A tes cotés, durant deux semaines.

La tête posée contre la paroi de la douche, je laissais couler l'eau chaud sur ma peau. Je restais dans cette position durant cinq bonnes minutes, le temps que je pense à autre chose. Je terminais alors celle-ci, avant de me mettre une serviette autour de ma taille. Je pris donc le temps de m'habiller d'un jean foncé et d'un haut clair, avant d'aller dans la cuisine pour me servir d'un bon café. Un petit rituel du matin, dont je ne pouvais me passer en quelque sortes. J'avais dans la journée, d'hier, échangé plusieurs messages avec ma chérie, Anastasia. Lui proposant de venir pendant deux semaines chez moi, rien qu'elle et moi. Je savais pertinemment comment tout allait se dérouler mais, l'inconvénient c'était qu'elle était ma voisine. Donc, je regardais l'heure, pour voir quand elle arriverait en quelque sortes. Une hâte de la prendre contre moi et profiter d'elle. Quelque pensées soudaine, me vint dans la tête mais, sans plus. Je finissais mon café que j'avais en main, mettant le tout au lave-vaisselle et, je partais vers le salon. Rangeant un peu, pour lui laisser un peu de place pour qu'elle mette ses affaires quelque par. Bref, au bout d'une dizaine de minutes, j'entendais la porte sonner. Je m'approchais de la porte, pour enfin lui ouvrir cette porte nous séparant. Je ne pu m'empêcher d'avoir un léger sourire aux lèvres, mon regard plongé dans le sien. Je la prise contre moi directement, sans attendre et, je dis : « Ma chérie, je suis content que tu es accepté. » dis-je. Puis, j'eus un sourire et, je dis : « Comment vas-tu ? » Dis-je, un léger sourire aux lèvres.

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A tes cotés, durant deux semaines.

Durant quelque heures, j'avais échangé quelque messages avec ma très chère Anastasia, ma chérie, comme je la surnommais et j'avais hâte de la voir débarquer ici pour deux semaines. J'avais un large sourire aux lèvres, rien qu'en y pensant et cela ne me faisait pas patienter du tout. Au contraire, j'étais comme impatient, en ce moment. Du coup, je faisais les cent pas, de la cuisine au salon et encore. Une dizaine de minutes après, je souris en m'approchant d'un meuble où je regardais un cadre photo, avec une photo de nous deux l'un dans les bras de l'autre. Je me mordillais les lèvres, en souriant et la déposant quelque peu sur ce meuble. Lorsque d'un coup, cette porte se mit à sonner et je ne mis pas une minute, pour aller lui ouvrir. Une fois en face de moi, je la serrais contre moi, tellement j'étais heureux de la savoir à moi tout seul. Je déposais doucement, mon regard dans le sien. Je dis : « Si, tu l'avais fait, je ne me serais pas gêner pour te chercher par la peau des fesses ma chérie. » dis-je, un instant plus tard. Je déposais un léger baiser dans le cou, de cette dernière avant de plonger mon regard dans le sien. Puis, j'eus un sourire et, je dis : « Je vais mieux, depuis que tu es là, darling. Tu m'as manqué tu sais ? » Dis-je, un léger sourire aux lèvres.

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A tes cotés, durant deux semaines.

Je me mordillais les lèvres, en souriant et la déposant cette photo sur ce meuble du salon. J'ouvris la porte, l’attrapant dans mes bras, tellement cette dernière m'avait manqué. Je ne savais pas du tout comment allait se passer ses deux semaines, mais je savais que ça ne pouvait ne pas bien se passer, hein? .. Je souris en écoutant ses paroles, une minute après et je dis : « Ooh, elles sont trop belles pour cela donc, non mais j'aurais su te convaincre. Ça sait sûr ma chérie ! .. » dis-je, un instant plus tard. Doucement, mon regard se mis au travers du sien, alors je me mordillais les lèvres et, je dis : « Tu m'es réellement indispensable pour ma personne. Je ne peux me passer de toi de toute façon. Oh, j'espère bien tiens ! » Dis-je, un léger sourire aux lèvres. Je décidais de fermer la porte derrière elle délicatement, un léger sourire aux lèvres. Puis, mon regard se mit dans le sien, un sourire & je lui pris sa main doucement.

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A tes cotés, durant deux semaines.

Je me mordillais les lèvres, en regardant cette dernière, dans les yeux. Elle m'attirait depuis, qu'elle avait franchit cette demeure de porte évidemment. Mais, bon, quoi qu'il arrive, je souris en l'écoutant et je dis : « Je me serais avancé vers toi, t'attirant contre moi sincèrement & je t'aurais embrassé littéralement, jusqu'à ce que tu craques. » dis-je, un léger sourire amusé aux lèvres, tout en lui mimant la scène. Une fois après avoir terminé cela, je me mordillais les lèvres car sérieusement elle m'enviait en ce moment même. Une dizaine de minutes plus tard, je vins à me mordiller les lèvres et, je dis : « Peut-être bien, que ça l'est au final ? Qui sait ? .. » Dis-je, en me mordant la lèvre inférieur. Je souriais en la voyais se rapprocher de moi directement, se coller à moi et m'embrasser tendrement. Je posais mes mains sur ses hanches, en la serrant contre mon torse & prolongeant son baiser avec envie.

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A tes cotés, durant deux semaines.

Je me mordillais les lèvres, en la regardant dans les yeux. Je finis par sourire à nouveau, tout en l'écoutant et je dis : « Tu as tout compris. On aurait vite finit, au lit, mon amour. » dis-je, en finalement me mordre les lèvres. Je l'écoutais doucement, restant proche d'elle et je souris mon regard dans le sien. Je dis : « Oh, tu sais je peux le faire très bien ça. Me contenter de toi, uniquement. » Dis-je, en me mordant la lèvre inférieur. Bon, après comment dire à Jay, que c'est secret défense et qu'il faut qu'elle aille ailleurs pour ses pulsions. Mais, bon, après tout c'était vrai ceux qu'elle disait la petite Nastasia'. Je souriais en la collant contre moi, prolongeant avec envie ce baiser. C'est vrai, depuis qu'elle était là, j’essayais de me contrôler mais, impossible et si, elle ne l'avait fait, je l'aurais surement fait. Je posais mes mains sur ses hanches, puis les passaient sous son haut doucement. J'allais chercher son cou, l'embrassant sensuellement mais, dans un mouvement d'envie, je retirais son haut. Beaucoup trop d'envie, rentrait là.

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A tes cotés, durant deux semaines.

Je me mordillais les lèvres, en écoutant ses paroles quelque instants plus tard. Je souris légèrement et je dis : « De même, pour toi. Tu es la seule à qui, je ne refuse rien ma chérie. » dis-je, en m'approchant doucement de ses lèvres. Mais, lorsqu'elle vint à me répondre, je l'observais du coin de l’œil, sans rien ajouter de plus. L'amour comme elle le disait, avant de m'embrasser, ne se maitrise pas. Bien sûr, je le savais. J'affirmais d'un signe de la tête délicatement, en souriant doucement. Je dis : « L'amour ne se contrôle pas, ça c'est certain. » Dis-je, en me mordant la lèvre inférieur. Après avoir attendu, la voilà sans son haut, et moi, sans mon tee-shirt vu que je l'avais retiré juste avant. Je finis par avancer délicatement, ceux qui fit qu'elle recula pour attérir jusqu'à ma chambre, mon lit. Je ne pouvais me passer d'elle et sur un lit, c'était beaucoup mieux. Je souriais en reprenant ses lèvres avec passion, ayant envie d'elle. On aurait vraiment cru que nous étions ensemble, vu comment nous agissions. Bref, je descendis mes mains pour toucher son dos en douceur.

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A tes cotés, durant deux semaines.

Je me mordillais les lèvres, en écoutant ses paroles quelque instants plus tard. Je souris légèrement et je dis : « Oh, mais tu peux me demander tout ceux que tu veux. » dis-je, en frôlant légèrement ses lèvres, quelque secondes après. Je savais qu'elle était capable de n'importe quoi et donc, me le demander ensuite. Mais, cela ne me dérangeait en aucune façon car, je ne pouvais lui résister quoi qu'il advienne. Bref, je ne voulais penser à cela pour l'instant mais, plutôt à ce qu'on s’apprête à faire ensemble. Ayant autant l'envie d'elle, qu'elle en a de moi, je ne pouvais plus me contrôler sincèrement. Une fois avoir atteint ma chambre, je la déposais sur le lit en me mettant au dessus d'elle pour le moment. Mes mains se posaient délicatement contre sa peau, tendrement. Je dis : « T'es magnifique, tu sais ! » Dis-je, en me mordant la lèvre inférieur, tout en l'observant délicatement un instant plus tard. Je défis doucement, la fermeture éclair de son short en jean et le lui retira très doucement. C'est vrai, elle est tellement parfaite que j'étais peut-être devenu dingue d'elle enfin, je sais pas. C'est bisard toute ses sensations qui se passe dans ma tête.

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A tes cotés, durant deux semaines.

Je me mordillais les lèvres, en écoutant ses paroles quelque instants plus tard. Je souris légèrement et je dis : « Je le sais totalement, ma chérie. » dis-je, en reprenant doucement ses lèvres. Un léger sourire amusé, me vint en la regardant pleinement dans les yeux alors que nous étions sur son lit, moi entre ses jambes, mes mains sur sa peau. Je frissonnais délicatement en sentant son contact sur ma peau aussi, et vint à mordre sa lèvre inférieur avec tendresse. Je dis, en écoutant ses paroles délicate à mon intention et, je dis : « Ca me touche, mon amour, merci ! .. Même si, je le sais. » Dis-je, en me mordant la lèvre inférieur. Quand à mon regard qui ne quittait pas le sien, quelque minutes, je souriais doucement. Mais, lorsqu'elle basculait pour se placer à califourchon sur moi, je déposais mes mains sur ses hanches puis, ses cuisses doucement. Je la laissais faire, en frissonnant délicatement. Je dis : « Totalement à toi, mon ange. » dis-je, en déposant plusieurs baisers sur son cou. L'aidant aussi à me retirer mon pantalon, ce qui fit que je me retrouvais juste en boxer.

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A tes cotés, durant deux semaines.

Je me mordillais les lèvres, en écoutant ses paroles. Elle était très maline et, je le savais très bien ça. Je souris et je dis : « Oh oui, pauvre amour. » dis-je, en reprenant doucement ses lèvres. Lorsque ses mains délicates, passèrent sur mon torse, je ne pu montrer que je vins à frissonner. C'était comme impossible d'ailleurs. Je souris en l'observant doucement et je dis : « Mais, c'est comme ça que tu m'aimes. » Dis-je, en lui mordant sa lèvre inférieur avec douceur. Quand à mon regard qui ne quittait pas le sien, quelque minutes, je souriais en écoutant ses compliments. J'étais entièrement à elle et elle l'était entièrement à moi, quoi qu'il arrive. Je dis : « Quand à toi, tu es entièrement à moi, voir entièrement même. » dis-je, en déposant plusieurs baisers sur son cou. Avant de reprendre ses lèvres et pouvoir passer mes mains sur son ventre doucement. Je sentais d'avantage au fond de moi, que nous étions fait pour être ensemble, elle et moi. Je lui retirais ses derniers sous-vêtements, histoire qu'elle soit sans rien.

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