∞ we feel like strangers, strangers who had already spoken between them.(charles et kendra) 4118676959 Un petit VOTE toutes les deux heures, les amours ∞ we feel like strangers, strangers who had already spoken between them.(charles et kendra) 4118676959
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 ∞ we feel like strangers, strangers who had already spoken between them.(charles et kendra)

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MessageSujet: ∞ we feel like strangers, strangers who had already spoken between them.(charles et kendra)   ∞ we feel like strangers, strangers who had already spoken between them.(charles et kendra) EmptyMer 13 Mar - 16:41

~ we feel like strangers, strangers who had already spoken between them.~
on rencontre des gens dans la rue,au travail,à l'école,dans des lieux publics mais moi j'ai voulu faire différemment les choses en me rendant sur internet.
Agglutinée à la bibliothèque sur l'ordinateur,tu étais tellement concentrée sur ton écran que tu n'avais pas remarqué que quelqu'un se trouvait à coté de toi et t'observais.C'est en cherchant tes lunettes que tu le remarquas. A sa vue répugnante,tu en déglutis,tu n'étais pas du genre à jouer la fine bouche et te taire et tu pris une mine clairement dégoutée avant de continuer ce que tu faisais,comme si de rien n'était.C'était ton petit coté sauvage qui ressortait mais c'est que tu n'appréciais pas être épiée comme ça.Après t'être rende compte qu'il serait peut-être temps que t'aille te préparer,tu te levais de ta chaise et évitais de croiser le regard de l'homme qui semblait t'avoir tenu compagnie tout le long sans même que tu l'eusses remarqué.Les mains dans les poches,la mine fatiguée après avoir passé ton temps entre Twitter et entre un de tes articles journaux,tu rejoignais ton dortoir qui était étonnement vide.Sans réfléchir plus longtemps,tu commençais à te désaper,de toute manière,c'est pas comme si tu étais vraiment pudique.Seule parmi tant d'hommes,il t'arrivait parfois de l'oublier mais là,tu avais quand même pris soin de fermer la porte.Enfilant des vêtements simples,tu n'étais pas une fan des robes,des collants et des ballerines,vous savez,le genre de trucs que toutes les filles normalement constituées,en étaient folles.Tu ne devais pas l'être mais ça ne t'empêchait pas de continuer à t'habiller comme bon te semblait. Laissant tes cheveux tomber en rafales sur tes épaules,tu passais impérativement par la case maquillage.Tu te posais mille questions,bah oui,tu le connaissais pas ce Teddy,tu pourrais être agréablement (ou pas) surprise mais tu pensais l'être.Votre conversation t'avait convaincu à le voir et lui aussi.Tu commençais à partir vers le point de rendez-vous que vous vous étiez donné et tu râlais déjà contre le vent,contre lequel tu te battais.Voiture chez le mécanicien,tu n'avais comme solution qu'utiliser tes jambes puis de toute manière,tu n'étais pas très loin.Tu regardais ton portable et remarquais que tu avais encore le temps,peut-être même que tu serais en avance,ce qui était rare,la Kendra était connue pour son éternel et habituel retard. Les écouteurs aux oreilles, tu vis le bout du moulin et fus rassurée car tu te sentais déjà fatiguée par cette marche qui t'avait semblé interminable bien qu'elle n'avait qu'un petit quart d'heure.Voyant que tu avais encore un peu de temps avant vingt heures,tu t'allumais une cigarette,en manque de nicotine.Adossée contre le moulin,tu profitais tranquillement de cette "petite drogue."Dans ta tête,tu voyais ta mère te rouspéter dessus utilisant comme argument que tu souffrais d'un souffle au cœur et que la cigarette en arrangerait rien à la chose,pourtant tu continuais. Quand tu vis un jeune homme arrivé près de toi,ton visage s'éclaircit et un sourire apparut sur tes lèvres.Enfin,tu décrochais ton premier sourire dans la journée. Tu regardais ta montre et revenant à ton état naturel,qui était la Kendra taquine,tu ne pus te retenir de faire remarquer le "petit" retard qu'il avait.Vingt heures huit. Tu tentais de garder un brin sérieux mais tu ne pus t'empêcher de rire tandis que tu redressais pour lui faire face.Bon eh bien j'imagine que tu dois connaitre mon prénom mais au cas où Kendra. Tu ne savais pas si tu devais lui serrer la main quand bien même lui faire la bise,soit tu trouvais ça ringard la poignée de main alors tu lui plaquais deux bises sur chaque joue et tu le regardais,pour voir à qui tu faisais face. Physiquement,je ne suis pas déçue. Autant continuer sur la même voie que vous avez commencé sur Twitter.

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MessageSujet: Re: ∞ we feel like strangers, strangers who had already spoken between them.(charles et kendra)   ∞ we feel like strangers, strangers who had already spoken between them.(charles et kendra) EmptyJeu 14 Mar - 8:00


kendra and charles
we feel like strangers
Il faut dire que ouais, c'est pas courant. Des inconnus sur Twitter, on en rencontre huit mille par jours. Mais y en a aucun qui vous pousse soudain à vouloir approfondir ça. Aucun qui vous fait vous sentir unique, le temps de quelques mots reçus. Aucun qui vous plonge dans l'inconnu le plus total, abandonné à vos idées, vos espoirs, vos suppositions. De quoi est-il sûr exactement, en se rendant dans ce vieux moulin où il n'y aurait plus personne à cette heure-là. C'est un endroit historique, assez touristique de l'île, mais généralement, dès la nuit tombée, les touristes décampent c'est bien connu. Qu'est-ce qui lui dit exactement qu'elle va venir ? Que cette Kendra est bel et bien une jeune étudiante comme le montre ses photos ? Son instinct, peut-être. Après-tout, il s'agit là peut-être d'une technique pour lui arracher des informations, pour le piller, ou n'importe quelle autre idée farfelue. Après-tout, il est le petit fils du directeur du campus... et croyez-moi, y en aurait, des choses à dérober. Mais non, il a confiance. En quoi, en qui, il l'ignore, mais il a le pressentiment qu'elle va venir, qu'elle va vraiment venir. Il n'a pas peur d'être déçu. Il a beau avoir cette réputation de mec coureur de jupons – ce qu'il n'est pourtant pas tant que ça – il se fie beaucoup à son impression première, et littéraire. Eh bien oui, la façon dont cette jeune femme écrit, ça aurait suffit à le pousser à la rencontrer. Il ne l'a jamais vue mais elle exerce déjà une certaine emprise sur lui, c'est drôle à dire. Tu accélères le pas et arrives enfin au moulin, apercevant une silhouette qui est déjà là. Vingt heures huit. Tu souris, et t'arrêtes, relevant vers elle tes yeux gris pour mieux la détailler. Elle est encore plus jolie que sur les photos, car là, en direct, son regard brille et pétille d'une malice taquine. Elle est habillée simplement, tout comme lui. Et honnêtement, il préfère ça à une fille qui serait venue en robe de soirée avec des talons. Je suis ponctuel pourtant, d'habitude. murmure-t-il comme une esquisse d'excuse, un sourire aux lèvres tandis qu'elle se met face à lui. Bon eh bien j'imagine que tu dois connaitre mon prénom mais au cas où Kendra. Elle lui fait la bise, et il lui rend également deux bises claquant sur ses joues. Il a un sourire amusé. Cette rencontre improbable lui plait déjà. Enchanté, Kendra. Charles-Théodore, mais on m'appelle Teddy, généralement. fait-il alors avec un hochement de tête, sortant son paquet de clopes en voyant qu'elle fume. Il s'en grille une, enfouissant ensuite sa main libre au fond de sa poche. Physiquement,je ne suis pas déçue. Un sourire taquin étire ses lèvres. En effet, elle continue sur sa lancée et ça n'est pas pour le déranger. Il ne se gêne alors pas pour la regarder de haut en bas, mais ses yeux reviennent vite se river dans les siens avec intensité. Hum... moi non plus, il faut dire que je suis même agréablement surpris. Les photos semblent fades, à côté. Il a toujours eu ces manières de parler avec politesse, avec respect, hum.. peut-être son tempérament d'écrivain. Eh oui, bien peu savent qu'il écrit, souvent, parfois des nuits entières, et pas pour les cours, pour lui même. Il tire sur sa clope et tourne la tête pour souffler la fumée de l'autre côté. Viens, je vais te faire visiter. Cet endroit est important pour moi. avoue-t-il en lui faisant signe de le suivre, ouvrant la vieille porte du moulin qui grince, dégageant le panneau « don't enter » placé devant. Il n'est pas un touriste, lui. Et cet endroit, c'est un peu comme un refuge. C'est là qu'il vient parfois chercher l'inspiration pour écrire. Alors oui, c'est important. Il lui fait signe d'entrer, ses yeux brillants se posant sur Kendra avec un sourire.
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MessageSujet: Re: ∞ we feel like strangers, strangers who had already spoken between them.(charles et kendra)   ∞ we feel like strangers, strangers who had already spoken between them.(charles et kendra) EmptyVen 15 Mar - 21:20

~ we feel like strangers, strangers who had already spoken between them.~
on rencontre des gens dans la rue,au travail,à l'école,dans des lieux publics mais moi j'ai voulu faire différemment les choses en me rendant sur internet.
Tu ne savais pas trop ça où te mènerait voire même si ça te mènerait à quelque chose.Tu étais le genre de personnes qui se posaient un tas de questions bien que la plupart ne pouvaient être résolues.La seule façon d'être sûre que cette personne,qui t'avait à la fois intriguée et plu soit réelle,c'était de t'y rendre.Tu en avais croisé des vertes et de pas pas mures sur Internet,tu avais parfois poser des lapins à des types que tu pensais mais tu t'étais vite rendue compte que ton instinct féminin n'était pas toujours bon à suivre alors tu renonçais.Oui,aujourd’hui,tu aurais pu mais tu n'en avais pas envie.Ce garçon t'intriguait et tu voulais en savoir plus.Ton naturel de femme curieuse revenait au galop. Tu appréhendais cette soirée mais tu avais hâte qu'elle arrive aussi.Tu t'occupais l'esprit à relire d'anciens articles de journaux populaires,lus par le monde entier,ce qui était important de faire quand on était dans des études de journaliste,relevant de la culture générale mais également une qualité d'écrivain.Entourée de ton manteau épais,tu tentais de te réchauffer en enfouissant ton visage dans la fourrure mais la seule chose que tu gagnais fut des poils de ta fourrure qui te chatouillèrent les narines et vinrent te déposer sur ta langue.Tu rouspétais tandis que tu retirais ces derniers de ta langue.Heureusement pour toi,tu terminais au moment où Teddy arriva.Tes yeux se posèrent sur lui tandis que tu ne pus te retenir de le charrier alors que tu ne l'avais jamais vu,non,tu lui avais juste parlé par message rien de plus.Vous aviez tout de suite accroché,c'était comme ça.Toi-même tu avais trouvé que les choses s'étaient passées plus ou moins rapidement mais ce n'était pas pour te déplaire.Ça fait pas toujours bonne impression pour une fille chez un mec si il arrive en retard. Tes yeux sont malicieux tandis que tu te rapproches de lui,pour lui dire bonjour et tu ne pus te retenir de le détailler du regard. Comme quoi,parfois ton instinct était bon à suivre,tu n'étais pas déçue.Tu aimais la manière dont il s'exprime,peu de garçons du vingt et unième siècle s'exprimait avec une telle éloquence,les autres bafouaient,utilisaient des termes familiers pour complimenter une fille dont la plupart raffolait.Toi,t'étais pas comme ça,comme si il fallait prendre des pincettes pour t'adresser la parole.Non,tu attendais juste qu'on te respecte en tant que personne.Tandis que tu l'écoutais se présenter,tu souris à l'entente de son prénom.D'accord.J'ai tendance à surnommer les gens,ça te gênerait pas si je venais à le faire avec toi ?Tu posais la question car tu savais que pas tout le monde appréciait porter un surnom.Paradoxalement,toi la première.Les Ken,Kendy et t'en passe,tu en avais parfois ta claque mais tu gardais le sourire tout de même. Tu ne pus te retenir de lui faire un compliment à ta façon et il te rendit la pareille.Agréablement ? Et bien je pensais pas autant faire bonne impression. Tu le suis,il compte te faire visiter le moulin.Tu ne t'étais jamais rendue,bien trop peur que cet endroit soit fréquenté par des barges,des pervers ,oui tu étais le genre de personne peureuse bien que tu étais toujours partante pour une randonnée à la forêt en pleine nuit.Je ne suis jamais allée ici.Avec ce qu'on entend aux actualités,j'aimerai pas croiser un barge ici.Tu avances et tu ne pus te retenir de jeter un regard derrière toi,rien que pour te rassurer. Pourquoi cet endroit ? Ça t'inspire pour tes articles ou je ne sais quoi? Tu lui posais mille t une questions et le pauvre,il en avait pas fini avec toi.Tu ne voyais rien,tu manquais de chuter une première fois,où tu te rattrapais de juste au mur et une deuxième fois où tu te rattrapas à lui.Désolé.C'est que j'y vois rien moi. Il allait découvrir la Kendra râleuse,tu ne pouvais en aucun cas lui cacher ce coté chez toi.Mais plus vous avanciez,plus la lumière fut. Tu inspectais les lieux et admis un sifflement.C'est chouette ici.Tu regardais autour de toi et posais ton regard sur lui,un sourire aux lèvres.Tu m'as fait découvert un endroit où peut-être j'oserai m'aventurer seule.A part toi,personne ne traine par ici hein ?Tu poses tes mains sur tes hanches,le rejoignant.Tu appréciais déjà cette rencontre complètement loufoque. Qui es-tu Teddy ? Tu le regardais avec ce sourire énigmatique,oui,tu avais envie d'en apprendre davantage sur lui.

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MessageSujet: Re: ∞ we feel like strangers, strangers who had already spoken between them.(charles et kendra)   ∞ we feel like strangers, strangers who had already spoken between them.(charles et kendra) EmptyVen 15 Mar - 22:09

et dans le ciel noir d'encre,
l'ange égoïste ouvrit les yeux.

Ton regard croise le sien. Son regard est rieur, espiègle et tu adores cette petite lueur de malice que tu vois chez certaines. Et là, surtout chez elle. Mon but n'est pas de te faire bonne impression. Ça ne sert à rien, si ça n'est pas vraiment moi, non ? lui demandes-tu avec un regard malicieux à ton tour. Tu lâches un petit rire à sa question. C'est bien la première fois qu'on te demande si on peut te surnommer. En fait, c'est presque touchant, comme attention. Comme si pour une fois, on se souciait de ce que toi, tu voulais ou non. Tu plonges dans son regard, avant de répondre naturellement : Non, tu peux. Alors qu'elle te répond après ton compliment, tu lui fais seulement un clin d'oeil sans rien répondre, laissant planer cette délicieuse ambiance de mystère. Tu lui fais alors signe de te suivre et elle a l'air partante puisqu'elle te suit. Dos à elle, marchant vers l'entrée du moulin, tu réponds d'un ton rpesque protecteur : Oh ne t'en fais pas. Si un barge se pointe ici, il ne te toucheras pas. Bah ouais, c'est un peu la moindre des choses, non ? T'as cette tendance à être légèrement trop protecteur voire possessif avec ceux que tu aimes bien. Ta jumelle en est victime, d'ailleurs. Puis oui, faut bien avouer que tu t'es déjà attachée à cette petite bouille blonde et son air polisson. Je te dirais après, viens. Enfin, peut-être. On verra si tu lui racontes pourquoi ça t'inspire. Elle se rattrape soudain à toi et comme honteux de marcher devant elle, tu l'attends et te mets à son côté. Là, tu lui prends la main, presque trop naturellement pour deux personnes qui ne se sont jamais vues en face. Pourtant, grâce à vos échanges, tu as déjà l'impression de la connaître parfaitement. Comme deux inconnus qui se connaissent déjà. Tu serres sa main, comme pour la rassurer, puis pénètres dans les entrailles du moulin. En son centre, des escaliers montent en tournoyant vers le sommet, et un léger courant d'air frais s'élève vers le haut. Tu lui souris, amusé par ses paroles. Non, j'crois qu'y en a qu'un pour traîner dans un endroit pareil si reculé. D'habitude, on t'imagine plus dans la salle commune des Zeus en train de bosser fièrement, ou dans la boîte la plus branchée de l'île, en train de choisir ta prochaine proie. Pas dans ce vieux moulin poussiéreux à quêter l'inspiration, n'est-ce pas ? Et pourtant.. Tu poses ton regard dans le sien à sa question et en guise de réponse, esquisse un sourire plein de malice. Quelque part, t'aimes ça, intriguer les gens. Mais là encore, c'est différent. Tu serres sa main et te contentes d'un : Viens. Tu l'attires derrière-toi, posant le pied sur la première marcher. Tu vas voir, d'en haut, c'est magnifique, on dirait la vue d'un phare. Et tu commences à monter, la tirant doucement derrière-toi, vers l'air frais, vers la lumière, vers le sommet. C'est seulement au bout d'une petite minute qu'enfin, tu poses le pied sur la plateforme du haut, avant de te tourner vers elle pour lui faire face, à quelques centimètres seulement. Tu cherches son regard dans la lumière tamisée. Je te laisse aller voir. Faut pas avoir le vertige par contre.. fais-tu avec un sourire amusé et presque tendre. T'es ému de lui montrer un de tes jardins secrets. Alors que tu la connais à peine.
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MessageSujet: Re: ∞ we feel like strangers, strangers who had already spoken between them.(charles et kendra)   ∞ we feel like strangers, strangers who had already spoken between them.(charles et kendra) EmptySam 16 Mar - 0:12

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Tu ne regrettais véritablement pas d'être venue ici.Toi qui avais pensé passer une soirée tranquille dans ton dortoir à lire des classiques,accompagnée de ta musique habituelle.Tu étais venue à l'aveugle à ce rendez-vous,tu étais venue sans savoir qui était ce jeune homme et au fond,c'était le coté inconnu qui t'avait surtout plu et charmé.Oui,tu aimais bien les histoires comme ça bien que Internet pouvait avoir son coté dangereux,tu n'étais pas non plus genre à t'inscrire sur sites de rencontres,oui,tu te trouvais encore jeune pour t'inscrire sur ce genre de sites. Accouchée contre ce moulin,tu profitais des dernières de ta cigarette.Une vrai drogue pour toi.Tu semblais ne pas être la seule à fumer cette merde,qui nuisait à tes poumons.L'homme que tu attendais en allumait une et tu posais ton regard vers lui,toujours ce petit sourire au coin des lèvres. Tu aimes bien son répondant,les garçons qui n'en ont pas te lassent vite.Tu aimes bien qu'on n'abonde pas toujours dans ton sens,qu'on te contredise.De ce point ci,ce n'est pas faux.Tu joins un geste de mot à tes paroles tandis que tu te redressais.Tu connais beaucoup de filles qui se seraient frustrées à ce genre de paroles mais toi tu étais du genre à le prendre avec un sourire aux lèvres. Puis pour une fois que ce soit pas moi qui suis en retard.Tu le regardes,de cet air enfantin qui te caractérise si bien. Tu regardais les alentours.Probablement fréquenté la journée,cet endroit te foutait la trousse le soir.Non,tu ne te promènerais pas toute seule ici un soir à moins que tu n'aies vraiment rien à faire,à la quête de la peur. Tu ne pus te retenir de lui demander si le moulin était fréquenté par des fous.Oui,avec les horreurs que tu entendais aux informations,tu évitais les endroits jugés "dangereux". Sa réponse te fit sourire tandis que tu lui fis un coup d'épaule.Tu avais pas l'impression d'avoir face à toi un inconnu.Non,on aurait dit deux bons vieux amis plaisantant,comme si de rien n'était. Merci.Monsieur est protecteur donc. Tu souris,tentant de réunir le plus d'informations sur lui possible.Tu avances,plantant tes mains dans ton manteau.Le temps commençait à se refroidir,heureusement que vous rentriez dans ce fameux moulin.Tu n'étais pas une fan des visites historiques.Les musées ou expositions d'art ne sont pas ta tassé de thé.Tu t'endors généralement et finis donc sur un des sièges,la tête rivée vers le sol au plus grand regret de tes parents,qui t'ont tenté de t'inculquer un amour pour les arts.Tu le suis alors qu'il te dit le suivre.Maladroite,tu chutais à maintes reprises et du te rattraper à lui sinon tu aurais terminé à même le sol et tu n'avais pas non plus envie de passer pour une idiote. Il t'attend et tu lui souriais en guise d'excuse.Contre toute attente,il te prit la main,comme si vous étiez des amis alors que cela faisait à peine une dizaine de minutes que vous veniez de vous rencontrer.Tu ne rechignais pas,non et attrapais sa main.Tant mieux pour toi,au moins tu es tranquille.Peut-être que je me joindrais à toi dorénavant ? Tu esquissais un sourire malicieux même si tu n'étais pas sûre qu'il le voit.Oui,ce serait peut-être un moyen pour mieux vous connaitre mais si tu venais ici,ce serait occasionnellement.Il te serre ta main,probablement pour te rassurer,ce qui marchait.Tu oubliais presque le fait d'être dans le noir et tu te laissais guider,lui accordant totalement ta confiance.Ne nous fais pas tomber sinon je te préviens,je te tombe dessus Ce n'était probablement pas avec ton poids plume que tu allais l'écraser soit.Le suivant jusqu'à un escalier,de ta main libre tu palpais le mur bien que tes mains,à son contact furent égratignées.Tu émis un gémissement de douleur et agitais bêtement ta main pour estomper la douleur. Après avoir grimpé cette escalier, Charles se tourne vers toi . Tu l'écoutes tandis que tu te penches vers lui pour tenter d'apercevoir le paysage.Oui,il allait falloir que tu surpasses ta peur du vertige. D'accord mais c'est pour toi que j'y vais hein. Ton regard est insistant et tu commences a t'approcher doucement du lieu. T'arrêtant a mi chemin vers le bord,tu te tournes vers lui et lui dis d'une voix crispéeVoilà. C'est super beau. Tes mains sur tes hanches,tu constates que tu ne vois rien et haussant les épaules,tu ajoutais d'une voix plus poséeD'accord.. Je fais un dernier effort. T'es malade,comment tu peux aimer ce genre d'endroits ? Tu fermes les yeux,les mains dans tes poches et finalement tu découvres un endroit magnifique. Te penchant un peu trop,tu fis tomber des pierres. Tu reculais à grands pas et heurtais le jeune homme de plein fouet. Désolé. C'est le vertige qui me rend aussi maladroite.Il fallait que tu reprennes tes esprits. En vérité,tu l'étais tous les jours mais qu'importe. Tu te tournes vers l'endroit et hausses les épaules,un sourire malicieux. Tu prends sa main,avance et t'arrête non loin du bord.Pourquoi m'avoir amené ici ? Tu te méfiais du bord et tu te cramponnais presque au bras de Charles bien que tu savais que tu ne risquerais rien mais vos peurs vous faisaient faire les trucs les plus débiles.


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MessageSujet: Re: ∞ we feel like strangers, strangers who had already spoken between them.(charles et kendra)   ∞ we feel like strangers, strangers who had already spoken between them.(charles et kendra) EmptySam 16 Mar - 8:25

on raconte que les anges ont le vertige.
L'inconnu. Certainement un des sujets les plus passionnants qui soient pour toi. L'inconnu. Cette douce euphorie ressentie quand l'adrénaline coule dans tes veines. Un délice et au fil des ans, un besoin. Tu ne peux pas regretter d'être venu, de lui avoir donné ce rendez-vous. Tu pourrais, mais non. Loin de là. Du moins pour l'instant, ça n'est pas le cas et tu espères bien que ça ne le devienne pas. Tu finis ta clope et la jettes au sol en prenant bien garde à l'écraser, avant de l'entraîner à l'intérieur d'un mouvement de tête. Protecteur. Oui, tu l'es. Beaucoup trop sans doute. Parfois même avec des gens que tu connais à peine ; elle en est la plus belle preuve. Monsieur est encore plein d'autres choses. murmures-tu avec un certain mystère volontaire dans la voix. Sa main dans la sienne, c'est là qu'elle te fait la demande de se joindre à toi dorénavant. Tu fais mine d'hésiter, planté au milieu de ta montée dans les escaliers, te tournant vers elle même si avec la faible luminosité, elle ne verra pas grand chose des expressions de ton visage. Hum.. toi et seulement toi, alors. Interdiction de parler de ce lieu à quelqu'un d'autre, c'est un secret. Tu l'as chuchoté, sur le ton de la confidence. Quelque part, ça t'amuse d'avoir emmené ici quelqu'un. Surtout quand c'est quelqu'un que tu ne connais pratiquement pas. Et que tu brûles de découvrir et de connaître par coeur. Tu te mets à rire, repartant dans la montée. Oulala, si tu me donnes dessus, j'risque d'être étouffé. ∞ we feel like strangers, strangers who had already spoken between them.(charles et kendra) 1748208979 fais-tu d'un air ironique, la tirant doucement derrière-toi. Arrivé en haut, tu lui proposes donc de regarder la vue, mais elle semble réticente. Patient et sans dire un mot, les bras croisés en la fixant, tu la regardes finalement se pencher. Tu t'es approché mais ne t'attends pas à ce qu'elle recule si soudainement, se cognant contre toi. Surpris, tu ne chancèles pourtant pas, l'entourant de ses mains pour la stabiliser. C'est rien. Et finalement, c'est elle qui attrape de nouveau ta main, t'emmenant au bord. Tu la suis, la tenant fermement comme pour la rassurer qu'elle ne peut pas tomber. Tu observes cette vue maintes et maintes fois et elle te pose soudain LA question. Une question à laquelle tu n'as pas vraiment de réponses en fait. Une question qui reste un beau mystère non-résolu pour toi aussi. Alors, tu choisis une autre alternative : une question pour une question. Pourquoi, ça ne te plait pas ? demandes-tu le regard légèrement brillant. Reculant du bord sans avoir lâchée sa main, tu l'attires vers le fond. Une sorte d'ouverture – peut-être une ancienne fenêtre – produit une lumière tamisée, ce qui fait que tu distingues mieux les choses. Tu lâches sa main et t'agenouilles alors face à un petit coffre que tu révèles à la lumière, le sortant de l'ombre. Tu tousses légèrement ; tout est poussiéreux ici. Tu l'ouvres alors, car il n'est fermé par aucune réelle protection. Les touristes s'en tiennent au panneau « don't enter » et les autres ne montent jamais jusqu'en haut. Pourtant, n'importe quel inconnu pourrait le faire, et mettre donc la main sur tout ça. Tu dégages quelques feuilles volantes, écartes quelques crayons aux mines usées, les mettant sur le côté. Puis, tu en tires alors une bouteille – du rhum parfumé à la vanille – et même un long paquet de cigares. Quand j'étais gosse, j'pensais que les cigares étaient une multitude de cigarettes collés bout à bout. fais-tu avec un léger rire auto-dérisoire. Tu t'assois alors dos au mur, croisant les jambes en tailleur comme un gosse. D'ailleurs, quand tu relèves la tête vers elle, une expression mutine et enfantine s'est placée sur ton minois. Un gosse, c'est bien ça, Teddy. Tu en as déjà fumé un ? demandes-tu alors, souriant. Toi, t'en fumes vraiment pas souvent. C'est spécial. Mais de temps en temps... tu aimes bien. Ça change. Et puis avec quelques gouttes d'une bonne bouteille, ça ne peut qu'être bénéfique, non ? Bien qu'au fond, l'inspiration ne vienne pas avec ce cocktail-là. L'inspiration, ça va, ça vient, c'est surtout incertain.
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MessageSujet: Re: ∞ we feel like strangers, strangers who had already spoken between them.(charles et kendra)   ∞ we feel like strangers, strangers who had already spoken between them.(charles et kendra) EmptySam 16 Mar - 23:34

~ we feel like strangers, strangers who had already spoken between them.~
on rencontre des gens dans la rue,au travail,à l'école,dans des lieux publics mais moi j'ai voulu faire différemment les choses en me rendant sur internet.
Tu avais déjà envie de le connaitre par cœur,du moins en savoir davantage sur lui. Impatiente,tu allais devoir prendre ton mal en patience mais tu savais que tu ne risquais pas d'être déçue.Il te ressemblait sur de multiples points et ça ne pouvait que te plaire.Plus on te ressemblait,plus ça te plaisait.Jeune femme au caractère trempé,tu aimais bien avoir en face de toi quelqu'un qui ne se laisse pas démonter par ton assurance et ton franc parler.Ce n'était pas le cas chez Charles,tant mieux sinon tu te serais probablement ennuyée comme la plupart des rencarts que tu avais eu ces six derniers mois.J'ai hâte de connaitre davantage monsieur. Tu ajoutes un clin d’œil tandis qu'il te prenait la main pour te guider dans l'obscurité de ce moulin.Tu avais beau habiter ici depuis plus d'un an pratiquement,tu ne t'étais jamais rendue.Tu avais déjà entendu parler vaguement de ce moulin mais il ne t'était jamais venu l'idée de t'y rendre car ce genre de battisses ne t'intéressaient pas,tu n'étais pas trop le genre de lieux fréquentés par les touristes.Pas que tu n'aimais pas la foule,c'est juste que voir les touristes s'exciter devant toutes sortes de monuments te donnaient le tournis. Ou,tu n'étais pas singulière comme fille. Tout compte fait,tu allais peut-être revenir ici.L'endroit commençait à te plaire,tu le voyais plus qu'un endroit attirant les touristes de Jersey mais tu ne viendrais probablement pas en journée,pour éviter de les croiser.Tandis qu'il te confiait que cet endroit devait rester un secret,tu hochais la tête,posant ta main libre sur tes lèvres,émettant un "chut" avant de lâcher un rire,reprenant ton sérieux.Promis,j'en parlerai à personne,tu as ma parole. Tu lui étais reconnaissante,oui,il t'amenait à un endroit qu'il ne devait pas montrer à tout le monde.Paradoxalement,c'était votre premier rendez-vous et avant de dévoiler des endroits aussi importants pour soi,il était nécessaire d'apprendre à mieux connaitre la personne.Mais c'était surement pour ça qu'il t'avait emmené ici,pour te faire apprendre des choses sur lui tout en apprenant des choses sur toi.Toujours à te poser un tas de questions,tout ça te tournait presque autant la tête que cet escalier.Cet escalier que tu changeais dangereux que tu manquais de t'écraser la tête première dès la première marche.Oui,tu faisais parti des maladroits.Tu lui fis remarquer que si tu tombais,tu l'entrainerais dans ta chute et son ton ironique te fit rire alors que tu lui lançais un coup d'épaule.Je ne te permets pas.Je suis imposante tu sais. Oui,c'est sur qu'avec tes cinquante kilos à tout péter,tu allais lui casser une côte mais tu aimais te sentir puissante,capable de mettre à terre les plus forts que toi,c'est-à-dire pratiquement tous les gens que tu fréquentais.Soit,tu n'en démordais pas.Arrivé à l'endroit tant attendu,il te parle de vertige.Le mot à ne pas prononcer.Tu as constamment peur de te retrouver confronter à ta peur.C'est pire que de voir une araignée sur les murs.Tu t'arrêtes en mi-chemin,prête à ne pas relever le défi mais il semble patient.Tu soupires,fermant les yeux et arrivée près du bord tu les ouvres.Émerveillée,tu fais part de ta surprise mais fut effrayé lorsque tu fis tomber quelques pierres. Il te rassure alors que tu reculais à grands pas.Tu tentes de retrouver ton calme et tu admets d'une voix fière.Qu'est-ce que je fais pas pour toi hein! C'est un effort incroyable pour moi. Tu admets que ce n'était pas grand-chose mais quand votre peur était le vide,c'était un effort surhumain. Lui posant la question du pourquoi de cet endroit,il te répond par une question.Un sourire aux lèvres,tu te tournes vers le bord et serrant sa main un peu plus fort,tu hoches la tête vivement.Si j'adore.Je le vois autrement que l'attire touristes.Merci de me faire découvrir ton jardin secret. Ton ton est sincère et ton regard pétille.T'attirant plus loin,il te lâche la main.Le regardant ouvrir un coffre,les mains sur les hanches,tu ne pus te retenir de faire mine de le réprimander bien que tu n'étais probablement pas la bonne personne à donner la morale.Dis donc monsieur,c'est écrit qu'on a pas le droit d'y toucher. Curieuse,tu te penches vers ce coffre te demandant ce que pouvait-il bien contenir. Tu ne perdais pas d'une miette le moindre geste de Charles. Tu écoutais ce qu'il te contait et tu ne pus rire à son anecdote de quand il était petit.On s'imagine un tas de trucs quand on est petit. Quand j'étais petite,j'imaginais que le marchand de sable existait vraiment.Pour ne pas éveiller de soupçon,mes parents me mettaient du sable sur le visage. Tu eus un rire tandis que tu t'adossais à un mur et le regardais. Tu n'étais pas du genre à te remémorer ton passé,cela viendrait à parler de Ben et tu ne voulais pas parler de lu.A personne.Rejoignant Charles qui était agenouillé,tu regardais le cigare que tu pris dans tes mains et inspectais sous tous les angles.Non,tu me fais essayer. Tu sors ton briquet et le mis dans ta bouche.Pas habituée à ce genre de bouffées,tu crus que tu allais cracher tes poumons.Rigolant,tentant de trouver de l'air,de retrouver ta respiration tu te tournais vers lui.Tu veux me tuer c'est ça ? Tu rigoles tandis que tu te redresses.Je préfère nettement la nicotine. Oui,c'était beaucoup trop fort pour toi.Peut-être après c'était une habitude à avoir mais tu n'étais pas fan de ce genre de trucs,non. Regardant la bouteille de rhum,tu pris un air faussement sévère alors que tu rendis le cigare au jeune homme.C'est comme ça que tu trouves l’inspiration vilain garçon ? Toi aussi tu avais de drôles manières pour trouver l'inspiration dans tes articles de journaux mais tu n'allais pas lui dire.Il se moquerait probablement.Tu sais que ton truc a failli me tuer.Je dois t'avouer un truc. Tu avais envie de jouer les mélodrames mais voyant son regard insistant,tu ajoutais d'un haussement d'épaules.J'ai un souffle au cœur. Pourquoi tu lui disais ça à lui ? T'espérais juste qu'il n'ait pas pitié de toi et qu'il tente de te dissuader d'arrêter de fumer,de toute manière tu ne l'écouteras pas.Tu n'écoutais personne.


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Charles-T. Callaghan
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MessageSujet: Re: ∞ we feel like strangers, strangers who had already spoken between them.(charles et kendra)   ∞ we feel like strangers, strangers who had already spoken between them.(charles et kendra) EmptyDim 17 Mar - 21:45

strangers in a strange land.
Elle a hâte de le connaître. vraiment ? Charles ne peut pas réprimer un sourire. D'habitude, les gens n'ont pas « hâte de le connaître ». D'habitude, ils se disent qu'ils le connaissent déjà. À travers sa réputation, à travers des « petit-fils du dirlo » ou encore « on dirait le leader des Zeus ». C'est tout. Alors oui, au fond, ça le touche qu'on veuille « le » connaître. Elle lui promet alors qu'elle n'en parlera à personne et il rit doucement, léger. J'espère bien. Sinon, cet endroit perdra toute sa magie. Il continue de grimper ces escaliers qui semblent interminables. Imposante ! La bonne blague ! Il fait mine de la jauger, la détaillant des pieds à la tête avec exagération, malgré la lumière sombre, avant de lancer d'un ton railleur : Oh oui, je t'estime au moins à... cent dix-huit kilos, j'y suis presque ? ∞ we feel like strangers, strangers who had already spoken between them.(charles et kendra) 1748208979 Bien sûr, il plaisante. Elle est fine comme une brindille la fille. Une fois en haut, elle accepte alors d'observer la vue mais se retrouve vite contre lui, comme elle a bondi en arrière. Il se décale légèrement, avec un sourire amusé. Il ne répond rien, seulement ravi de la tournure de la situation. L'ambiance est sympa et détendue. Il remarque son regard pétillant quand elle le remercie. Je t'en prie, c'est un plaisir. répond-il d'un ton tout aussi sincère. Parce que oui, c'est avec plaisir réellement. Quand elle raconte son anecdote, il se met à rire, passant une main dans ses cheveux bruns et toujours affairé avec le coffre, il ne lève pas les yeux mais répond : C'est chouette, quand on est gosse. On peut s'imaginer tout ce qu'on veut sans qu'on vienne briser nos rêves. Aujourd'hui, si on explique à voix haute ce qu'on s'imagine, y aura toujours un p'tit con pour venir nous briser nos utopies. Il sourit tout seul, sortant alors tout ça du coffre secret. Elle vient alors près de lui et il hoche la tête, lui tendant le cigare avec un sourire amusé en l'observant faire. Il lâche un petit rire presque enfantin en la voyant tousser comme une grosse fumeuse, et récupère le cigare avec un large sourire. C'est sûr que c'est plus fort qu'une simple cigarette. Il tire une fois dessus, l'inspirant à fond avant de lâcher un fin sourire. On trouve l'inspiration comme on peut, hein ? Mais parfois, ce sont de muses dont j'ai besoin. avoue-t-il en cherchant son regard. Intrigué par ce qu'elle s'apprête à lui révéler, il attend, impatient. Son air lui dit que c'est quelque chose de pas sympathique du tout sur elle... Il ouvre alors de grands yeux et détourne le regard, pensif. Hum... j'ai pas grandes connaissances en médecine mais logiquement, un cigare ne devrait pas te tuer. Puis sinon, je te ferais du bouche à bouche. fait-il d'un ton plus détendu et taquin, haussant les épaules l'air désinvolte comme s'il venait de lui parler de la météo. Puis, il reprend son sérieux, posant ses yeux de nouveau sur elle en tirant une nouvelle fois sur le cigare. Tu en as un depuis petite ou c'est récent ? Bah oui, s'il veut apprendre à la connaître, autant commencer par ce qu'elle lui parle directement, non ? Il pousse la bouteille au milieu. Si t'en veux... te gêne pas, elle est là pour ça.
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MessageSujet: Re: ∞ we feel like strangers, strangers who had already spoken between them.(charles et kendra)   ∞ we feel like strangers, strangers who had already spoken between them.(charles et kendra) EmptyMer 20 Mar - 20:23

~ we feel like strangers, strangers who had already spoken between them.~
on rencontre des gens dans la rue,au travail,à l'école,dans des lieux publics mais moi j'ai voulu faire différemment les choses en me rendant sur internet.

Il ne perdra pas sa magie. Oui, tu n'allais pas faire part de cette découverte aux premiers venus. Surtout que quand tu faisais une promesse, tu étais le genre de personnes à les garder. Tu n'étais pas du genre à décevoir quand on t'accordait sa confiance pour toi.On pouvait te compter un certain nombre de défauts mais en aucun la loyauté en faisait parti. Tandis que vous commencez à rejoindre le haut de ce moulin, tu semblais déjà être épuisée. La cigarette ? Peut-être. Ton souffle au cœur te fatiguait davantage et bien que tu étais une fille sportive, tu payais les conséquences après mais il était hors de question pour toi d'arrêter de vivre à cause de ce truc. Tu vivais comme toute jeune femme de ton âge, sans trop se poser des questions sur ce qui était bien et pas bien pour ta santé. Tu t'en fichais complètement et puis personne, du moins presque, n'était au courant pour ton souffle alors au moins, tu n'avais de remarques du genre : c'est pas bon pour ta santé ça, sinon tu étriperais sur le champ la personne. Ces escaliers te fatiguaient mais tu arrivais à masquer ta respiration, avec l'habitude. Clamant être imposante, Charles semblait ne pas être convaincu en t'estimant à cent huit kilos. Riant légèrement, tu haussais les épaules. Et j'ai dit imposante, pas énorme non plus! Tu le frappais légèrement à l'épaule, tout en riant. C'était ton truc ça. Fallait toujours que tu frappes quelqu'un quand il te charriait. C'était probablement la faute de tes frères qui t'avaient toujours légèrement frappé quand ils t'embêtaient et depuis, tu avais repris cette fâcheuse manie. Oui, personne n'y échappait à tes coups d'épaule, coups de coude mais ça ne faisait pas non plus de toi une fille bagarreuse quoi qu'il t'était déjà arrivé d'avoir la main leste quand des garçons t'embêtaient après que tu les eusses gentiment recalé et qu'ils revinrent à la charge. Tu découvres l'endroit, tentant de ne rater aucun détail, quel qu’il soit. Tu regardes la végétation, si tu avais eu une quelconque passion pour la photographie quand bien même un appareil photo, tu aurais pris un cliché mais tu étais nulle dans ce domaine. Tu jetais un regard une dernière, te disant que d'avoir surpassé une des tes peurs, avait été bien, mais que surtout en valait largement la peine. Tu avais déjà sous-estimé ce genre de lieux mais qui sait, peut-être avec cette découverte, tu partirais à la découverte d'autres vues imprenables de ce genres. Tu lui rendis son sourire tandis qu'il t'amena vers le fond. Tout en croisant tes jambes, tu l'écoutes et approuve ses paroles d'un hochement de tête avant de le rejoindre finalement. Y aura toujours des cons. Ils sont nés cons. Tu les reconnais dans la cour de récréation, c'est ceux qui s'empressent de dire à tout le monde que le père Noël n'existe pas. Tu hausses les épaules tandis qu'un sourire naquit sur tes lèvres. C'était du vécu ça, c'était tous les mêmes dans les écoles. Peut-être que ton avis n'était qu'un vulgaire stéréotype mais un stéréotype qui s'avérait n'être pas aussi éloigné de la vérité. Tandis que tes mains rejoignirent les poches de ton manteau, tu ne ratais aucun geste de la part de Charles, intriguée. Tu te penchais vers lui et fus étonnée lorsqu'il te présenta un cigare. Réticente à l'idée d'essayer ce machin, tu finis par en tirer quelques bouffées dessus et tu ne manquas pas de d'étouffer, sous le rire enfantin du jeune. Entre deux quintes de tout, tu réussis à lui dire : Je suis en train d'agoniser et tu rigoles ? Tentant de retrouver une respiration régulière, tu jetais ta tête en arrière, la seule façon que tu avais trouvé pour remédier à ton problème. Lorsqu'il prit la parole, tu ouvris de grands yeux avant de rire. Non, tu n'avais pas perdu ton sens de l'humour avec tes poumons. Ah ça c'est sur! AU moins, tu étais sûre que tu n'allais pas recommencer le cigare. Le goût encore dans la bouche, tu en déglutis. Haussant les épaules, tout en tripatouillant tes mains dans ton manteau, tu finis par lui dire: Non, ça va. C'est pas comme si j'en fumais tous les jours. C'est juste que porter ce truc désignant ton cœur, un léger sourire aux lèvres c'est chiant. Faut que je fasse attention à ci à ça. Tu grimaçais légèrement avant de sourire à sa dernière phrase tout en posant tes mains sur tes hanches. J'espère bien que tu me laisserais pas mourir sans rien faire. Sinon je te hanterais toutes les nuits pour ne pas avoir tenté de me sauver. Tandis que tu croisais tes jambes, sa question te fit sourire. Toi-même tu ne savais pas depuis quand tu avais précisément ce truc. Assez longtemps en tout les cas, pour t'agacer. Puis tu n'avais pas envie de lui dire comment tu avais été amené à le savoir, sinon il allait falloir que tu parles de Ben et ça, c'était un sujet douloureux. Euh je l'ai su à huit ans. Tu lui souris tandis que tu regardais la bouteille qu'il t'avançait. Tout en lui retirant son bouchon et l'approchant de ton visage, tu lançais d'un ton ironique. Maintenant la bouteille d'alcool? Je vais mal finir la soirée, tu vas devoir me porter sur ton dos. Tu glissais un clin d’œil avant d'en prendre une bonne gorgée. Ce que tu aimais cette brûlure que causait l'alcool dans tout ton corps. Reprenant une seconde gorgée, tu posais la bouteille et humectais tes lèvres d'un geste rapide. Des muses ? C'est-à-dire? Oui, tu savais ce que ça signifiait mais tu voulais savoir en quoi il en avait besoin. Toi, tu n'avais jamais eu vraiment besoin de quelqu'un pour t'inspirer un article. Tu écris quoi d'ailleurs ? Demandes-tu, posant un regard sur lui. Oui, toi aussi tu voulais le connaitre davantage.


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MessageSujet: Re: ∞ we feel like strangers, strangers who had already spoken between them.(charles et kendra)   ∞ we feel like strangers, strangers who had already spoken between them.(charles et kendra) EmptyDim 24 Mar - 0:14

stranger in a strange land.
Il est heureux d'apprendre que tout ça restera secret. En plus, ça rajoute un peu au mystère qu'ils entretiennent. Ils partagent maintenant un secret. Un détail, un lieu, quelque chose... qui leur appartient, à eux deux, puisque Teddy n'a montré cet endroit à personne, ni à Candace, ni à Sahara, ni même à sa jumelle, personne. Elle le frappe un peu en répliquant et il ne peut s'empêcher de rire doucement. Bon, bon, d'accord, imposante alors. fait-il d'un air taquin. Il aime bien l'ambiance bon enfant qu'il plane entre les deux. Ça le détend. Il l'écoute et ne peut s'empêcher d'être d'accord avec sa réflexion sur les cons de la cours de récréation. Il ne se souvient plus vraiment comment il avait apprit ça mais.. ça ne fait aucun doute qu'il y a des cons partout. Ah ça.. des briseurs de magie, y en a partout et y en aura toujours... Ben ouais. Que vous soyez enfant, ado ou adulte, y aura toujours quelqu'un pour vous rappeler à l'ordre, pour vous dire que tout ça n'existe pas, que vous vivez dans un autre monde, que tout ça est faux ; peu importe le sujet, ça arrive tous les jours. Il la regarde en riant – encore – et secoue la tête. Mais non voyons, si t'étais vraiment en train d'agoniser, j'te promets que je rirais pas comme un débile comme ça. Ouais, il vient de se traiter de débile là devant elle, des fois il se mettrait bien intérieurement du scotch sur la bouche pour s'empêcher de dire des conneries quoi. Il fait ensuite mine d'être effrayé, se cachant les yeux en voilant un sourire. Oh non, je ne veux pas être hanté toute ma vie par ton fantôme.. j'te préfère en vrai quoi ! fait-il en arrêtant de faire le gamin. Elle va vraiment le prendre pour un gosse de douze ans quoi. Elle lui avoue qu'elle l'a su à huit ans et il hoche doucement la tête, ne revenant pas dessus, estimant après-tout que ça n'est pas le sujet idéal pour cette soirée. Mais il note le détail. Peut-être un jour y reviendra-t-il pour en apprendre plus. Je te porterai, promis.. enfin, si je suis toujours apte à marcher moi aussi, sinon il faudra coucher ici sur le plancher dur et froid. fait-il dans un haussement d'épaule. Il l'a déjà fait, de toute façon. Charles n'est pas le genre de type à se mettre minable avec l'alcool, loin de là. Mais il lui est déjà arrivé deux ou trois fois ici de s'emporter un peu sur la bouteille. Surtout que le rhum, dieu que ça monte vite à la tête. Une fois qu'elle a posé la bouteille, il la prend à son tour avant d'avaler deux bonnes rasades de ce liquide aphrodisiaque. Elle l'interroge alors sur les muses, et il voile un nouveau sourire. Il faut dire que ça non plus, il n'en parle quasiment jamais. Eh bien, je ne sais pas, parfois.. avoir une présence à côté de moi, même endormie, ça me donne une inspiration très forte, très puissante. Je ne saurais expliquer pourquoi, mais il me semble que le terme de "muse" est le plus approprié. explique-t-il doucement, avant de tourner la tête vers elle. Il croise son regard et plonge dedans, toujours avec son sourire chaleureux sur les lèvres. Il passe une main dans ses cheveux bruns pour les ébouriffer et sans la lâcher des yeux, répond alors doucement : De tout. Je n'écris des articles que pour la fac, généralement. En dehors, ça peut passer de la fiction à la poésie. Parfois des lignes qui se suivent sans aucune raison, j'sais pas, j'ai toujours eu ce besoin... de coucher sur papier toutes mes idées, mes émotions. De refaire le monde de la pointe de ma plume. explique-t-il, tâchant d'être un minimum compréhensible même s'il en doute. Son âme littéraire et enflammée de révolutionnaire se perçoit facilement quand il parle, car il a toujours une délicatesse et des images très descriptives. On pourrait croire qu'à coucher tout ça ainsi sur des feuilles, à les noircir parfois pendant des nuits en observant une fille dormir dans son lit sans lui, on y trouverait l'équivalent d'un journal intime, mais pas du tout. Ou alors, peut-être faudrait-il avoir étudié la philosophie spécialement dédiée à un Callaghan pour comprendre ce qui se cache derrière toutes ses phrases.
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