Sujet: WHAT IS THE FUQUE ? • Charlie&Jawaad. Lun 1 Avr - 16:17
Charlie & Jawaad WHAT IS THE FUQUE ?
Suite à une dégradation du matériel du campus vous et mademoiselle Lewis obtenez le droit d'aller deux heures en salle de retenue, dès ce soir. Nous nous chargeons de prévenir vos parents, bien entendu. Sortant du bureau du directeur, je regardais mon amie en riant fortement. Un cap ou pas cap qui avait mal tourner, je devais normalement mettre feu à une feuille en papier en pleine salle de cours seulement, l'alarme d'incendie s'est déclenchée plus vite que prévu, ce qui nous a valu une petite expédition chez le proviseur. La prochaine fois, on fera gaffe avant de vouloir foutre le feu à quoi que ce soit ! Je lui attrapa alors le bras tandis que l'on se dirigeait vers la salle de retenue. Deux heures, avec ma chère et tendre Charlie ? Ça allait très vite passer, on allait certainement trouver quelque chose à faire afin de passer le temps, ou on allait peut-être trouver un moyen de s'enfuir plus tôt que prévu, nous verrons bien une fois là-bas. Une fois arrivée devant la salle de retenue, je lança un regard à la belle brune à qui je tenais toujours le bras. Prête ? Je lui souris doucement avant d'ouvrir la porte. Un vieille bonhomme était installé au bureau, c'était certainement lui qui était chargé de surveiller la salle. J'emmena alors mon amie au fond de la salle, rapprochant deux tables afin de ne pas me trouver trop loin d'elle. Je sais pas pourquoi mais .. Je sens qu'on va s'amuser !
Invité
Sujet: Re: WHAT IS THE FUQUE ? • Charlie&Jawaad. Lun 1 Avr - 23:15
JAWAAD & CHARLIE.
Un briquet dans la poche, une feuille de papier dans l’autre, une heure de creux entre deux heures de cours et nous voilà parti. « Il me semble que c’était à moi de jouer non ? », lançais-je à Jawaad. « Cap ou pas cap d’allumer la feuille en plein milieu d’une salle de classe vide ? », demandais-je en lui tendant naturellement un briquet sortie tout droit de ma poche. Le jeu du « cap ou pas cap » était devenue notre jeu par excellence, repousser nos limites, se forcer à y aller, c’était tellement fun comme sensation. Et c’est aussi comme ça qu’on a été forcé à aller chez le proviseur. Un sermon sur nos actes, deux heures de colles et prévenir nos parents voilà avec quoi on s’en tirait. Si j’avais su que déclencher une alarme incendie était si peu cher payer, je l’aurais fait bien avant. Une fois sortie du bureau, je ne pus m’empêcher un regard complice vers Jawaad avant de rire de bon cœur avec lui. Il me fit remarquer qu’on fera plus attention la prochaine fois, un de mes sourcils se levait et mon regard lourd de sous-entendu croisais le sien. « C’est ça, toi faire attention ! A d’autre va ! », répondis-je en riant avant de me faire entraîner bras dessus, bras dessous vers la salle de retenue. « Prête ? », « Toujours prête ! », lançais-je avant d’ouvrir la porte d’un geste soudain et sur de moi. Devant moi, une salle trois élèves et un vieux monsieur chargé de surveiller les collés, un regard complice et nous voilà parti. « Mr Strokes & Mlle Lewis, prenez place. », « Strauss, moi c’est Lewis-Strauss mon nom. Si vous dites Lewis, c’est que vous vous trompez de personne et du coup je n’ai rien à faire là. Mais bon, par solidarité pour mon ami Jawaad, je vais rester mais la prochaine fois ne vous tromper pas hein ! », dis-je un peu moqueuse. Ce n’était pas méchant loin de là, mais Strauss était le nom de ma mère et je tenais vraiment à ce qu’on ne l’oubli pas, je faisais passer cela avec humour mais c’était une chose qui me tenais vraiment à cœur. « Allez vous asseoir. », se contentait de me réponde le vieux bonhomme qui me regardais par-dessus ses lunettes. Autant sur une secrétaire ça fait sexy mais là, y avait vraiment pas de quoi s’emballer. Tournant les talons, je fis une petite grimace à Jawaad avant dallez m’installer avec lui au fond de la salle : deux tables collées l’une à l’autre, nous faisions comme chez nous et visiblement ça ne choquait personne. Mon compagnon de jeu me lançait alors une petite remarque sur le fait qu’on allait bien s’amuser, un clin d’œil de ma part, le jeu était relancé. C’était à son tour, j’observais autour de moi, tout ce qui se trouvait dans la pièce, un vieux surveillant agri, une jolie blonde et deux jeunes garçons de notre âge à peu de chose près. Je sortais mon portable de la poche, le temps était lancer, nous avions deux belles heures devant nous ! « As qui le dis tu ! Tu n’as même pas idée de tout ce qu’on peut faire en deux heures ! », lui avouais-je avec un sourire amusée…