so shame on me now.
Elle est touchée de le voir si énervé comme ça, et se demande si c'est une bonne idée d'avoir avancé ça comme sujet... Mais bon maintenant, de toute façon.. Il ne le refera pas. T'en fais pas pour moi. insiste-t-elle, avant donc de caresser tendrement sa joue, chose qu'elle n'a jamais faite. Vous savez, Delilah et les contacts physiques... Mais là, ça semble même le calmer un peu. Elle secoue la tête avec un petit sourire sans retirer sa main. Mais non, j'suis pas amoureuse de lui. fait-elle avec un léger rire, comme pour le rassurer encore plus. Elle retire alors sa main, se mordillant doucement la lèvre avant de regarder la mère pas très très loin. Elle repose son regard bleuté sur lui et elle le voit en train de lui sourire. Son sourire... Elle en rougirait presque si c'était son genre. Arrête de sourire comme ça, t'es encore plus... encore plus beau, j'fais comment moi, hein ? lâche-t-elle avec un petit rire un peu plus nerveux, mais relevant les yeux vers lui avec un regard amusé. Elle préfère changer de sujet et donc détendre un peu l'atmosphère avec ce genre de bêtises. Bien que ça soit très loin d'être des bêtises.

so shame on me now.
Heureusement, il se garde bien de continuer sur ce sujet, ce qui ne peut que soulager la petite blonde, qui n'aurait plus su quoi lui opposer comme arguments. Il n'arrête pas de sourire et c'est vrai quoi, Sidney tout seul il est déjà super craquant, mais alors un Sidney souriant c'est encore pire. Quand il lui donne une tape sur le bras, elle faillit sortir un « toi aussi tu me frappes ? » mais comprenant que ça n'est vraisemblablement pas un sujet drôle pour Nell, elle garde ça pour elle. Et à la place, se met à rire. C'est pas n'importe quoi ! fait-elle en secouant la tête. Avec lui, il suffit d'un rien pour la faire rire et la faire sourire. Elle attrape sa main et s'en aide pour se relever, s'époussetant un peu tout le sable collé à ses fesses. Ben allez, zou ! fait-elle en riant de nouveau, laissant croire que l'alcool commence à lui monter à la tête ... alors que pas tant que ça. Elle attrape son bras pour se coller de nouveau à lui, cherchant son contact ce soir comme elle l'a rarement fait. Alleeez, s'il te plait, parle-moi de tes histoires... Sinon j'vais me vexer, j'vais penser que tu me fais pas assez confiance pour me raconter tout ça. Et elle tourne la tête vers lui, lui refaisant ses petits yeux suppliants.

so shame on me now.
Ohwii elle n'attend que ça elle, qu'il vienne retirer le sable sur ses fesses. Elle lui fait un regard faussement vexé en l'entendant râler qu'elle était collante ce soir, bah ouais, elle a besoin d'affection de temps en temps. Mais vu qu'il lui fait un sourire super craquant, bah elle ne peut que sourire, incapable de lui en vouloir trop longtemps. Si si c'est intéressant elle en est certaine, et elle voit déjà qu'il est en train de céder. Il commence à parler... et elle perd bien vite son sourire. Bon ok, elle se doute bien qu'il a plein de prétendantes et la moitié du campus à ses pieds mais... mais elle ne pensait pas qu'il allait lui raconter des problèmes de coucheries avec toutes ces filles qu'elle ne connait pas mais qu'elle déteste. Elle laisse le silence retomber une fois qu'il a fini. Elle ne sait pas quoi dire. Delilah n'aime pas mentir, et elle sait que si elle parle trop, sa jalousie va se voir. Hmm ben.. j'espère que ça va s'arranger. Elle ne le regarde pas, parce qu'il verra très vite qu'elle ne pense pas un mot de ce qu'elle vient de dire. En fait, elle n'aurait pas dû insister et se la fermer, ça aurait été certainement mieux. Elle soupire doucement, repoussant une mèche passée devant ses yeux l'empêchant de voir où elle met les pieds. Manquerait plus qu'elle s'étale dans le sable maintenant.

so shame on me now.
Il a, oui, aisément pu remarquer qu'elle ne semblait pas très encline à répondre. Elle garde son regard détourné, sentant une drôle de jalousie grimper en elle en entendant toutes ces filles avec qui il a des histoires. Mais non ça m'embête pas. répond-elle d'un ton neutre, et avouons-le, presque agacé, oui, bien qu'elle dise le contraire. Elle inspire à fond, continuant de marcher, soudain assaillie par une drôle de tristesse. Après-tout... il est clair qu'il n'y a aucune place là pour elle. Tout ça est sans doute déjà bien assez compliqué à gérer pour lui pour qu'il n'ait pas dans les pattes une gamine incertaine. À sa phrase suivante néanmoins, surprise, elle tourne la tête vers lui. Elle cherche ses mots mais soupire un peu. Nan, ça m'énerve pas, j'pensais juste pas que tes histoires ça tournait autour de "j'ai couché avec elle et j'aurais pas dû" ou "j'essaie de coucher avec elle depuis longtemps mais elle ne veut pas". fait-elle en détournant ensuite le regard directement. Elle ne peut pas plus clairement montrer sa jalousie, même si elle nierait, rien que par fierté, toute trace de ce sentiment ingrat. Mais au fond, n'est-ce pas là un sentiment flatteur ? Après-tout, si elle est jalouse de ces filles-là... Sidney peut très vite en conclure ce qu'il souhaite. Honteuse et un peu gênée, elle n'ose pas le regarder, fuyant son regard qu'elle a posé sur le sol de façon obstinée, en continuant de marcher tranquillement.

so shame on me now.
Elle se mordille fort la lèvre. Elle est certaine qu'il va remarquer sa jalousie. C'est flagrant. Elle fronce les sourcils. Elle a toujours été têtue et complètement bornée, et surtout, très fière. Ouais bah la prochaine fois, j'éviterai, c'est bon ! fait-elle en soupirant, agacée. Oui, agacée de la façon dont ça tourne soudainement, parce que tout ce qu'elle veut en dernier, c'est s'engueuler avec lui. Vraiment vraiment pas. Elle n'a pas besoin de ça, et au vue de ses histoires, lui non plus. En fait, elle est en colère surtout contre elle-même. Ça ne devrait pas la frustrer à ce point-là qu'il lui dise qu'il couche avec d'autres. Avec sa belle gueule – et son corps de dieu – c'est plus que prévisible, et Delilah est au courant. Mais soudain, là, ça la frustre. Pire, ça la rend malheureuse. Elle tourne la tête vers lui, un peu moins en colère ; quand sa voix s'élève, elle est presque peinée. Sûrement est-ce l'alcool dans ses veines même si ça n'est qu'un verre, qui lui fait dire alors, tout doucement : Elles ont de la chance, ces filles.. Elle se mord la lèvre l'instant d'après, sachant qu'elle en a bien trop dit. Là, intérieurement, elle est en train de s'auto-flageller quoi. Crétine... Finalement, ses lèvres s'étirent en un sourire amusé et narquois. Enfin bref, oublie ce que je viens de dire please !

tu veux une coïncidence de fou ? la chanson de Taylor passe en ce moment-même à la radio quoi.

and i realize the blame is on me.
Elle se déteste pour avoir amené cette ambiance dans la conversation. Ça a été plus fort qu'elle. Il ne s'aperçoit même pas qu'elle n'a pas reparlé de la dernière fois pour rien.. En même temps, ils sont amis, de super bons amis, et elle ne devrait pas reparler de ça. Donc c'est elle qui est en faute, oui, elle le sait. Il s'est arrêté et elle ferme les yeux, priant simplement pour qu'il ferme sa bouche, qu'il avance, et qu'il oublie. Mais bon, ça aurait été trop beau hein. Pourquoi tu dis sa Mad ? T'est jalouse ou quoi ? Ah ben punaise, il lui en aura fallu du temps pour comprendre. Elle le regarde simplement, le fixant de ses yeux clairs sans rien répondre pendant de très très longues secondes. Elle met sa fierté de côté un instant quand elle répond : Ouais, j'suis jalouse, ça te va ? avant de détourner le regard, à la fois vexée et peinée qu'il lui demande ça sur ce ton. Comme si c'était un crime qu'elle soit jalouse de ces filles. Elle ne devrait peut-être pas mais le fait est bel et bien là : oui, elle en est jalouse. Terriblement. Et ça l'effraie plus qu'autre chose car elle n'est pas jalouse souvent, étant donné généralement le peu d'attention qu'elle apporte à chacun. Elle soupire doucement, triturant ses mains avec nervosité.

so shame on me now.
Un son de surprise s'échappe des lèvres du brun. Bon sang alors elle est si discrète que ça ? Il ne s'en rendait donc vraiment pas compte ? Elle sourit, un peu. Parce que ça veut dire qu'elle est toujours aussi bonne comédienne. Je comprends pas Rose.. pourquoi tu es jalouse ? Allez, remue le couteau dans la plaie, Nell. Elle soupire un peu, cherchant ses mots, avant de déglutir péniblement. Déduis-en un peu ce qu'il te plait, Kingston.. Elle ne l'appelle pas souvent par son nom de famille, mais elle se rend compte qu'il faut qu'elle prenne de la distance, qu'elle s'attache trop à lui, et que lui montrer est sûrement la pire des erreurs. Il attrape ses mains et elle se rétracte un peu, avant de se détendre pour le laisser tenir, avant d'affronter son si beau regard. Tu as peur que je te lâche ? Ou... ou je sais pas, enfin je comprends pas. Mais que peut-elle bien répondre ? Elle-même ignore bien d'où vient sa jalousie, alors vous savez... Elle peine à soutenir son regard. Elle serre les dents, inspirant à fond. Elle raffermit la pression sur ses mains, comme pour se rassurer. Tu me lâcheras pas ? Jamais ? demande-t-elle sans répondre à sa question, passant d'un oeil à un autre, incapable de lui avouer qu'elle a peur de plein de choses. Qu'il s'éloigne autant qu'il se rapproche trop. Qu'il la jette autant qu'il lui promette de ne jamais la lâcher. Elle a peur de tout, à ce moment-là, ne sachant pas vraiment ce qu'elle veut. Son visage est si près... elle doit opposer une fière résistance pour s'empêcher de glisser un regard à ses lèvres.

so shame on me now.
Non, non je ne veux pas déduire quoi que ce soit, je veux que tu me le dise. Elle se contient pour ne pas pousser un profond soupir d'exaspération. Il croit vraiment qu'elle va lui dire ben en fait, j'veux re-coucher avec toi , non mais ALLO QUOI, t'es un mec et t'as pas de cerveau ? Elle remarque son mouvement de mains. Il allait les poser sur son visage mais il s'est arrêté. Ça la fait sourire. Un sourire pas ravi, non un sourire autodérisoire. Narquoise, elle recule d'un pas. Maddie, je ne te lâcherais pas, jamais ! Je te le promets. C'est à peine si elle l'entend, elle est toujours fixée sur son geste précédent. Elle croise les bras sur sa poitrine avec un regard amusé. T'as peur que je sois amoureuse de toi, c'est ça ? T'as pas de soucis à te faire là-dessus, Nell. J'suis pas prête de tomber amoureuse. Ni de toi, ni de qui que ce soit d'autre. Elle détourne le regard avant la fin de sa phrase, respirant calmement. Alors c'est de ça dont il a peur, lui ? Elle baisse les yeux, et d'une voix bien plus peinée, elle lâche un petit rire. Oui, elle a des réactions assez contradictoires, que voulez-vous. T'aimerais pas, c'est sûr, qui s'rait content de savoir qu'une fille comme moi a des sentiments pour lui. raille-t-elle, plongeant tête baissée dans l'auto-dérision. Une fille comme elle. Il ne sait peut-être pas ce qu'elle veut dire, et de toute façon, elle ne veut pas s'expliquer. Elle frissonne légèrement. De toute façon, elle est certaine de ne pas avoir ce genre de sentiments pour Sidney. Non, c'est une profonde complicité, une belle amitié sincère, et une attirance qui n'aurait rien à faire là, mais qui malheureusement, existe bel et bien.

so shame on me now.
Ça pour être ratée oui, la soirée est ratée. En même temps, Delilah savait que ça allait être compliqué à gérer, mais elle n'aurait pas pensé qu'ils iraient jusqu'à parler de ça. Elle détourne son regard. Si t'es pas amoureuse alors pourquoi t'es jalouse hein ? Vas-y explique-moi lui demande-t-il alors. Elle fronce les sourcils et sur un coup d'impulsion, lui balance un : Parce que je fais que penser à ce qu'il s'est passé la dernière fois, voilà pourquoi ! Bon ok, ça veut rien dire techniquement, enfin à moins que pour une fois depuis le début de la soirée, il fasse travailler ses neurones et comprenne que ça signifie qu'elle a aimé. De quoi tu parles Maddie ? Sentant une colère sourde monter en elle, elle serre les poings. Pas une colère contre lui, oh non bien au contraire. Une colère contre le reste de la Terre, contre ces parents pas fichus d'élever leur fille normalement, contre elle-même et ce qu'elle est. D'une voix presque malsaine, prouvant bien l'estime bien basse qu'elle a d'elle-même. Ah ben c'est sûr hein, j'ai rien à voir avec toutes ces filles qui te courent après. J'ai pas leurs manières, j'ai pas leur fric, j'ai pas leur caractère facile à supporter, j'ai pas... j'ai rien de tout ça. J'ai rien du tout même.. Complètement anéantie d'un seul coup, les yeux embués – lunatique la Madison ? Nooon, du tout – elle se laisse tomber sur le sable, assise, le regard dans le vide. Comment voulez-vous que quiconque accepte de supporter.. ça, aussi, hein ?

look at the red, red changes in the sky.
Elle ne sait pas s'il a compris mais en tout cas, il ne répond rien. Se vexer ? Non, elle lui en serait presque reconnaissante de garder le silence. Ça vaut peut-être mieux, en effet. Elle n'aurait pas vraiment supporté qu'il lui dise que lui non, par exemple. Elle le sent s'asseoir en face d'elle, elle sent le contact avec ses jambes, mais elle fixe le vide, insolente. Maddie. Elle ne répond rien, ne le regarde pas, parce qu'elle a peur de craquer. Et qu'elle n'en a pas le droit. Non, Madison ne craque pas, elle ne pleure pas, Delilah non plus ; jamais. Jamais se montrer aussi faible. Elle reste donc de marbre. Quand il lui relève la tête pour le forcer à le regarder, elle oppose une petite résistance mais cède, n'ayant pas la force de lui résister plus longtemps. Elle se rapproche timidement de lui, levant ses grands yeux bleus vers les siens, attendant de voir ce qu'il va lui dire. Probablement qu'elle est ridicule, qu'elle n'est plus une enfant et qu'il faut cesser de faire ce qui ressemble presque à des caprices, que.. Mais non. Elle l'écoute jusqu'au bout, sentant le rouge lui enflammer les joues. Ça la touche. Énormément, même si elle le montre peu. Elle se mord la lèvre inférieure sans avoir détourné son regard de celui de Nell. Elle ne sait même pas quoi répondre. De nouveau, elle joue avec ses mains comme une gamine qui ne sait pas trop comment gérer son stress. Elle inspire à fond et baisse alors ses yeux vers le sable par terre. Bon il vient clairement de confirmer le fait qu'elle ait un caractère de merde mais ses mots la rassurent. Beaucoup. Et si.. Et si j'ai aimé "m'amuser" avec toi la dernière fois, c'est grave ? demande-t-elle sans oser le regarder. Elle sait qu'à choisir, elle préfère de loin son amitié. Il est son rayon de soleil et elle ne peut pas survivre sans lui, elle le sait.

so shame on me now.
Elle se sent un peu bête. En fait, peut-être qu'elle aurait dû le lui dire de suite, ça serait peut-être mieux passé et ça aurait évité la crise de jalousie et de dévalorisation. Il se met à rire – nerveusement sans doute – et elle aussi cède à lâcher un petit rire, se demandant comment il va réagir. J'espère bien que t'as aimé oui Parce que moi aussi j'ai apprécié Maddie Ses lèvres s'étirent en un sourire involontaire mais elle est tellement rassurée – et flattée – qu'elle est forcée de sourire. Elle se mordille la lèvre, passant une main dans ses cheveux, posant ses yeux sur lui avant de se rapprocher un peu pour pouvoir mieux le regarder, ses mains toujours dans les siennes. Si j'ai réagi comme ça c'est parce que.. parce que j'pensais que non, que ça t'avais pas plu, 'fin pas le moment en lui-même hein mais genre j'avais peur que tu... Elle se mord la lèvre de nouveau, détournant son regard. ... que tu regrettes. Parce que elle, ok elle a beau ne pas beaucoup s'en souvenir, elle ne regrette pas. La preuve : ça n'a pas mis leur amitié en joute, c'est parfait non ?

so shame on me now.
Ça lui a fait du bien d'avouer ça, elle le porte sur le coeur depuis la dernière fois. Alors ouais, ça la rassure, ça l'apaise. Bien sur que non je ne regrettes pas Rose, répond-t-il alors et elle ne peut cacher un sourire. Son coeur s'est un peu affolé. Elle se sent revigorée, presque prête à lui demander là cash de remettre le couvert... Enfin, s'il n'avait pas soudain sorti : Cependant... je veux pas que cela se reproduise... Son sourire disparait un peu, et la mauvaise comédienne qu'elle est détourne le regard avec un sourire neutre. Elle sent son ventre se nouer un peu. Je veux pas que l'on perde notre amitié tu comprends. Elle se reprend et affiche un air touché. Même si elle est sur la retenue. Ça la touche énormément qu'il tienne à elle de cette façon là, et c'est indescriptible mais elle ignore pourquoi elle est déçue. Elle devrait pas. Toute son adolescence, elle n'a été qu'une marchandise pour ces hommes. Et là qu'un mec lui dit qu'il ne veut pas coucher avec elle parce qu'il tient à elle, madame fait son caprice. Non mais là... son cerveau ressemble un peu au cerveau d'une schizophrène j'vous assure. Oui je.. je comprends totalement Nell, et je... enfin, ça me fait plaisir.. Tu sais moi aussi je... Je tiens à toi. annonce-t-elle sincèrement, relevant ses yeux bleus dans les siens en espérant qu'il ne s'aperçoive de rien.

so shame on me now.
Il est tellement gentil et elle a un caractère de cochon, cherchez l'erreur quoi. C'est un rayon de soleil et elle est à la limite d'être une torturée suicidaire. Expliquez-moi... comment s'entendent-ils au fait ? À croire que les contraires s'attirent beaucoup hein ! J'ai l'impression que la réponse que je t'ai donné n'est pas celle que tu attendais Maddie, je me trompe ? Elle ne répond pas, il n'attend pas de réponse, elle le sait. Elle est si transparente cette fille parfois... Elle soupire discrètement, tentant de fuir son regard du mieux qu'elle le peut. Deli, écoute, on ne peux pas, rester ami et continuer à coucher ensemble, c'est impossible et tu le sais aussi bien que moi, sa marchera pas. Elle relève les yeux, fronçant les sourcils avec un sourire amusé. Bah, non, j'le sais pas. fait-elle d'un ton tout naturel, avant de jouer nerveusement avec ses mains. Elle soupire doucement, et d'un ton un peu gêné, murmure : Tu sais moi là dedans je m'y connais pas beaucoup, j'veux dire.. j'ai jamais vraiment eu de relation qui mêlait les deux, alors j'sais pas, mais.. je te crois, tu t'y connais sans doute mieux que moi. Au moins c'est dit. Il sait qu'elle aurait aimé coucher de nouveau avec lui, elle lui avoue qu'elle n'a jamais eu de sexfriends, rien de tout ça. Rares sont ses amis, alors généralement elle couche pas avec quoi. Elle fronce un peu le nez, enfantine. Tu m'en veux pas de t'avouer tout ça, hein ? demande-t-elle un peu bêtement, d'une voix d'enfant.