The consequence of two wonderful weeks ...

Je suis rentrée dimanche soir de deux merveilleuse semaines en compagnie de Sasha, ses deux semaines sont passés tellement vite que j'aurais aimé en avoir une troisième... Mais non, dès Lundi matin, j'ai repris mon train, train quotidien, mon petit footing de trente minutes le matin avant de partir pour le boulot... Mais ce matin en me réveillant, j'ai fait une constatation qui m'a légèrement horrifié, vu que je n'ai jamais eu de retard, mais pour confirmer mes soupçons, j'ai fais une prise de sang, et j'ai eu les résultats avant d'envoyé le sms à Sasha. J'ai demandé à mon superviseur si je pouvais prendre le reste de ma journée, ce qu'il ne m'a pas refusé et je suis rentrée chez moi. Une fois à la maison j'ai retiré ma veste et mes basket afin d'être en débardeur, slim et chausette. J'ai pris dans mon sac les résultats de mes analyses de sang et j'ai posé le papier sur la table du salon devant le canapé et j'ai été me servir un verre de jus de pomme que je bus cul sec avant de m'en resservir un autre... Je pris la brique de jus de pomme et l'emmena dans le salon et la posa à côté du papier. Je finis par attendre l'arrivée de Sasha.

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La tête posée contre la paroi de la douche, je laissais couler l'eau chaud sur ma peau. Je restais dans cette position durant cinq bonnes minutes, le temps que je pense à autre chose qu'au message envoyé cinq minutes plutôt, par Anastasia même. Elle semblait paniqué, stressé et voulait me voir pour m'annoncer un grave truc. Me questionnant du coup, sous cette douche. Je terminais alors celle-ci, avant de me mettre une serviette autour de ma taille. Je pris donc le temps de m'habiller d'un jean foncé et d'un haut clair, vite, avant d'aller dans la villa voisine d'Anastasia. Toute sortes de choses trottait dans ma tête et ça me tracassait de ne rien savoir, en quelque sortes. Une fois sortie de mon domicile, fermant porte à clef, je m'empressais pour frapper chez ma chérie. Je frappais à plusieurs reprises d'ailleurs.

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En voyant ce matin que j'avais du retard, j'ai paniqué et comme je bossais aujourd'hui j'ai décidé de me faire une prise de sang et ainsi j'avais les résultats dans la journée, gros avantage de travailler dans un hosto... Mais en voyant les résultats je n'ai eu qu'une envie rentré et mon patron l'a vu si bien qu'il m'a donné le reste de ma journée, sur la route alors que je conduisais j'ai envoyé des sms à Sasha pour lui dire que j'avais un truc important à lui dire. Une fois rentré,, je me suis enfilé deux verre de jus de pomme d'affilé avant de finir sur le canapé du salon, la feuille de ma prise de sang sur la table. Alors que j'étais entrain de peser le pour et le contre pour cet enfant, j'entendis frapper à ma porte, n'ayant pas la force de me lever je cria légèrement. « C'est ouvert ! » Je savais que c'était Sasha, aucune raison de paniquer de voir un inconnu débarqué chez moi.

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Ce message me trottait toujours dans ma tête et ne sachant pas de quoi il s'agissait, ça m’angoissait. Toute sortes de choses en quelque sortes et me mordillait les lèvres étant gêné. Bref, finalement, je me dépêchais de tout finir pour aller chez mon amie, celle pour qui j'avais un faible. Je m'empressais de frapper chez elle, une fois juste devant. Au bout de plusieurs minutes, je l'entendis crier et me dire d'entrer ensuite. J'entrais donc sur le champs pour aller m'installer auprès d'elle. Une fois installé, je la regardais dans les yeux inquiet et je dis : « Alors qu'est-ce qu'il se passe ma chérie ? Tu avais l'air vraiment sérieuse, stressée et encore autre encore. Alors, maintenant que je suis là tu peux me dire ceux qui te préoccupe ? » dis-je, en prenant doucement sa main contre la mienne. Je m'attendais à tout sauf à ceux qu'elle allait me dire.

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Ce message me trottait toujours dans ma tête et ne sachant pas de quoi il s'agissait, ça m’angoissait toujours autant. Je m'empressais de frapper puis, entrer par la suite dans son chez elle. Je ne savais pas trop quoi lui dire pour l'instant, mais, je me devais juste l'écouter jusqu'au bout. Je me mordillais les lèvres sans trop savoir ce qu'il se passe. Finalement, quelque minutes après, je pris le document qu'elle me tendis et fut estomaqué. et je dis : « Non, ça ne peut pas être vrai ma puce ? ... Tu n'es pas enceinte ? .. » dis-je, sous le choc du document justement. Je me demandais moi-même comment faire par la suite. Sachant que nous n'étions pas encore ensemble et surtout, que je voyais des amies proches de moi etc .. J'étais entièrement sous le choc de la nouvelle, ne sachant pas quoi lui dire.

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Je savais que l'idée de mon message était débile, que j'aurais du me pointer chez lui et lui annoncer de but en blanc que je suis enceinte, mais non j'ai préféré le faire venir à moi. Seul soucis c'est que je n'arrivais pas à prononcé le mot enceinte, alors j'ai tendu mes résultats d'analyses de lances qui parlerait pour moi et la réaction n'a pas tardé. « Si seulement, mais non c'est bel et bien vrai. » Je n'osais même plus l'observais, l'envie de me blottir contre lui se fais terriblement sentir, mais je ne bougeais pas d'un pouce. « Je penses que je vais avorté. »

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Déjà que je n'étais pas à l'aise vis à vis de l'annonce du message, qu'elle devait me dire, mais ensuite ça me stressais totalement. Je n'avais pu communiquer d'avantage avec elle, par message vu que je comptais la voir de mes propres yeux. Puis, c'était mieux d'en parler face à face, de ce genre de soucies. Je la regardais du coin de l'oeil en lui posant toute les questions que j'avais depuis, le sms. Finalement, en lisant ce document je compris vite le soucis et en effet, je tombais des nus. Je me mordillais les lèvres et, je dis : « En effet, je ne sais même plus quoi dire là. Tu me prends par surprise. » dis-je, sous le choc du document justement. Mais, devant moi, j'aperçus une brique de jus de pomme et je m'en servis un verre. Il fallait que j'avale quelque chose sinon, j'allais tomber à terre. Une fois servis, je le bu cul sec et le reposait sur la table doucement. Mais, lorsque ses dernières paroles furent entendu, je n'en revenais pas. Après, je n'étais pas au courant de ce qu'elle avait vécue auparavant mais, elle décidait sans avoir mon avis quoi. Bref, je soupirais un bon coup et je dis : « Ah d'accord, c'est ça, tu as déjà tout décidé en avance et sans même me demander mon avis ? .. » dis-je, en le prenant évidemment très mal. Je ne savais ce qu'il s'était passé dans ma tête mais, je tenais vraiment à elle et voir encore plus alors, ça me blessait totalement. Je n'avais envie qu'elle avorte.

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Je viens juste d'avoir vingt-trois ans et voilà que je suis enceinte, c'est comme si le scénario se répété et ça me fout une peur bleue. Lorsqu'il m'a demandé ce qu'il y avait, j'ai bien essayer de lui dire que le mot enceinte, mais je n'y suis tout simplement pas arrivé... J'aurais aimé moi aussi que cela soit une blague, mais mes collègues ne sont pas du genre à faire ce genre de blague surtout qu'ils connaissent mon passés à cause de mon dossier... « Je suis tout aussi surprise que toi.... » Je l'observa faire doucement sans même l'empêcher de faire quoique ce soit. La première fois où j'ai été enceinte j'ai réagi de la même manière qu'aujourd'hui, à une exception près, je suis prête à avorté cette fois-ci et je lui ai fait part de ce que je pensais. En l'entendant je replia mes jambes contre ma poitrine et me balança doucement d'avant en arrière. « Je t'ai dit ce que je pensais faire, mais tu as ton mot à dire. »

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Elle avait raison par le dernier message qu'elle m'avait envoyé, je serais vraiment surprise en l'apprenant. Une fois après avoir bus mon verre de jus de pomme, d'un coup, je le reposais sur la table. Je me mordillais les lèvres en écoutant les paroles de cette dernière et, je dis : « Tu avais raison dans ton dernier message, que j'allais être vraiment surprise. Je le suis totalement et sous le choc. » dis-je, encore sous le choc de l'annonce. Mais, quelque minutes plus tard, elle se mit à me parler de se qu'elle pensait faire mais, je ne pu le prendre autrement que mal. J'avais l'envie à ce moment même de quitter ou de me lever. Je ne le faisais en aucun cas. Mon regard la fixa du regard et, je dis : « Je n'ai pas envie que tu le face, voilà mon point de vue. Il s'agit de mon enfant donc, voilà tu connais ma réponse. » dis-je, sérieusement en croisant les bras. Je dis : « De combien es-tu enceinte ma chérie ? »

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Je ne lui avais pas dit dans le sms que j'étais enceinte, au départ je comptais lui annoncé à haute voix, mais je n'ai pas réussi à le faire, je n'ai pas trouvé le courage de le faire. « Comment crois-tu que je me sentes ? » Mais j'ai fini par dire que je pensais avorter et il a commencé à se mettre sur la défensive, j'avais relever son ton méchant et je me suis replié sur moi-même, je n'osais même plus le regarder... Oui je connais maintenant son point de vue, mais ça ne m'aide en rien... « Trois semaines. » Je finis par sentir les larmes coulaient le long de mes joues, je resserre légèrement mes jambes contre ma poitrine. « J'ai déjà était enceinte Sasha... Mais j'ai perdu ma fille trois mois avant l'accouchement... Je ne veux pas revivre ce que j'ai vécu... »

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Evidemment, de son coté, je savais très bien qu'elle ne se sentirais pas très bien. Cela peut se comprendre bien entendu. Je me mordillais les lèvres en écoutant les paroles de cette dernière et, je dis : « Je pense que tu te sens pire que moi. » dis-je, mon regard dans le sien doucement. Puis, finalement elle m'annonça qu'elle était enceinte de trois semaines et j'avais cette envie de la prendre dans mes bras. Je n'osais évidemment plus parler. Mais, il le fallait bien pour s'expliquer et se mettre d'accord. et, je dis : « Trois semaines. » dis-je, en me passant ma main derrière ma nuque. Elle m'avouait finalement un peu plus tard, qu'elle avait déjà été enceinte. Wouh !! Je n'avais été au courant et je comprenais beaucoup mieux sa réaction. Je mis mon regard dans le sien et je me rapprochais d'elle pour la prendre dans mes bras. Je dis : « Je suis désolée, je ne le savais pas. Je comprends beaucoup mieux ta crainte, cette peur de refaire comme tu as déjà vécu. Ce jour-là, sera le plus beau jour de notre vie alors, je suis sûr que cette fois sera la bonne. Crois-y, mon amour ! De toute façon, je suis avec toi, je te lâcherais pas. » Dis-je en posant ma main sur une de ses joues pour enlever ses larmes.

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Oui je suis dans un état pire que le sien, car plein de souvenir se bousculent dans ma têtes, des souvenirs que je refoules depuis bien trop d'année et qui me reviennent comme un boomerang. « J'ai eu du mal à y croire en voyant les résultats, j'ai même pensé que c'était une blague, mais mes collègues ne s'amuserait jamais à ça avec moi. » Depuis que Sasha et moi nous, nous fréquentons, je ne l'ai jamais vu dans cette état et bizarrement ça me faisait mal, mes jambes pliés contre mes genoux, je me balançais d'avant en arrière doucement. J'ai tout de même fini par lui dire que par le passé j'ai été enceinte, mais que trois mois avant l'accouchement j'ai perdu ma fille et que je ne souhaites pas revivre ce que j'ai vécu. Sans que je m'en rende réellement compte je finis dans ses bras. « Seuls mes collègues qui ont eu accès à mon dossier son au courant... Je ne souhaitais pas que ça se sache, j'aurais put me confié à toi, mais ça n'arrivait jamais à sortir... Comment peux-tu être aussi sûr de toi Sasha ? Tu as 21 ans, tu as toute la vie devant toi, nous ne sommes même pas ensemble... »

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Cela peut se comprendre bien entendu. Je me mordillais les lèvres en écoutant les paroles de cette dernière et, je dis : « Oh oui, je comprends parfaitement dans ce cas-là. J'ai moi-même du mal à y croire et pourtant, c'est vrai. » dis-je, mon regard dans le sien doucement. Doucement, alors que je sentais que j'étais un peu bisard face à cette nouvelle et l'annonce qu'elle venait de m'avouer. Maintenant, je comprenais mieux sa crainte d'être à nouveau enceinte. Alors, quelque secondes plus tard, je la retrouvais dans mes bras et je la serrais délicatement contre mon torse en caressant son dos. Je ne pouvais faire autrement car, je voulais la rassurer. Je dis : « Je comprends ! » dis-je, en l'écoutant délicatement, mon regard dans le sien. Comment je peux être aussi sûr de moi ? Parce que, je l'aimais, voilà tout. Mais, sans vraiment m'en rendre compte et surtout, en le disant sérieusement, je dis : « Parce que, je t'aime. Voilà, pourquoi, j'en suis sûr. » Dis-je délicatement.

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Depuis que j'ai appris ma grossesse, j'ai les souvenirs de mon ancienne grossesse qui me revienne en tête et ça me fais mal d'y repenser, de repenser à ma fausse couche. « Bel et bien vrai malheureusement... » Je n'avais jamais vu Sasha élevé la moi sur moi et ça au fond ça me fait mal... D'accord j'ai dit que je pensais à avorter, mais sérieusement ce n'est pas la peine de prendre la mouche ainsi... J'ai fini dans ses bras sans me rendre compte, mais je finis par sentir ses bras me serrer contre son torse. J'étais mal au fond de moi de lui infliger cette situation... Mais je ne sais pas comment il peut être aussi sûr que ça... Je plongeais mon regard dans le sien en l'entendant. « Qu'essaies-tu de me dire Sasha ? Parce que franchement on se dit tous les jours je t'aime... » Je ne comprenais réellement pas ce qu'il essayait de me dire et ça me perds encore plus...

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Franchement, c'était la première fois que je pouvais et que j'avais oser, lever la voix sur elle. D'ailleurs, en y pensant, j'étais vraiment désolée de cela. Mais, bon, aussi il fallait comprendre mon choix et mes pensés en quelque sortes. Je la serrais délicatement contre moi, en posant mes lèvres contre son front tendrement. Je voulais la rassurer en fait. Tout ce que je pouvais lui dire, c'était que j'étais entièrement sincère et surtout, je sentais que tout allait bien se passer. Surtout après, que je lui ai avoué que je l'aimais sincèrement. Seulement, elle ne le comprit en aucune façon. Je finis par plonger mon regard dans le sien, doucement et, je dis : « Je sais mais, là je suis sérieux. » dis-je, en l'écoutant délicatement, mon regard dans le sien. Je dis : « Je sais qu'on se le dit toujours mais, je suis sérieux là. Je t'aime et ressent énormément de sentiments pour toi. Je ne sais pas ce qu'il en est pour toi, mais je t'aime depuis longtemps. » Dis-je délicatement, sans le lâcher du regard.

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C'est la première fois depuis que nous, nous fréquentons qu'il ose lever la voix sur moi, au fond je peux comprendre sa réaction, mais j'avais simplement exposé mes pensées, étant le père il a son mot à dire dans tout ça et franchement je ne me voyais pas le faire souffrir en avortant. Mais comme pour se faire pardonner, il m'a prise contre lui et depuis j'étais un véritable torrent de larmes que je n'arrivais pas à stopper... Je ne compris pas où il voulait en venir en me disant qu'il m'aimait puisqu'on se le dit au moins une bonne vingtaine de fois par jour. Sérieux ? Pardon ? Là plus aucune larme ne coulait, j'étais simplement surprise. « Moi aussi je t'aime mon chéri, bien plus que tu ne peux l'imaginer. »

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Je gardais doucement cette dernière, dans mes bras. La voyant craquer, cela me faisait mal au fond de moi et je ne pouvais m'empêcher de caresser son dos. Je voulais me faire pardonner de lui avoir fait la morale et parler comme je l'ai fais juste avant. Je dis : « Je suis désolée d'avoir osé le ton, sur toi, ma chérie. » dis-je, en l'écoutant délicatement, mon regard dans le sien. Mais, lorsqu'elle m'avouait aussi qu'elle m'aimait plus que tout, je me sentis heureux. Je dis : « Je suis heureux, de le savoir, tu peux pas savoir. Je veux faire ma vie avec toi, tu sais ? » Dis-je délicatement, sans la lâcher du regard. Nous avions pas encore résolu ceux qu'elle m'avait dit, enfin apprit mais bon je voulais tout ça. Qu'on soit ensemble pour de bon.

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J'ai fini par finir dans ses bras et je fini par me blottir dans le creux de ses bras. Depuis que j'ai appris que j'étais enceinte j'étais sur les nerfs, avec une seule idée en tête en parler avec Sasha et finir par avorter, mais le ton qu'à employé Sasha m'a replié sur moi, mais ses paroles, ses caresses dans mon dos me calme petit.  « Laisse tomber cette histoire d'accord ? » Être enceinte me rappel ma première grossesse et je ne lui ai pas caché autant qu'il sache tout de moi, comme moi je sais tout de lui. Nos regards sont finalement l'un dans l'autre et nous avont finalement fini par nous dire que l'on s'aimait, j'eus un petit sourire en l'entendant. « On dirait que je viens juste de te l'apprendre. Il me semble que nous sommes bien parti pour faire notre vie ensemble tu ne crois pas ? » Dis-je en posant doucement ma main sur mon ventre, oui ça me fait peur d'être à nouveau enceinte, oui ça me fait peur de me dire que je peux à n'importe quel moment faire une fausse couche... Mais cette fois-ci j'ai Sasha près de moi pour me soutenir pas comme la première fois...

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Je la regardais doucement dans les yeux de cette dernière. Je voulais me faire pardonner de lui avoir fait la morale et elle voulait du coup que j'oublie cette histoire. Seulement, je ne savais que dire de plus. Oublier c'était comme impossible pour moi mais, c'était elle qui devait choisir car, ce n'est pas moi qui porte la vie de quelqu'un. Je dis : « Oublier, je ne sais pas. Mais, en reparler plus tard surement. » dis-je en me mordillant les lèvres délicatement. Je finis par croiser à nouveau mon regard dans le sien, pour écouter ses dires. Je dis : « C'est clair ! Oui, en effet, nous sommes totalement bien partis, pour faire notre vie ensemble. » dis-je délicatement, sans la lâcher du regard. Je déposais finalement mon regard sur son ventre quand elle y déposa sa main dessus. Je déposais sur sa main, ma main doucement quelque secondes plus tard. Je serais là, pour la soutenir dans cette nouvelle étape. Même si, cela lui rappelait un mauvais souvenir mais, j'étais là.

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Je connais Sasha, je sais qu'il s'en veut de m'avoir parler ainsi, mais même s'il m'a fait la morale je ne l'en aime pas moins pour autant. Je mis mon visage doucement dans son cou, respirant son parfum. « Au fond je penses que tu as bien fait, tu sais à quel point je suis têtue, quand j'ai une idée en tête je l'ai pas ailleurs. » Je ne voulais pas qu'il se sente coupable de m'avoir parler ainsi, parce que de mon côté j'aurais tout fait pour le convaincre qu'avorter était la meilleure option. « Nous allons fonder notre famille... » C'est la première fois depuis qu'il est arrivé que je prononce le mot famille, que j'accepte le fais d'être enceinte, que je pose la main sur mon ventre pour la première fois depuis que j'ai eu les résultats de mes analyses de sang, je sentis sa main sur la mienne et j’entrelaçais doucement nos doigts comme je le pouvais et j'allais déposé mes lèvres tendrement sur les siennes.

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Je plongeais délicatement mon regard dans le sien, tout en laissant ma main contre sa joue. Je l'écoutais par la suite, et, je me mordillais les lèvres car au fond je m'en voulais toujours de l'avoir engueulé. Je dis : « J'ai peut-être bien fait, mais je m'en veux. C'est la première fois que je le fais. Mais, sinon oui, je sais bien. » dis-je, mon regard dans le sien. Mais, par la suite alors qu'elle déposait sa main sur son ventre, je posais la mienne dessus. J'avais envie de lui montrer que j'étais là et pour toujours, quoi qu'il arrive. Je finis par l'écouter doucement et, je dis : « Je suis heureux de fonder notre propre famille et d'être avec toi. » dis-je délicatement, sans la lâcher du regard. Je caressais doucement son ventre délicatement. Ça me faisait plaisir de l'entendre dire cela parce que, elle l'acceptait enfin. Enfin, d'être futur mère à nouveau et que c'était notre famille à nous quoi. Je la laissais entrelacer nos doigts et prolongeais le baiser qu'elle m'offrit. Cela m'avait tellement manqué que je l'embrassais tendrement.

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Je l'aime, dieu seul sait à quel point je peux l'aimer et je n'aime pas le fait qu'il s'en veuille à ce point là d'avoir haussé le ton sur moi. « Je sais que tu t'en veux, je te connais autant que toi tu peux me connaître. Il faut une première fois à tout mon chéri, mais je te l'ai dit tu as bien fait, je penses qu'au fond j'avais besoin de ça, sinon je serais rester buté sur mon idée. » Depuis la première fois depuis que j'ai appris que j'étais enceinte, j'ai posé ma main sur mon ventre où un petit être avait élu domicile pour un délai de 9 mois. Mais je sais que cette fois-ci, je serais entouré de Sasha pour cette aventure et pour la suite. « Moi aussi, je suis heureuse. » En le sentant me caresser doucement le ventre, un tendre sourire se dessina sur mon visage. Au fond, je sais que notre histoire à Sasha et moi me permettra de tourner la page sur mon passé, d'aller de l'avant. J'avais entrelacé nos doigts sur mon ventre et déposé mes lèvres sur les siennes et ce fut avec une grande tendresse que nous, nous embrassions, ça m'avait tellement manqué et pourtant ça ne fait même pas 24h que nous, nous sommes quittés.

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Je m'en voulais d'avoir hausser le ton sur elle mais, d'après elle, j'avais eu raison. Je l'écoutais doucement et, je dis : « Oh si tu savais comment je t'aime, mon amour.   » dis-je, mon regard dans le sien. Je déposais doucement ma main sur la sienne, qui était posé sur son ventre à elle. Je le caressais de ma paume de la main, délicatement. Je dis : « Alors, c'est super ça ma chérie. Je sens qu'ont devra faire bientôt les magasins de nouveau hein? .. » dis-je délicatement, sans la lâcher du regard, muni d'un léger souvenir de la dernière fois. Je l'embrassais tendrement en passant une de mes mains derrière sa nuque, en la caressant ensuite. Cela me manquait quand elle ne le faisait pas.  Quelque minutes après, je souris et je dis : « Ca m'a manqué de t'embrasser ! » dis-je, en me mordillant les lèvres.

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