pousse le tissu pour glisser venir la titiller du bout des doigts, plus ou moins avec douceur et fièvre mêler. Leur bouche scellait à nouveau il gémit sur sa bouche à ses mains à nouveau sur lui et plus encore quand elle s'assoie sur lui, il, tremble de la sensation forte et brûlante qui le transperce. Son visage dans son cou, il tient sa taille fine alors que son bassin se mouve en elle. D'un seul coup il bascule en arrière, avec des petits cris de surprise, il se met à rire et il l'embrasse à nouveau, ses mains sur sa taille il la trouve superbe à onduler au-dessus de lui, avec la faible lumière de l’extérieur. souplement il la fait basculer, revenant en elle il saisit ses cuisses pour qu'elle passe ses longues jambes sur sa taille, reprenant se va et vient, lent d'abord comme pour la mettre au supplice, puis plus prononcé, par accoue tremblant sous le plaisir divin. Il frôle ses lèvres de nombreuses fois alors qu'il crée un rythme intense, elle le rend dingue, fou, presque incontrôlable, il tombe amoureux, pour de bon, il écarquille les yeux serrant sa main dans la sienne, il enfouit son visage dans son cou, la serrant toujours plus contre lui.

Il redresse le visage, le coeur encore battant, le souffle court et la peau humide, son bermuda gisant sur l'une de ses chevilles. Il la contemple, elle est superbe, divine, il se penche et pose ses lèvres sur les siennes les yeux fermés, les paupières très serrés. Leur première fois était géniale, mais même s'il avait été délicat comme toujours et avait donné autant que pris, cela avait été avant tout du sexe partagé, mais ici, pas dans cette voiture, il aurait préféré un grand lit, mais il y en aura d'autres, mais là c'est leurs vraie première fois, ils ont fait l'amour, en ce donnant entièrement à l'autre. Il pose sa joue sur sa poitrine écoutant les battements de son coeur, il la caressait lentement et sans discontinue, il aime ce moment après l'amour, ou encore uni il savoure et se délecte du plaisir qui vibre encore en lui, en eux. Il n'a pas envie de parler pas encore, avec délicatesse il se retire d'elle et fait en sorte de prendre sa place pour qu'elle s'allonge sur lui bien plus confortable pour elle. Il fait passer ses cheveux derrières ses oreilles lui souriant.
Tu es sublime après__l'amour.
Dit-il avec un sourire gamin, on lui donnerait tout avec cette bouille-là et il en use quand il le faut. Elle est belle, ce n'est normalement pas le genre de femme qui l'attire, comme quoi l'amour est un mystère, elle a des yeux sublimes, trop même il a du mal parfois à soutenir son regard, elle a une bouche à être embrassé, un corps longiligne et sexy. Il embrasse son front et vient chercher ses lèvres pour un baiser plein de tendresse, ou vers la fin il déraille en lui faisant de petits proute dessus il rit et la sert contre lui pour quelle évite de fuir ou de le taper.
Dis-moi petit coeur, qu'est-ce qu'on fait ? ont y retourner ? on va se prendre un bain, on rentre et on zappe devant la télé ? Qu'est-ce que tu veux faire petit coeur ?

Il rit de bon coeur, prenant ensuite son doux visage entre ses mains pour la gratifier d'un long baiser savoureux et tellement tendre, profond que lui-même en est bouleversé.
Tu es belle tout le temps Loïs, mais j'aime l'éclat de ton regard et les cheveux en vrac te rendent encore plus sexy.
Ils sont bien là l'un contre l'autre, mais ils ne pourront pas rester là indéfiniment ils se feront repairer et il veut garder cette vision de Loïs pour lui, repoussant les mots qu'elle a dits plus tôt au tréfonds de son être. Il doit me rester de quoi passer une bonne fin de soirée, mais c’est dans ma chambre, on peut passer le chercher ? Il La regarde une seconde perplexe, c'est vague et peut emmener à tout, mais il ne craint pas de la suivre il verra bien de quoi elle parle, il prit pour que sa sois de quoi fumer. Il se redresse avec elle tout sourire, l'embrasse et trouve ses affaires, les repasses en se tortillant puis passe coter passager et les voilà partie pour la chambre de sa " hum" il en a un sourire béa aux lèvres.